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Restaurant : PIROUETTE – Les Halles Paris 1er : l’oeuf parfait est à la carte !

On est toujours avide de trouver un bon resto dans un endroit où se regroupent des établissements à la qualité relative.
Et nous en avons découvert une adresse spacieuse, joyeuse et qui amuse le palais, tout tout près des Halles, la bien nommée : PIROUETTE.
Bien sûr, il y avait bien l’Autobus Impérial, mais notre dernière visite nous avait réservé un service un peu désinvolte.

Donc notre nouvelle petite pépite Pirouettecette adresse culinaire qui va ravir les papilles les plus endurcies.

Ne le cachons pas, ce restaurant, nous l’avons découvert lors de la journée d’HyperParisien avec ZoomOn Paris.
Mais ce n’est pas pour ça qu’il ne faut pas mettre en avant un coup de coeur culinaire.
Dans un cadre cosi-rétro-chic, Tomy Gousset (qui est passé par Le Meurice, Taillevent, ou Boulud à New York), nous offre une cuisine traditionnelle, simple et complice.

Commençons par les amuses-bouche.


Une crème de panais douce et onctueuse, un toast au fromage frais avec ses chips de jambon ibérique et une figue/ magret de canard onctueux, tendre et fumé de façon exceptionnelle. On chavire.

Une découverte pour notre équipe ensuite avec l’oeuf parfait, cuit au four durant 45 minutes à une température constante de 64,4°C.


Il en résulte un plat fondant, homogène à foutre des complexes aux rois des oeufs mollets !
Accompagné de son écrasé de lentilles et de son lard poloniata, c’est juste une invitation à grimper dans les nuages.

Pour suivre, un morceau de canard tout simplement exquis dans une assiette colorée.


Jamais nous n’avions mangé une chaire de canard aussi fine.
Disparu le goût prononcé qui accompagne souvent cette viande. Le morceau fond en bouche tel le meilleur des faux-filets de boeuf.
La sauce moutarde est véritablement à tomber et la purée de carottes douces,tout en délicatesse et discrétion.

Pour le dessert, le chef ne bâcle pas sa démonstration de style arrivant à mettre dans sa poche un rétif aux desserts chocolatés.

Le coeur a donc ses raisons et il fond.
Il faut dire que cette tarte est merveilleusement accompagnée d’une glace à l’orange et d’une crème d’orange au piment d’Espelette.

Bref avec un menu à 18€ pour le déjeuner, nous ne pouvons que vous conseillez de découvrir Pirouette d’une qualité aussi rare autour des halles et où l’on peut s’entendre parler à table.
Et pour les bourses un peu plus garnies, nous vous conseillerons les repas en soirée (menus à 40 et 60€), ambiance tamisée et carte des vins euphorique.

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Restaurant Pirouette

5, rue Mondétour
75001 Paris
TÉL : +33 1 40 26 47 81
Métro : Les Halles, Etienne Marcel, Châtelet

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Restaurant NEOBENTO : le bento made in Paris funny, healthy & good mood – Marais

Healthy bento set in Paris !

NeoBento c’est la cantine good food, good mood & good vibe qui manquait à Paris.
Repérée grâce à l’équipe de l’Apéro Blog, l’adresse de la rue des Filles du Calvaire est l’alternative au burger du midi et du soir et surtout au brunch bobo à plus de 25€ sur terrasse bondée, grouillante, et un brin péteuse.

Vous ne pensez pas que le dimanche est aussi propice à la découverte d’adresses simples, affichant bonhomie et respect du convive, qu’il soit seul ou en famille ?

Chez NeoBento, c’est vous qui composez votre plateau selon votre humeur en 6 portions. Des légumes en entrée au nombre de trois, un mini-plat (viande, poisson ou végétarien), un accompagnement et le petit plaisir pour finir.

Au programme, salades composées tendres qui affichent le goût (lentilles, quinoacarottes en lamelles qu’on adore mais qui demandent du boulot au chef), propositions chaudes (burger, tataki de boeuf, steak de thon, tofu grillé…), pour certaines épicées (le délicieux poulet satay). Ajoutez à ceci une portion de riz onigiri – un petit délice de riz collant (dans la plus pure tradition japonaiseou les nouilles du jour et autres pommes de terre. En fin de plateau, les desserts anti-grise mine ont de quoi vous laissez rêveurs: le gâteau chocolat sésame est au coude à coude avec le tiramisu maison et le riz au lait avec coulis.

