HUMOUR : Court sucré ou long sans sucre ? avec Bruno CHAPELLE, Martyne VISCIANO & Sylvie AUDCOEUR par Jean-Luc Moreau à la Comédie Bastille

Après plus de 1000 représentations en 15 ans, 286 reprises à travers le monde et 10 ans d’absence, Court sucré ou long sans sucre ? revient à Paris et à la Comédie Bastille.

Cette fois c’est Jean-Luc Moreau qui passe à la mise en scène.
Et cette collaboration émane d’une envie réciproque entre la troupe, quasiment la même qu’à la création. Pour l’anecdote, le metteur en scène fût l’un des premiers spectateurs de la pièce en France.

Le pitch ? Une agence d’évènementiel s’apprête à recevoir Thierry Blanchard, un client fidèle, pour préparer la prochaine convention commerciale des Charcuteries Flocel, qui doit permettre à la société de remettre ses comptes à flot.

Mais s’ajoutant au “marasme agro-alimentaire ambiant”, une consultante nymphomane d’un grand cabinet d’audit anglo-saxon débarque pour superviser l’opération.
Jusqu’où faudra-t-il aller pour sauver le contrat ?
Quiproquos surréalistes, mensonges éhontés, passions exacerbées…
Un vaudeville accroché au monde un peu fou de la communication: c’est très rare !

10 ans que ce succès n’avait pas été joué, et aux dires d’un des auteurs, Olivier Yeni (patron d’une société d’évènementiel), il n’a pas fallu beaucoup réadapter le texte pour le mettre au goût du jour.
La troupe est impatiente de remettre le couvert sous la houlette de Jean-Luc Moreau: un oeil neuf  sur le texte et le jeu des comédiens donc une mise en scène plus acérée et percutante encore.
De quoi nous donner de bonnes tranches de rires  sur un univers unique aux codes si particuliers.

Alors ne tardez pas pour réserver et courir voir Court sucré ou long sans sucre.

Court sucré ou long sans sucre ?

A partir du 18 janvier 2014
Du mardi au samedi a 21h
Samedi et dimanche a 17h

à la Comédie Bastille

5, rue Nicolas Appert 75011 PARIS

Avec
Sylvie AUDCOEUR
David BASANT
Bruno CHAPELLE
Olivier YENI
Martyne VISCIANO

BON PLAN ! Tarif Jeune (moins de 26 ans) 10 € en fonction des places disponibles, réservation uniquement au téléphone auprès du théâtre ou sur place le jour même.

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HUMOUR : Même pas vrai ! avec Bruno Madinier & Raphaëline Goupilleau au Théâtre Saint Georges

Même pas vrai ! c’est un couple qui affiche 20 ans de mariage au compteur.
Un couple qui cherche à rebooster la flamme et qui du coup emporte tout sur son passage, fils, amis et un bout de décor.

La pièce mise en scène par Jean-Luc Revol a entamé un tour de France au mois de septembre dernier, embarquant les rires au passage.
Après deux mois passés à Lyon, Même pas vrai ! nous arrive à Paris fin janvier pour un début d’année amical et jubilatoire.

A juger de l’ambiance qui règne dans les coulisses, l’entente entre les comédiens n’est pas fictive. Ce qui nous laisse présager d’une entrée sur la scène du Théâtre Saint-Georges en trombe.

Vous nous trouvez un peu sûrs de nous ?
La pièce est passée devant le plus intransigeants des thermomètres un soir d’automne dans la ville d’Orange : un pompier volontaire présent dans les coulisses.
A la fin des saluts, ce dernier s’approche de Raphaëline Goupileau pour lui faire le baisemain et de préciser : “d’habitude je m’endors, mais ce soir j’ai tenu tout le long !”

 Les deux auteurs trentenaires, Nicolas Poiret et Sébastien Blanc, avouent modestement qu’ils écrivent ce qu’ils aimeraient voir sur scène.
Gageur de la sincérité de leur démarche et des surprises qu’ils nous réservent.