Les découvertes se font toutes les semaines. Comme par exemple, le petit sucré tout nouveau: un financier au coeur chocolat, nous a bien tapés dans l’oeil, samedi dernier.

La taille des portions permettent des compositions aussi bien sages que décalées.
Il ne faut pas hésiter à demander conseils pour les spécialités maison.

L’ensemble est agrémenté d’une tasse de thé froid, à prendre à la fontaine et à discrétion.

Lionel, le boss à l’origine du concept, avoue que certains lundis matins sont plus durs que d’autres quand il faut prendre la route de Rungis pour être aux premières loges car la section poissons ferme à 5h. Mais il apprécie son café en attendant que les fruits et légumes fassent leur entrée à 6h. Il charge ces bons ingrédients 2 à 3 fois par semaine pour les recettes du jour.
Le sourire ne faiblissant jamais.

Bon à savoir: la terrasse estivale offre une orientation plein soleil en début d’après-midi, après le gros rush de midi. Une affluence qui va sans doute avoir pour conséquence l’arrivée d’une 2e caisse. Pour les peaux sensibles, la salle intérieure offre fraîcheur et décontraction.

Ne manquez surtout pas de faire un petit tour aux toilettes et de les faire découvrir à vos voisins de tablées.
La pop japonaise dans les enceintes est un dépaysement supplémentaire.
So funny !

Et une impression étrange vous tombera sur le coin du nez, à n’en point douter, en fin de repas. Vous aurez sans doute, comme nous, une soudaine envie de déserter la rue Sainte-Anne. Les Japonais eux-mêmes ne s’étant pas trompés.
NeoBento a eu les honneurs de télés et de féminins comme Elle Japan pour la qualité de ses bento sets.
La parution des guides 2014 – attendus avec impatience – va certainement rajouter au buzz de cette adresse où il fait bon y revenir.

NEO BENTO
5, rue des Filles du Calvaire
75003 PARIS

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Restaurants Food NEW YORK CITY : Fornino, Momoya, Sylvia’s Restaurant – Brooklyn – Manhattan & Harlem

Amis voyageurs, dans l’article précédent, nous vous avions laissés avec les saveurs de Washington DC.
Aujourd’hui, plein feu sur La Grosse Pomme, la ville phare pour beaucoup de touristes et de Frenchies.
Melting-pot de cultures, New York nous offre un vaste choix  pour combler notre appétit.
Vendeurs de hot-dogs ambulants, food-trucks de toutes les nationalités, hamburgers, indiens, japonais… vous dénicherez toujours de quoi manger sur le pouce.

Du coup, nous avons fait une petite sélection de 3 restaurants qui nous paraissent incontournables pour découvrir la cuisine de cette ville.

FORNINO / Brooklyn

187 Bedford Avenue
Brooklyn, NY 11211

Pizza is everywhere !

New York est la capitale américaine de ce plat très apprécié des Français.
Mais la mère-patrie américaine de ce plat est réellement Chicago.
Beaucoup nous avait recommandés le Roberta’s à Brooklyn, mais les 1h /1h30 d’attente nous ont découragé.
Alors retour chez Fornino, toujours à Brooklyn, dans le quartier de Williamsburg, pour leurs pizzas cuites au feu de bois.

Vous trouverez sur la carte l’histoire de cette recette, en trois générations : Naples, Italie et Fornino.
Il y en a donc pour tous les palais, des classiques peu garnies des débuts (Margherita ou quattro fromagi), à celles actuelles plus complètes et surprenantes : comme ci-dessus Asperagi e prosciutto (asperges et prosciutto). A emporter, sur place en salle ou sous la tonnelle extérieure, vous trouverez forcement la pizza avec qui faire la paire.
Accompagnez-là d’un verre de sangria maison et vous passerez une très bonne soirée dans un des quartiers les plus hypes de Brooklyn.
Fornino est une excellente adresse pour finir votre longue balade de la journée à travers les rues aux boutiques arty, vintage et décoiffantes du district.
En dessert, le tiramisu maison emporte également la mise.