Au fait saviez-vous que Raphaëline Goupilleau et Bruno Madinier étaient faits pour s’aimer ?
La preuve : ils avaient participé à 3 lectures de pièces où ils interprétaient déjà un mari et une épouse avant que le metteur en scène de Même pas vrai ! ne leur mette définitivement le grappin dessus.
Classe !

Même pas vrai !
Du Mardi au Samedi 20h30 et matinées samedi 17h

De : Nicolas Poiret, Sébastien Blanc
Mise en scène : Jean-Luc Revol
Avec : Anne Bouvier, Bruno Madinier, Christophe Guybet, Raphaëline Goupilleau, Thomas Maurion, Valérie Zaccomer
Décors : Stéfanie Jarre

au Théâtre Saint-Georges
51, rue Saint-Georges
75009 PARIS

 

BON PLAN : Premiers aux premières du 25 au 31 Janvier 2014 avec 50% sur toutes les places ! 

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CONCOURS des invitations pour TETRAKAÏ par le Centre national des arts du cirque au Parc de la Villette

Pour bien débuter l’année, rien ne vaut mieux que de prendre de la hauteur.
Et la fougue de la 25e promotion du CNAC, Centre national des arts du cirque va vous donner de bonnes raisons de croire aux talents des artistes de demain.

A partir du 15 janvier, le spectacle Tetrakaï mené par 14 jeunes interprètes de 7 nationalités différentes installe son chapiteau au Parc de la Villette, à deux pas de la Géode.

Un spectacle de fin d’année du CNAC c’est l’assurance d’une écriture singulière à chaque fois grâce à la collaboration notamment d’un metteur en scène de renom et à l’énergie incroyable des acrobates et circassiens.
Cette année c’est Christophe Huysman, fondateur de la Compagnie Les Hommes penchés, qui s’y colle. Il apportera sa poésie pour révéler la performance de chacun.


CONCOURS !!

Nous vous proposons de gagner 2×2 places pour Tetrakaï le vendredi 17 janvier à 20h.

Pour cela il suffit de répondre à la question suivante :
Quel était le titre du précédent spectacle de la 24e promotion du CNAC présenté à la Villette en 2013 ? Indice

Envoyez vite votre réponse par mail avec vos prénom et nom (Tetrakai en objet) à :
usofparis@gmail.com

CONCOURS TERMINE !
Nos 2 gagnants sont Jean-Xavier et Nathalie. Bravo !
Et merci à vous tous et toutes pour votre participation. 

 TETRAKAÏ par le Centre national des arts du cirque
Du 15 janvier au 9 février 2014 à l’Espace chapiteaux
Parc de la Villette – Paris

Mercredi, vendredi et samedi à 20h, jeudi à 19h30, dimanche à 16h
Durée : 1h30

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CLUBKVIAR le club privé pour gastronomes futés ! Un resto à moins 30% ça vous dit ? – Coming very soon

Un club privé sur le net pour déjeuner ou dîner futé à Paris, vous y avez rêvé mais ne l’espériez plus ?

Vous allez saliver très prochainement avec le ClubKviar qui a la très bonne attention de vous faire faire de belles économies sur vos prochaines additions, tout en appréciant les joies de la gastronomie française.

Le concept a fait ses preuves avec un réseau de plus de 200 restaurants en Espagne (Madrid et Barcelone) et plus 80 000 membres comblés.
Avant de conquérir le reste de l’Europe (London en première ligne), une équipe de jeunes frenchies lance dans quelques jours le site parisien.

Dès votre inscription (gratuite) suite à notre parrainage, vous pourrez accéder à une belle brochette de restaurants et aux créneaux permettant la remise de -30% sur votre addition.
Assurez-vous de la disponibilité du ou des convives qui vous accompagnera.
5 euros petits euros pour confirmer la résa auprès de votre assistant personnel et le tour est joué.

Du coup, quand vous voyagerez, vous aurez aussi accès aux restos européens, en faisant le plein de bons plans en un clic.

Are you ready to eat ?

En attendant, allez donc jeter un oeil sur les plats exposés sur le blog : www.kviar.fr

Et suivi notre actu, pour avoir le précieux sésame pour accéder au club.

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Restaurant : PIROUETTE – Les Halles Paris 1er : l’oeuf parfait est à la carte !

On est toujours avide de trouver un bon resto dans un endroit où se regroupent des établissements à la qualité relative.
Et nous en avons découvert une adresse spacieuse, joyeuse et qui amuse le palais, tout tout près des Halles, la bien nommée : PIROUETTE.
Bien sûr, il y avait bien l’Autobus Impérial, mais notre dernière visite nous avait réservé un service un peu désinvolte.

Donc notre nouvelle petite pépite Pirouettecette adresse culinaire qui va ravir les papilles les plus endurcies.

Ne le cachons pas, ce restaurant, nous l’avons découvert lors de la journée d’HyperParisien avec ZoomOn Paris.
Mais ce n’est pas pour ça qu’il ne faut pas mettre en avant un coup de coeur culinaire.
Dans un cadre cosi-rétro-chic, Tomy Gousset (qui est passé par Le Meurice, Taillevent, ou Boulud à New York), nous offre une cuisine traditionnelle, simple et complice.

Commençons par les amuses-bouche.


Une crème de panais douce et onctueuse, un toast au fromage frais avec ses chips de jambon ibérique et une figue/ magret de canard onctueux, tendre et fumé de façon exceptionnelle. On chavire.

Une découverte pour notre équipe ensuite avec l’oeuf parfait, cuit au four durant 45 minutes à une température constante de 64,4°C.


Il en résulte un plat fondant, homogène à foutre des complexes aux rois des oeufs mollets !
Accompagné de son écrasé de lentilles et de son lard poloniata, c’est juste une invitation à grimper dans les nuages.

Pour suivre, un morceau de canard tout simplement exquis dans une assiette colorée.


Jamais nous n’avions mangé une chaire de canard aussi fine.
Disparu le goût prononcé qui accompagne souvent cette viande. Le morceau fond en bouche tel le meilleur des faux-filets de boeuf.
La sauce moutarde est véritablement à tomber et la purée de carottes douces,tout en délicatesse et discrétion.

Pour le dessert, le chef ne bâcle pas sa démonstration de style arrivant à mettre dans sa poche un rétif aux desserts chocolatés.

Le coeur a donc ses raisons et il fond.
Il faut dire que cette tarte est merveilleusement accompagnée d’une glace à l’orange et d’une crème d’orange au piment d’Espelette.

Bref avec un menu à 18€ pour le déjeuner, nous ne pouvons que vous conseillez de découvrir Pirouette d’une qualité aussi rare autour des halles et où l’on peut s’entendre parler à table.
Et pour les bourses un peu plus garnies, nous vous conseillerons les repas en soirée (menus à 40 et 60€), ambiance tamisée et carte des vins euphorique.

Pirouette restaurant les halles tomy gousset le meurice fooding zoomon paris équipe

Restaurant Pirouette

5, rue Mondétour
75001 Paris
TÉL : +33 1 40 26 47 81
Métro : Les Halles, Etienne Marcel, Châtelet

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CONCOURS à gagner des invitations pour Les Décaféinés et leur Dépression Musicale au Théâtre Trévise : dernière le 4 janvier 2014

 Ce drôle de couple de comiques qui aime lancer la chansonnette à toutes occasions et parfois dans le plus simple appareil – comme pour son célèbre sketch d’Adam et Eve – est sur la scène du Théâtre Trévise jusqu’au 4 janvier 2014.

Du mardi au samedi, Les Décaféinés, Rémi Deval et Clément Parmentier, vous envoient leur déprime en pleine gueule.
Et le pire, c’est que vous en redemanderez.
Vous voulez parier ?