MOMOYA / Chelsea

185 7th Avenue #21
New York, NY 10011

The taste of Japanase food

Pour les habitués du japonais à la française, voici ce que l’on peut trouver à Manhattan, un poil plus que chez nous c’est vrai : 45 $ environ. A premier abord, le prix nous a un peu fait hésiter.
Mais le plateau que propose le resto Momoya a fini par l’emporter. Ce menu est garni d’un rouleau de printemps exquis et très frais et de sushis gouteux et  joliment ciselés jusque dans le moindre détail. Sans parler de cette sculpture en maquereau qui a échappé de notre photo ci-dessus.
L’attente de notre plat a été (très) longue mais au final un vrai plaisir pour les yeux et un orgasme gustatif.
Et même si la salle est pleine de new-yorkais en costume cravate, il faut absolument pousser la porte de cet établissement comme jamais vous en trouverez à Paris – mais si vous connaissez une adresse nous sommes preneurs.
(spéciale dédicace à Alex pour son 8ème sens culinaire)

SYLVIA’S RESTAURANT/ Harlem

328 Malcolm X Boulevard
New York, NY 10027
Harlem : ses églises, ses gospels et sa cuisine héritée des États du sud.
Et il faut bien le constater, le dimanche matin, les rues de ce quartier sont bondées, les restos aussi.
Après 40 minutes d’attente – il faut savoir patienter pour partager les bonnes adresses new-yorkaises –  nous avons pu goûter à la cuisine de Sylvia, la patronne, disparue peu de temps avant notre visite, mais dont le souvenir est encore célébré sur le portail mitoyen du restaurant.

Au Sylvia’s Restaurant, c’est l’âme pure et dure d’une certaine gastronomie qui s’exprime.
Les travers de porc (Sylvia’s world famous talked about Bar-B-Que Ribs) sont incroyablement bons.
Et le plus, c’est le grand choix pour les deux accompagnements (sides). Parmi les 13 proposés, nous vous conseillerons : les Pickled Beets (assortiments de légumes marinés au vinaigre), le Buttered Corn (une purée de maïs) et les fameux Blacked Eyes Peas (haricots blancs ornés d’un “œil” noir).
Même si l’addition n’est pas forcement raisonnable (24$ pour les travers de porcs de Sylvia), la qualité et la convivialité vous séduiront à n’en point douter.
Et si vous avez le choix, privilégiez la terrasse – même si elle est située sur le trottoir – très agréable.
Un dernier conseil, commandez ce qui vous fait plaisir, même si les quantités servies sont énormes et ne regardez pas trop l’assiette des gens du cru, frissons garantis !

Et si vous poussez la portes de ces restaurants, n’hésitez pas à nous faire vos commentaires à votre retour !
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Restaurants Food WASHINGTON DC : Circa at Dupont – Hank’s Oyster Bar & tips

Les vacances ne sont pas terminées pour tout le monde.
Certains vont profiter de l’été indien de septembre pour passer quelques jours chez nos cousins yankees, d’autres y partir en voyage d’affaires.
Alors l’équipe d’United States of Paris vous propose une sélection totalement subjective de restaurants, cantines qui agrémenteront, à n’en point douter, votre voyage outre-Atlantique.

D’abord, coupons court aux rumeurs: on peut très bien manger aux États-Unis.
Nous allons faire une pause fooding à Washington DC, une des villes emblématiques de la côte Est, vous trouverez forcément la perle rare dans les autres.

CIRCA AT DUPONT

1601 Connecticut Avenue, NW
Washington, DC 20009

Si vous êtes de passage à Washington DC, voici un petit conseil resto: Le Circa at Dupont (Dupont Circle).
Tout d’abord une terrasse agréable pour apprécier la chaleur de l’été. Des plats pleins de saveurs avec les spécialités de la maison pour un prix modéré, comme ce risotto aux coquilles St Jacques ou le pavé de saumon grillé.
Il y a aussi un choix de pizzas. Elles aussi très savoureuses, qui satisferont les petits appétits. Un très bon rapport qualité-prix. A noter les boissons softs sont à volonté. Et comme beaucoup de restaurants américains: repas complet servi en moins d’une heure. Un vrai moment de plaisir gustatif.

HANK’S OYSTER BAR

1624 Q Street NW
Washington DC 20009

Le homard (lobster in English) n’est pas en reste sur la côte Est.
Certains vous diront que le lobster américain n’a pas les mêmes qualités gustatives que le homard breton. Mais ce n’est pas une raison pour ne pas se laisser tenter.