Pas de longs discours, juste un extrait d’un de leurs passages dans l’émission de Ruquier « On n’demande qu’à en rire » pour vous convaincre de leur don inné pour l’humour et la chanson à texte.

Image de prévisualisation YouTube

CONCOURS

LES TOUTES DERNIERES INVITS sont à gagner pour le spectacle des Décaféinés au Théâtre Trévise les:
–  jeudi 26 décembre

– vendredi 27 décembre

– mercredi 1er janvier

– jeudi 2 janvier

– vendredi 3 janvier

 

ENVOYEZ-NOUS vite un mail avec vos prénom et nom accompagnés de la date de votre choix (bien préciser Décaféinés en objet du mail) à : usofparis@gmail.com

Les heureux gagnants de 2 invits chacun seront les premiers à nous envoyer un gentil message.
Ils recevront un mail de confirmation.

Bonne chance à tous et toutes!

Dépression Musicale par Les Décaféinés


au Théâtre Trévise
14, rue de Trévise
75009 PARIS

du mardi au samedi 20h

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Critique DVD : concert MUSE Live at Rome Olympic Stadium – The Unsustainable Tour 2013

5 ans sans DVD live. Et le groupe MUSE nous en livre un nouveau enregistré au Rome Olympic Stadium.
Et c’est peu dire que ce live était attendu.
Après une avant-première dans les cinémas dont une séance exceptionnelle à la Géode en présence du groupe, en novembre dernier, les fans attendaient cette sortie avec une grande impatience.

Voici une revue exhaustive du DVD live à Rome (en français dans le texte).

Le maître-mot de ce DVD c’est 4K. Mais c’est quoi le 4K ?
Pour vulgariser : un procédé qui enregistre avec une qualité 4 fois supérieure à la haute définition (HD), une première pour un live !
Pour bénéficier au maximum de cette qualité d’image exceptionnelle, un conseil : procurez-vous la version Blu-ray.
Même si, sur la version DVD classique, on ressent cette différence de taille dans l’image.

Sinon du point de vue réalisation, qu’est-ce que nous avons ?
On plane, on survole. On est dans le public : il ne manque que l’ambiance et l’énergie de la foule du stade pour se croire plonger dans cet événement si particulier. Et surtout, on se retrouve sur scène avec le band à un point tel que l’on rêverait d’être juste une fois à la place d’un des membres pour ressentir le pur frisson.

Un concert de Muse est un moment particulier, un espace-temps à part.
En restant objectif, rares sont les groupes qui offrent un tel spectacle, avec une telle intransigeance scénique et un tel partage avec le public.
De mémoire, seuls Arcade Fire, Dionysos et peut-être les Scissor Sisters offrent un show si communicatif et revigorant.
Et si votre écran dépasse les 90 cm de diagonale, avec ces images d’une si haute définition, vous serez véritablement plongés au coeur du show. Vous prendrez part au spectacle.

D’ailleurs, le mot spectacle ce n’est pas un vain mot.
Pour ceux qui n’ont pas vu le concert depuis la fosse ou les gradins, en plus d’un mur d’écran, des musiciens sur scène, il fallait aussi compter sur la présence d’acteurs en chair et en os.
Ces scénettes sont astucieusement mises en scène dans ce live. Nous laissant alors pleinement profiter du jeu d’acteurs tout en pouvant voir le spectacle en parallèle. La caméra créant même parfois de vrais tableaux visuels, comme sur la reprise de la musique originale du film Il était une fois dans l’Ouest où un homme d’affaire est étendu sur scène.

Grâce au montage, ce live se transforme en un véritable film. On est loin du rythme effréné d’images proposé habituellement pour les captations de concerts rock.
On prend le temps de se poser sur un plan, on le laisse se dérouler. Le plan le plus court doit faire une seconde, un fait rarissime !
Et c’est un vrai plaisir d’avoir le temps de voir, pour une fois.
Les images aériennes sont magnifiques et les cadrages laissent la part belle à la grandeur du stade, à l’osmose entre les artistes et leurs fans.
On est transporté à Rome.

Autre surprise, le public est très présent dans ce live.
Clins d’oeil complices à la caméra, plans sur les premiers rangs, les visages spectateurs apparaissent régulièrement dans les transitions entre les chansons, comme si vous parliez à votre voisin de show.
Le montage apaisé ramène l’égocentrisme musical d’un live à une vraie communion entre le public et les artistes.

MUSE nous offre donc un live d’une qualité visuelle exceptionnelle, une réalisation aérienne, légère et bien pensée, alliée à un montage d’une grande sobriété qui met en avant l’ambiance, la musique, le public et bien entendu le trio britannique.
Le seul regret, ne pas avoir la version tonitruante de Unsustainable, qui est totalement taillée pour un stade (une petite explication de Matthew ici).
Pour les fans, ce Live at Rome Olympic Stadium est le must-have à posséder dans sa vidéothèque. Et pour les moins connaisseurs, un vrai show pour découvrir l’un des meilleurs groupes de rock dans son meilleur élément : la scène. Un band qui aime les grandeurs, de la trempe d’un Pink Floyd, U2 ou encore Depeche Mode.

En Bonus DVD
Vous retrouverez le making-of d’un concert de la tournée “The 2nd Law Tour” (concert en salle) intitulé The Road, mais aussi trois titres captés en live durant la tournée américaine US Arena:
Stockholm Syndrome à Las Vegas
Unsustainable à Las Vegas (Ouf un Live existe ! même si c’est la version en salle)
Liquid State à Dallas

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 MUSE Live at Rome Olympic Stadium

En CD, DVD et coffret CD+DVD

 

Photographies ® Hans-Peter van Velthoven

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CONCOURS Samsung Design Awards. Etudiants et jeunes diplômés, imaginez le futur de la communication

Vous avez moins de 30 ans, étudiant(e) ou tout(e) jeune diplômé(e) dans le domaine du Design, le concours Samsung Design Awards est pour vous.
A la clé, l’aide d’un designer pro pour les 10 finalistes et jusqu’au 10 000 euros pour les projets lauréats.

Fort du succès du programme Launching People qui a célébré 4 lauréats dans 4 catégories – Design, Vidéo et Photo, Food Cuisine et Entreprenariat -, Samsung poursuit son soutien aux créateurs.
Le Samsung Design Awards lancé début décembre propose un défi aux graines de talents qui vivent, respirent et réfléchissent design.

L’idée de débuter une relation avec les designers de demain. Celles et ceux qui vont améliorer et réinventer le monde.
A partir d’une thématique imposée : Le futur de la communication, les jeunes diplômés et étudiants sont invités à se projeter sur la communication de demain.
Dématérialisation, objet hybride, téléphone qui ressemblera de moins en moins au mobile que nous connaissons, les perspectives sont grandes, l’imaginaire en ébullition.

Avec d’autres bloggers, notre équipe a été sollicitée pour réfléchir également à ce futur proche autour de 3 maîtres-mots chers à la marque : l’intuition, l’harmonie et la nature.
Le résultat : une multitude d’envies pour nous assurer à la fois de moins de traçabilité de nos faits et gestes sur le net, une communication totale avec l’autre et surtout plus respectable.
Pour les moyens d’y parvenir, nous avons besoin de vous.

Sachez que les 10 finalistes seront soutenus pour la préparation finale face au jury par deux grands noms du design : Anthony Lebossé, designer au sein de l’agence 5.5 Designstudio et Patrick Avril, directeur de l’agence Use Design.

Date limite pour déposer votre dossier : le 2 janvier 2014.
Il ne vous est pas demander une bible mais une présentation claire de 10-15 pages.
Et vous pouvez participer en solo ou à 3 personnes maximum.