Et côté tentations, le Hank’s Oyster Bar n’en manque pas. L’occasion de tester des plats différents tel ce Sake Oyster Shooters : huître dans un jus de Sake (alcool de riz japonais) et de tomate ou les gambas sauce cocktail/barbecue. Le premier est très surprenant, épicé et le deuxième, plus classique.

Celui auquel nous n’avons pas pu résister est le Lobster Roll with Old Bay Fries.
Les frites maison, ça le fait toujours. Mais le bun (pain légèrement sucré typique du nouveau monde) rempli d’un délicieux appareil foisonnant de homard à de quoi faire craquer n’importe quel réfractaire. La sauce (sorte de mayonnaise) s’accorde parfaitement avec la généreuse portion de homard. A vous maintenant de relever le challenge: en le croquant en entier.

Profitant de l’accueil sympathique de ce restaurant, nous avons voulu éclaircir le point noir de beaucoup de Frenchies voyageant aux États-Unis: LES POURBOIRES !

Sachez ami(e)s lecteurs qu’ils sont obligatoires. Mais à qui reviennent ceux-ci ?
Le personnel d’un restaurant gagnant un salaire fixe, les pourboires que vous laissez (au minimum 15% de l’addition) sont répartis entre la personne à l’accueil qui vous place, les commis qui vont servent et resservent de l’eau fraîche à volonté, et bien sûr votre serveur ou serveuse.

Et si vous poussez la porte de ces restaurants, n’hésitez pas à nous faire vos commentaires à votre retour !
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Restaurant L’ACTE 1, Franck Papillon reçoit avec plaisir et chaleur – rue de Vaugirard dans le 15ème à Paris

Découvrir un havre de fraîcheur, un lieu où l’on est bien accueilli à toute heure. Bref un restaurant plein de joie de vivre et avec un goût de revenez-y, ce n’est pas donné tous les soirs à Paris !
Lorsque nous avons poussé la porte de L’Acte 1 – au 121, rue de Vaugirard 15e –  ce samedi soir, nous ne nous attendions pas à une telle tornade!

Tout d’abord Franck Papillon, le chef trublion, qui vous reçoit dans sa petite salle d’une vingtaine de couverts.
La décoration faite de chapeaux melon reconvertis en luminaires est à l’image de notre hôte :  fantaisie et standing.
Ses maître-mots: truculence et plaisir de recevoir habitués comme nouveaux venus, qui poussent la porte de son établissement pour une soirée improvisée.

Parmi un carte riche et variée, il faut faire ressortir le soin délicat apporté à la sélection des vins qui s’adapte à toutes les bourses, sans coup de massue, avec un vrai choix d’esthète.

Sachez que pendant tout le repas, le chef s’affère derrière le bar pour vous servir du pain grillé à la demande.
Parfait en amuse-bouche avec une pointe de beurre.

Arrive l’entrée phare de la maison que Franck n’a pas manqué de nous présenter à notre arrivée pour nous faire saliver : l’oeuf bio papillon relevé d’oeufs de poissons volants Tobiko d’Alaska et de wasabi.
Fondant et radieuses sensations en bouche.
Succès: notre tablée en redemande.

Nos compagnons de dîner – un enterrement de vie de jeune fille uniquement avec des amis garçons – ont choisi le pêle-mêle de légumes.

Un rebelle a pourtant jeté son dévolu sur le Rocamadour tiède parsemé de truffe: gourmand à souhait, un plaisir fondant pour les papilles, surtout accompagné du pain frais grillé minute.
Un plat plébiscité par les habitués, qui devrait prochainement rentré sur la carte du restaurant.

Pour les plats principaux, commençons par le Quatuor de poissons fumés: flétan, saumon, thon et truite.

La force du thon rouge contraste avec la douceur du flétan.
Ne pas hésiter à les déguster avec la crème fraîche étalée sur un morceau de blinis.
Un parfait plat d’été.

Pour ceux qui ont choisi le filet de canard et sa sauce truffée, c’est force et culot sous la fourchette.
En cuisine, lors de la préparation, en avait entendu le chef, heureux derrière ses fourneaux, lancé un: “Ça sent la campagne !” Et ce canard nous offre toute l’attention que l’on recherchait.
Un sans faute.

Et pour finir, quoi plus naturel d’écouter les invitations gourmandes proposées par le patron ?

Une tarte fine aux pommes avec glace artisanale au beurre salée et caramel pour les uns.
La délicatesse de la tarte ferait presque oublier que quelques calories en plus se cachent dans ce dessert.

Sorbet citron façon Colonel agrémenté de son shot de vodka distillée à Saint-Tropez, pour les autres.
Cette liqueur est d’une réelle intensité pour une fabrication française.

En résumé, l’Acte 1 est un vrai gros béguin.
Tant pour sa cuisine que pour la bonhomie de son hôte, Franck Papillon, capable, par exemple, de vous faire aimer à nouveau un morceau de fromage alors que vous étiez plutôt en froid ces derniers temps.

On est curieux de l’excuse que vous pourrez nous trouver vous interdite à succomber à votre tour.

L’ACTE 1

121, rue de Vaugirard
75015 PARIS
Tél. 01 53 86 86 77

Métro: Falguière, ligne 12

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VEILLEE FOODSTOCK 2013 au Nuba de Docks en Seine: Naive New Beaters, Keziah Jones, le Roseval et CheZ Aline

Edition 2013 de la Veillée Foodstock ce jeudi à Paris.
Nouveau décor cette année, après deux saisons passées dans les jardins du Mac/Val, l’équipe du Fooding s’installe sur les bords de Seine.
Direction Le Nüba sur le rooftop de la Cité de la Mode et du Design avec vue plongeante sur la city.

Une nouvelle fois, les précieux sésame se sont arrachés en quelques minutes sur le site de l’organisateur.
Avec Le Fooding, il faut être bien renseigné et à l’affût pour ne rater aucune opé.

Et la pluie n’a pas freiné la motivation des foodeux et foodeuses désireux de nouvelles expériences gustatives.

Derrière les fourneaux, les gourmets peuvent compter sur Michael Greenwold et Simone Tondo du restaurant Roseval dans le 20e, élu meilleure table 2013. Le duo nous propose, pour débuter, une soupe – qui donne plus la sensation d’un velouté – de pommes de terre fumées avec langoustine crue, fleur de ciboulette.
Une petite note qui réchauffe les guests présents sur la terrasse et quelque peu humides, qui reprendraient bien une cuillère ou deux!

Cette entrée est suivie de près par une petite salade de saison et fromage fermier concoctée par Delphine Zampetti 
Un mélange fin et croquant pour faire vibrer le palais.
La chef du resto CheZ Aline dans le 11e n’a pas chômé pour ce rendez-vous car elle a préparé deux autres réjouissances: un sandwivh salers mostarda et le dessert crémeux.

L’équipe d’UsofParis en profite pour s’éclipser et réaliser l’interview-photomaton de la sensation musicale du moment qui vous envoie un sacré coup de vent dans le brushing. Nous avons nommé les Naive New Beaters.
Le groupe, tout juste revenu de Barcelone, joue la carte de la déconne tout au long de l’entretien
Les réponses sont à lire prochainement sur ces pages.

Retour en terrasse avec 3 girls au look travaillé: Théodore, Paul & Gabriel jouent avec les gouttes, pour éviter tout désagrément à leurs instruments. La sagesse est de mise pour cette pop raffinée.
Nos voisins sont un peu contrariés par la taille des portions et ont peur d’avoir encore un peu faim en sortant. Mais ils préfèrent en rire plutôt que de passer pour des râleurs.

La soirée se poursuit avec les sautilleurs du soir: Naive New Beaters, sur fond de rôtisserie avec le cochon de lait à la broche de Christophe Dru, du resto Boucherie les Provinces.
Les 3 compères ne vont pas hésiter à jouer les prolongations face à un public réchauffé par le rythme.

Suivront Winston McAnuff et le grand attendu de l’événement: Keziah Jones arrivé en retard à cause des transports.
Le chanteur-charmeur débutera son tour de chant à minuit pile pour le plus grand bonheur des courageux qui seront restés, bien emmitouflés dans leur couverture, au coin du feu.

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Restaurant GUS’ l’atelier gourmand #Paris 17e: afterwork, quiches gourmandes, tapas et charcutaille

Jeudi c’est after-work chez Gus !

Un jeudi par mois dans le 17e, les bandes d’amis synchronisent leurs tablettes pour un rendez-vous gustatif et convivial.