Toutes les détails sur le site : Designed for

Et vous, comment imaginez-vous LE FUTUR DE LA COMMUNICATION ? 

BONUS : vous n’êtes pas étudiants en Design et avez plus de 30 ans ?
Commentez ce billet et/ou tweetez avec #samsungdesignawards vous participez automatiquement au tirage au sort (parmi les commentaire postés sous les articles annonçant le concours et les tweets envoyés avec le #) pour gagner un lot qui fera briller les yeux des geeks avec un Samsung Galaxy Gear et un Galaxy note 3 !
Deux lots au total sont à gagner.
Date limite de participation à ce concours ouvert à tous et toutes le 23 décembre.

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Interview du groupe ALINE : Romain Guerret et Romain Leiris pour Regarde le ciel le meilleur album de l’année et la tournée

Le lendemain du concert d’Aline à la Flèche d’Or et juste avant le début de la soirée « French Pop », nous avions rendez-vous au Motel avec Romain Guerret (chanteur) et Romain Leiris (bassiste) pour une interview. Dans une ambiance très amicale, et dans un langage très coloré, ils nous ont parlé de leur album, de leurs influences, de la « charte Aline », et de l’avenir.

Baptiste et Gérald (B et G) : En écoutant Aline, cela nous a fait penser à la chanson de Christophe Les Paradis Perdus, pour le côté nostalgique mais aussi pour le côté « rock qui étonnait même les Anglais ».
Romain Guerret
(RG) : Il y a plusieurs choses mêlées dans l’album. Des chansons apparues un peu au même moment, pendant des périodes un peu sombres, comme on peut tous en avoir, des moments où tu te raccroches à des bons souvenirs, à des histoires qui te font du bien ou qui te rassurent.

B et G : Votre style, le groupe Aline ?
RG : Léger dans la profondeur. Profondément léger, ou légèrement profond, je ne sais pas comment on peut dire. Notre style n’est pas unidimensionnel. Au final, l’album n’est pas très gai. Mais on ne verse pas dans le misérabilisme. En France, il y a une grande tradition de la chanson à texte. Nous au contraire on cherche à dire des choses simples, sans complexe, avec une sorte d’ironie sincère, sans désir de casser, de faire mal. On peut dire des choses qui touchent les gens avec de la pudeur, et peu de mots. Toujours à la recherche d’une histoire, d’une tranche de vie, d’un moment.

B et G : Un grand bravo à la section rythmique.
RG : C’est super important le rythme. Une chanson, ce n’est pas seulement des mélodies enlevées. La musique commence par la batterie, c’est la pulsation rythmique qui va orienter le morceau. C’est ce qui donne l’énergie. Ensuite il suffit de dérouler.

B et G : La basse sur Teen Whistle ressemble énormément à l’intro de Girlfriend in a Coma de The Smiths.
Romain Leiris (RL) : Je ne connaissais pas ce morceau de The Smiths. On s’en est rendus compte un jour de tournée, en l’écoutant dans le camion.

B et G : Meilleur album de l’année pour Magic RPM, « L’Ultima Canzone » d’Alex Rossi sur le podium des singles. Quelle est la suite pour 2014 ?
RG :
Le prochain album sera plus ciselé, plus aérien, plus sobre au niveau des arrangements. La strate guitare sera un peu plus en arrière-plan. Les synthés prendront un peu plus de place. On va creuser encore plus la ligne claire, en intégrant des choses nouvelles. L’album sera plus urbain, un peu plus noir. On va aller vers des teintes de gris, alors que pour « Regarde le Ciel », on était plus dans le bleu, le bleu ciel.