Exit les ambiances apéro-cocktail pour jeunesse dorée avec séance de drague avec ta voisine. Ici, le gérant, Julien Chapuis met un point d’honneur depuis septembre à surprendre le palais de celles et ceux qui poussent la porte de cette cantine prisée au déjeuner par les serial workers.

Ce jeudi de novembre, le foie gras est à l’initiative du ralliement de nouveaux venus. Selon la découpe, l’ingrédient roi des fêtes de fin d’année s’offre en une série de déclinaisons aussi ludiques que goûteuses.

Au côté des assiettes de charcutaille 100% françaises, des plateaux de cupcakes au foie gras intriguent.

On connaît à la fois le délice de ce dessert venant des States mais aussi sa capacité quasi immédiate à causer parfois un profond écœurement car trop sucré ou trop gras, voire les deux. Rappelons ici que nous sommes les premiers à le célébrer et à le maudire à la fois !
Ce petit cupcake salé sous sa mousse de foie cache en son cœur un dé de foie gras. Une sensation moelleuse et surprenante en bouche.

Suit le mini-burger au foie poêlé préparé par le chef devant les yeux des gourmands.  Une préparation minutieuse pour ne perdre aucune miette des ingrédients simples en version miniature. Le chef avoue s’adonner à cette recette pour la première fois. Le coup de main est remarquable.

Fin de partie avec le velouté de potiron avec mousse… au foie gras. C’est chaud et doux.

Entre deux dégustations, un tour du propriétaire s’imposait pour comprendre l’esprit de la boutique-restaurant et ses best-sellers.

C’est donc Julien, le gérant, qui nous fait les présentations. Tout d’abord, avec ces quiches gourmandes au lard généreux.
L’occasion aussi de balayer un a priori : les plus gros consommateurs de charcuterie sont des… femmes ! Aussi étonnant que cela puisse paraître, après une phase de diète, les girls reviennent vite à leurs premières amours : saucisson et autre jambon. « Mais attention, nous précise le boss, cette passion est cyclique. Alors que les mecs eux sont constants. »

En parlant d’eux, saviez-vous qu’ils se laissent assez vite chauffer par une part de tourte viande au Riesling (recette alsacienne) ?

Pour l’anecdote, un couple d’Américains est arrivé à 11h un matin. Les amoureux ont débuté par une assiette de charcuteries avec verres de vin. Ils ont été ensuite rejoints par 4 autres convives from US. La petite bande aurait quitté les lieux à 17h, conquise et repue. L’amour de la cochonnaille n’a donc pas de frontière.

La France, les producteurs régionaux sont à l’honneur dans cette enseigne, dont les associés viennent de Nantes. Quelques détours vers d’autres savoir-faire sont possibles comme avec ce pain de mie japonais fondant en bouche.

Next time à l’after-work de Gus!

 Gus’ l’atelier gourmand
62, rue de Prony
75017 Paris

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DESSERT: Esprit de Fêtes – la Bûche de Noël en déclinaison marron au restaurant 1 place Vendôme

Après avoir goûté en avant-première à la bûche de Noël pistache-griottes avec Stéphane Gaudard de la Pâtisserie des Martyrs, la curiosité de l’équipe s’est portée sur Esprit de Fêtes.
La bûche conçue par le chef Pâtissier du restaurant Le 1 place Vendôme, crée depuis quelques semaines une certaine ébullition dans le cercle privilégié des journalistes et autres chroniqueurs-fin gourmands.

Tout d’abord, son élégance et sa photogénie n’y sont pas pour rien dans l’attrait originel pour ce petit bijou de dessert hivernal.
Ensuite, le restaurant à deux pas de la rue du Faubourg St Honoré, discret et cosy – moins bobo que le Costes, son voisin – offre un cadre d’une impartiale quiétude.
Offrant une parenthèse dans la frénésie et la surenchère sonore et visuelle de ce quartier.

Dans l’assiette, une première surprise que le dossier de presse s’était bien gardé de dévoiler.
La part individuelle du dessert n’est pas seule.
Une boule de glace au miel sur lit de poudre de macarons, l’accompagne en effet, afin d’apporter toute sa fraîcheur à un dessert qui doit venir parachever un déjeuner ou dîner ô combien délicat.

Produit de saison, le marron – la truffe des pâtissiers – s’offre une déclinaison en crème et en confiserie sur le dessus, en guise de cerise sur la coque en chocolat.
De l’aveu même du chef pâtissier, le marron a été représenté comme un joyau.

Cependant le chocolat n’est pas en reste, pour autant. Deux saveurs, deux sensations et deux institutions pour la coque et les carrés latéraux.
Le cacao Criollo face au cacao Trinitario.
Barry et la Chocolaterie de l’Opéra unis dans une même assiette.

Côté préparation, ne pas compter sur des étapes de congélation pour cette bûche inventée par Mourad Rachdi.
Le jeu de crème sur crème sur biscuit croustillant, lui permet une préparation un montage à la minute pour cette composition inventée à partir du mois d’octobre.

Avant la visite d’United States of Paris et de Sous le ciel de Paris, le jeune chef pâtissier de 23 ans a rencontré plusieurs journalistes.
A son grand étonnement, chacun d’entre eux avec une question particulière sur un aspect de sa création.

Beaucoup de commentaires se sont portés sur la glace au miel que d’aucuns s’attendaient à être sucrée.
Au palais, l’impression est, en effet, toute autre: fraîcheur et retenue du goût sont invoqués pour un meilleur dialogue avec le marron et le chocolat.

D’autres ont relevé la grâce de la mousse, aérienne.

Et pour finir, la fine équipe a été marquée par la coque de chocolat qui se détache de la mousse.
Sa présence n’est pas sans rappeler le contour d’un sac à main de la meilleure élégance.

Pour finir, quelques traits de chocolat en impression de marbre, afin de faire ressortir la bûche et la glace de chaque côté de l’assiette.

Et un Waouh! de circonstance lâché par un des journalistes, préférant la proposition du 1 place Vendôme à celle d’autres grands noms de la pâtisserie, Pierre Hermé en tête.
Cette comparaison étant d’autant plus signifiante quand on sait que Mourad est un ancien élève du pâtissier super star.

Et si Paris était un dessert?
Réponse du jeune chef pâtissier: “un fraisier, pour sa saveur et tout le monde aime ce dessert.
Et Paris, on ne peut pas ne pas aimer cette ville.”

Dernière info – essentielle pour celles et ceux qui liront ces lignes – il est possible de commander la bûche Esprit de fêtes en version 6 ou 9 personnes.

Restaurant Le 1 place Vendôme
1, place Vendôme
75001 PARIS

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Concours photo LE PLUS BEAU BENTO avec le Publicis Drugstore Paris – Evénement EAT IS ART

 Lundi 8 octobre.
Coup d’envoi au Publicis Drugstore de l’événement food de la rentrée: EAT IS ART.

Un rendez-vous pour les passionnés de cuisine qu’ils soient des dieux des fourneaux ou de redoutables gourmands.

Sachez qu’il y en a pour tous les palais.

Les plus inventifs peuvent concourir pour “Le plus beau bento“.
Du 8 au 18 octobre, postez votre création sur le mur de la page Facebook du Drugstore.
Les dix bentos ayant reçu le plus de likes passeront ensuite devant un jury.

Photo originale de La Parigina – Blog Sous le ciel de Paris

A cette occasion, sera présente La révélation de l’émission C à Vous sur France 5: Farida.
Notre foodista et cordon bleu préférée officie depuis la rentrée une semaine par mois.
Sa fantaisie mais aussi son regard généreux sur les bonheurs culinaires seront un atout pour décerner le premier prix qui sera remis le 24 octobre.

L’équipe du blog a envie de se frotter aux amateurs de ce plat japonais.
Et pour se préparer au challenge, une virée sur le net pour chercher l’inspiration s’imposait.

Attention les yeux, les audaces sont impressionnantes, entre hard-rocker, héros de dessin animé ou célébration d’événement!

Alors oserez-vous?

Celles et ceux que les ustensiles de cuisine rebutent, rassurez-vous, EAT IS ART propose une programmation originale avec des séance de ciné “Food”, des dédicaces et autres délicieuses rencontres.

Les carnivores seront très certainement émus par les attentions de l’artisan boucher Olivier Metzger dont on peut déguster la viande au Drugstore Steakhouse, aux côtés d’autres grands noms.
Rencontre est prise tous les mercredis et jeudis du mois d’octobre à l’épicerie pour une dégustation de ses viandes.