B et G : Comment se passe la composition musicale au sein du groupe ?
RL : Les premiers morceaux (Les Copains, Elle m’oubliera, Les éclaireurs, Obscène) ont été composés seulement par Romain Guerret. Ensuite chacun a appris à parler le même vocabulaire, on a mis en place la charte « Aline », la couleur et l’univers de l’album, en faisant émerger des références en commun (la scène garage 60s, The Velvet Underground, The Pixies, Belle and Sebastian, …).

by Marie Labat

B et G : Pourquoi ne reprenez-vous jamais de morceaux de Dondolo sur scène ? En particulier ceux de l’album « Une vie de plaisir dans un monde nouveau », qui sont vraiment très bons.
J’aime beaucoup certaines chansons de cet album, Shimera, par exemple. Mais on n’a jamais voulu mélanger Dondolo et Aline. Car Dondolo avait été un relatif échec, mais cela ne pouvait pas être autrement. On a évolué en nous interrogeant sur les raisons de ce non-succès.

B et G : Dans la grande tradition indie pop (« Hateful of Hollow » de The Smiths,  « Sci-Fi Lullabies » de Suede, « To see the lights » de Gene, …), ça ne vous tente pas de sortir un album de faces B, de reprises, de versions de travail, de morceaux en live ? Par exemple, avec les chansons Hélas, Je suis fatigué, Les éclaireurs, la reprise des Désaxés Tout ce que je veux, ou des versions acoustiques de Elle m’oubliera et Je bois et puis je danse ?
RG : Très bonne idée. Ce serait super, on va y réfléchir. On pourrait aussi mettre des inédits, comme
La rivière est profonde qu’on joue trop peu sur scène ; on peut aussi penser à des versions démos ou des versions alternatives.
RL : On a par exemple une version alternative d’
Obscène, avec un tempo très lent.
RG : Avant le deuxième album on aimerait bien sortir un CD comme ça.

B et G : Vous étiez en marinières hier, vous chantez en français. C’est une commande politique de Montebourg ?
RG :
La marinière c’est simple, très graphique, designé, et ça représente bien la France à l’étranger.

B et G : Aline représente la pop Made in France, et hors de France on s’intéresse à vous ?
RG et RL : Aux États-Unis oui. Mais on n’a pas de visibilité en Angleterre, ils sont très protecteurs. Et il y a aussi la grande famille de la pop qui va du Pérou à l’Indonésie. On a joué à Montréal, en Belgique. On pourrait faire une tournée aux Etats-Unis, un ou deux mois, comme un road trip. En tout cas sur le papier ça fait rêver. Tu pars avec 5 000 euros, tu dors chez d’autres groupes, tu te fais prêter le matos. Mais on peut en revenir complètement vidés.

B et G : Est-ce qu’il y a quelque chose qui tient à la météorologie dans la pop ?
RG : Il y a en effet des rapports à la politique, à la place d’un pays dans le monde, à la situation industrielle. Quelque chose qui tient à la grisaille ouvrière et à la culture populaire.
RL : J’ai vécu à Rennes ; les nuages super hauts, sans forme, avec une ambiance plus rugueuse. Tu as envie d’être avec des gens qui t’apportent une énergie, une chaleur, qui te donnent envie de sortir.

by Marie Labat


B et G : Romain, c’est ta maman qui tricote les bonnets qui sont vendus pendant les concerts ?

RG : Je lui ai laissé carte blanche, elle les fait avec des restants de laine.

B et G : On va maintenant terminer avec une interview « Dernier coup » ! Alors qu’Arnaud Pilard (guitariste) nous rejoint ! Dernier coup de cœur ?
RG :
Ma nana !
RL : Le petit village provençal dans lequel j’habite, Jouques. Tu vas remplir tes bouteilles à la source, c’est génial.

B et G : Dernier coup de gueule ?
RG :
En bagnole, j’ai insulté une automobiliste. Dans une bagnole, tu deviens vulgaire, tu deviens méchant.
RL : La voiture révèle la vraie personnalité de la personne qui conduit.
RG : Je te remercie !
(rires)
Arnaud (A) : Un journaliste des Inrocks, qui nous a classés dans le top album mais qui n’a pas écrit le bon titre de l’album.
RL : j’ai rarement des coups de gueule, mais je suis râleur au quotidien.

B et G : Dernier coup de foudre ?
RG : Sean Nicholas Savage. On l’a vu en live, on a beaucoup aimé. Ça peut hérisser le poil !
RL : Ma fille !
A : Ma nouvelle guitare, une Rickenbacker.

B et G : Dernier coup de fil ?
RL : ma compagne et ma fille.
RG : Julien Lorieux.
A : Le Père Noël.

B et G : Dernier coup dur ?
RG : Hier, je me suis pris une enceinte dans le bide, en déménageant notre local. Je crois que j’ai un hématome.
RL : J’ai éclaté ma voiture ! Je suis dégouté !
A : Quand Romain m’a cassé ma guitare lors d’un concert à Montréal.
RG : Mais en même temps ça t’a permis d’avoir ton dernier coup de foudre.

B et G : Dernier coup de rouge ?
RG, RL et A, tous ensemble : Hier soir à la Flèche d’Or.

Nous espérons vous revoir lors de votre concert à La Clé des Champs de Plaisir le 7 février 2014, pour un nouveau coup de rouge et quelques chansons inédites. A bientôt. Et encore merci pour Regarde le ciel , qui a été la bande son de notre année 2013.

by Baptiste et Gérald
http://ljspoplife.magicrpm.com

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Exposition événement THE ROLLING STONES 50th en photos – Galerie Nikki Diana Marquardt Paris jusqu’au 12 janvier 2014

Après Londres et New York, les 50 ans de carrière des Rolling Stones s’exposent en grands formats à la Galerie Nikki Diana Marquardt.
THE ROLLING STONES 50th fait halte à Paris pour un petit mois seulement.

Ce jeudi, soirée de vernissage de l’expo où il fallait être, les nombreux invités – parmi lesquels Philippe Manoeuvre, Patrick Bruel, Amanda Sthers et Jennyfer Ayache chanteuse de Superbus – retiennent leur souffle devant les visages ultra photogéniques des légendes du rock.

De grands noms de la photo les ont suivis tout au long de leur spectaculaire ascension.
Exceptionnellement, ici l’on retient la candeur des débuts, la complicité de Mick Jagger et Keith Richards, la blondeur éclatante d’un Brian Jones alors âgé de 23 ans shooté à l’arrivée du groupe aux Etats-Unis en 64. Sur les murs blancs de la galerie, des situations cocasses (Mick peu inspiré devant une tasse de thé, une séance photo dans une boutique de fringues), des descentes d’avion, un portrait intime de Keith assis sur une poussette, pieds nus dans un jardin bordélique.

La visite du mythe Rolling Stones se fait à travers de grands tirages photographiques et historiques tels un JFK largement célébré cette année ou une Marilyn Monroe.
Leur présence, leur charisme, les déplacements ont aussi bien marqué les esprits que la pellicule.

Le noir et blanc racé des débuts où chaque membre donne de son aura, brille par son style et impose une nouvelle vision du glamour masculin, fait face aux couleurs des grands stades mondiaux, scènes de shows maitrisés.

Alors que le groupe mythique vient d’annoncer les nouvelles dates (à Dubaï et en Asie) de sa tournée mondiale, ce retour en images offre une occasion de découvrir des photographies rares qui rappellent au combien le talent des Rolling Stones en termes de musique, de look et de buzz. Lady Gaga et U2 n’ont décidément rien inventé !
De quoi inspirer le plus hype des fashionistos. Pas vrai, monsieur ?

THE ROLLING STONES 50th, une expérience photographique et musicale

 

à la Galerie Nikki Diana Marquardt
10, rue de Turenne
75004 PARIS

Exposition ouverte au public du mardi au dimanche, du 13 Décembre 2013 au 12 Janvier 2014, de 11h à 19h
Fermeture exceptionnelle le 25 Décembre 2013 et 1er Janvier 2014

Entrée libre

exposition soutenue par Black XS de Paco Rabanne

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