Cheddar burger dry aged origine péninsule ibérique de chez Olivier Metzger Publicis Steakhouse paris

Les fous de sucrés auront, eux, les faveurs de Philippe Conticini, chef de la Pâtisserie des Rêves qui installera son Bar à Choux à l’épicerie.

Paris Brest de Philippe Conticini La Pâtisserie des rêves rue du bac paris dessert gourmandise Enfin, la création visuelle sera à l’honneur avec une installation photo version grand format à l’occasion du Festival international de la photographie culinaire.

Vous ne contrôlez plus votre salive?
Prenez la direction des Champs-Elysées!

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Livre: Les Coups d’food de FARIDA – Les meilleurs spots de Paris par la Foodista de Cuisine + et Radio Nova

Nous avons tous et toutes une foodista qui sommeille en nous.
Et Farida, chef aux fourneaux de l’émission C à Vous sur France 5 depuis la rentrée, va nous aider à la révéler.
La preuve? Son livre Les coups d’food de Farida publié aux Editions du Chêne, qui fait l’actu.

Vous n’avez pas de tablier? Qu’importe!
Vous savez désormais que vous pouvez assumer votre penchant pour le dernier sac Chanel ou la sneaker montante dernier cri tout en mettant la main à la pâte… feuilletée.

Des complexes? Il n’y a aucune raison pourtant.
Les recettes simples et géniales de Farida vont vous offrir de nombreuses occasions pour révéler le cordon bleu refoulé. Mais pas seulement.

Car cet ouvrage riche en délicates attentions, gonflé de bons plans, a de multiples entrées possibles.
Une envie de resto insolite ce soir? Un oeil page 98.
Un fromage qui pue transpire dans le réfrigérateur? La page 115 vous conseillera les 5 trucs pour le maintenir en vie.
Vous ne saviez pas que la comédienne Audrey Dana était aussi une foodista? Rencontrez-la dans sa cuisine.

Messieurs, nous vous entendons déjà râler sur l’aspect très girly du livre de prime abord.  La couverture rouge passion, les post-it en forme de coeur ou les conseils beauté faits maison ne vous attendrissent absolument pas?
Regardez pourtant de plus près et osez dire que le minois de Farida et de son avatar- croqué par Solène Debiès – n’est pas suffisamment irrésistible pour apprivoiser mandoline, siphon, rice-cooker, ou autre chalumeau.
Imaginez plutôt: sorti du lit, en slip et claquettes, vous vous sentez perdu en terrain inconnu: la cuisine. Les pages “T’as de beaux restes, tu sais…” seront votre salut pour impressionner votre girl avec les quelques miettes qui résistent dans votre réfrigérateur.

L’équipe a pioché 3 infos qu’elle a jugées indispensable de partager.

Tout d’abord, blondir. En cette période printanière le terme est plus qu’approprié. Le surfeurs sont les premiers à apprécier les joies d’un soleil sur leurs cheveux. Coloration naturelle mais racines en hiver.
Oui mais en cuisine, blondir c’est tout autre chose:

Une envie de pause sucrée? Dans la rubrique “Toujours avoir dans son placard”, aux côtés des pâtes, du riz et autres bouillons en cube, toujours avoir chez soi du lait concentré sucré.
Surtout, quand maintenant on connaît le petit plus que nous propose Farida. Un délice!

Et pour finir. Celles et ceux qui cherchent des accords de goûts détonants et loin du traditionnel boudin noir/pommes, jetez un oeil dans le top 5 dans 5 couples stars qu’il faut avoir essayé une fois dans sa nouvelle life de foodista/o.
L’équipe en pince pour le camembert/spéculoos et le saumon/pomme golden. Diablement surprenant.

A noter: une bloggeuse-twitteuse parisienne se cache dans les pages. La trouverez-vous?

Farida est à suivre d’urgence sur sa page Facebook, pour être informé de ses prochaines dédicaces et séances de dégustation à travers toute la France.
Et découvrez-la dans le portrait chinois réalisé par La Parigina, via le blog  Sous le ciel de Paris.

Livre: Les Coups d’food de Farida, confidences d’une foodista à Paris…
Par Farida
Illustration: Solène Debiès

Editions du Chêne

Farida est chef invitée sur le plateau de l’émission C à Vous à 19h une semaine par mois, sur France 5.
Ne ratez pas ses recettes live !

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