Electrelane live summer tour à Paris

En plein Summer Tour, Electrelane a comblé son public français lors de son dernier passage à Paris. Après le concert survolté à la Plage du Glazart, le lendemain les membres du groupe s’offraient une rencontre avec leurs fans. Une rencontre sur canapé, un peu comme à la maison, à la boutique de disques culte Gals Rock.

L’occasion était trop belle pour ne pas leur demander leurs impressions sur ce retour à Paris après 4 ans d’absence. Une absente lors du tournage: Mia Clarke, la guitariste du groupe. Mais rassurez-vous, on se console largement avec le sourire de Verity, Ros et Emma.

Rendez-vous est pris pour un concert sur le toit, certainement au 7e ciel, lors de leur prochain séjour parmi nous.
D’ici là, vous aurez à nouveau la chance de les voir sur scène à la Route du Rock, à Saint-Malo, le 12 août.

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Le plateau-déjeuner d’Hélène Darroze & Matalie Crasset

C’est dans les pages du supplément poche du magazine Vivre Paris que j’ai trouvé l’inspiration pour une sortie gastronomique à moindre frais. Mon  nouveau défi: tester le plateau-déjeuner d’Hélène Darroze, chef étoilé du 6e arrondissement.

Installé au rez-de-chaussée du restaurant, en face de la cuisine réservée à la confection des desserts, les convives prennent place dans de petits fauteuils. Le cadre est classe mais sans esbroufe. Un mur de papillons apporte une note d’évasion à ce salon qui manque d’ouverture sur l’extérieur.

Hélène Darroze mur papillons salonL’excitation est à son comble à l’arrivée de ces tapas qui vont exciter les sens. Présentés sur un plateau designer par Matalie Crasset, ces mini-mets attisent l’appétit. Leur énoncé fait chavirer: Parmentier de canard, sucette de foie gras rehaussé de pain d’épice, légumes de saison.

Cet ensemble qui change plusieurs fois par semaine a un ordre de dégustation. Il nous est vivement conseillé de débuter par la soupe froide de gaspacho blanc aux touches d’amande et d’ail. On poursuit avec des tempuras de St Pierre en beignet à tremper dans une mayonnaise à l’oseille sauvage. Tendres et doux.

On succombe, ensuite, au merlu accompagné d’haricots verts, de radis, envoloppés d’écume d’amande.

Il faut toutefois une bonne tranche de pain pour saucer ces petites portions et surtout combler la légèreté de ce plateau.

Plateau déjeuner tapas Hélène Darroze Le sucré n’est pas en reste. Le déjeuner se terminera par un crumble sculptural et biscuit chocolat Nouvelle-Guinée avec spaghetti et pointes de meringue.

Dessert crumble chocolat Hélène Darroze

Et surprise du chef, avant l’addition, une guimauve au citron vert et huile d’olive finira de vous combler.

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Electrelane comeback in Paris – live à la plage de Glazart

Ciel clément au dessus de la Plage du Glazart pour le retour inespéré d’Electrelane, ce vendredi, à Paris.

On n’espérait plus trop une reformation. Certains d’entre nous, après avoir tout juste entendu les mélodies du groupe lors d’un de ses derniers passages à Paris – en première partie de Arcade Fire à l’Olympia, par exemple – se retrouvaient aussitôt en deuil suite à l’annonce de leur séparation en 2007.

Je n’étais donc pas le seul sur le sable humide à avoir retardé mon départ en vacances pour apprécier ces retrouvailles avec les quatre filles dans le vent.

Pas d’album en vu, pas de nouveau titre, ni “de label”, de l’aveu même de Verity à un fan éploré.
Simplement pour nous,  l’envie de reprendre une bonne dose. Pour elles, le plaisir de partager à nouveau leur inspiration à travers l’Europe pour une tournée d’été débutée le 16 juillet en Turquie.

Le concert commence donc par un Gone under Sea des plus planants, pour enchaîner avec Bells. Le soleil refait surface pour éclairer les joues de la charmante Mia Clarke juste avant l’instru, Eight Steps.

Ros Murray à la basse, en profite pour exprimer, en français dans le texte, leur plaisir à toutes de jouer à la lumière du jour et de pouvoir voir leur public après cette longue absence.

To the East finit de ragaillardir les esprits. Et le rythme ne faiblira plus de la soirée.
Le visage de Verity Susman, aux claviers, ne peut cacher un sourire en voyant le public réagir aussi bien et entonner les refrains.

Ca chahute ferme et ça se pogo en devant de scène, quitte à écraser quelques pieds et envoyer des bières valser.

Arrive dans la setlist une reprise détonante et décalée. Celle de Smalltown boy de Bronski Beat alias Jimmy Sommerville, qui scotche les très rares récalcitrants qui n’avaient pas trémoussé leur arrière-train.

Les filles ne boudent pas leur plaisir à envoyer des riffs énergiques et décoiffants. Les franges volent, les doigts de Mia ont comme un don d’ubiquité.

Et l’on peine à se consoler à l’écoute du  morceau Long Dark envoyé avec force.

Mais l’aventure n’est pas finie puisque une vidéo de la soirée est à venir sur le site. Ouvrez l’œil!

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Sharleen Spiteri en interview aux Nuits de Fourvière à Lyon

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Après le compte-rendu du concert donné par le groupe Texas lors des Nuits de Fourvière, l’équipe d’US of Paris vous propose une petite surprise.

En effet, Sharleen Spiteri a comblé les quelques fans présents lors des balances du groupe, ce mardi. Entre autographes et séance photo, elle a accepté de répondre à 3 questions.
Le temps d’apprécier ses lunettes Rayban, son bel accent et son sourire.

3 minutes de complicité à partager.

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Texas en tournée estivale – escale à Lyon aux Nuits de Fourvière

Pour son retour en terres lyonnaises, le groupe Texas mené par une Sharleen Spiteri plus que jamais débridée a éloigné toutes menaces de pluie au dessus du Théâtre Antique de Fourvière.

Ce mardi, les fans sont venus de loin pour se délecter des retrouvailles du groupe made in Glasgow et de son public français. Jurassiens, Auvergnats, Parisiens composent un public joueur et compressé -4500 spectateurs débordant de la fosse et des gradins.  Et plus surprenant, il faut aussi compter sur la présence de Texans, from US. Au cours du concert, Sharleen évoque amusée l’anecdote arrivée à son  ingénieur du son s’approchant de deux spectateurs lors des balances en milieu d’après-midi. Ces derniers portaient fièrement un tee-shirt célébrant Texas. L’ingénieur les interroge sur leur attachement au groupe. Méprise, ils arborent les couleurs de leur état d’origine!

Après deux albums solo, Sharleen Spiteri a donc repris les routes des festivals d’été avec son acolyte de toujours Ally McErlaine. Après une première partie chevelue, menée par Medi, un peu trop rétro pour vraiment emballer, le groupe comble l’attente en balançant dès l’ouverture leur incontournable I don’t want a lover.

Suivent dans un rythme soutenu: Halo, Every day now et In our lifetime. Et un titre peu joué, de l’aveu même de la chanteuse, en dehors des dates françaises: So called friend.
En  milieu de soirée, Texas nous gratifie d’un titre inédit en guise de teaser pour un nouvel album sans date de sortie. Ce sera Conversation. Il est faut bien avouer qu’à la première écoute, le titre est un peu anecdotique par rapport aux standards qu’ils nous ont habitués à entendre depuis plus de 20 ans.

Tout en regrettant que le groupe ne nous offre pas plus de raretés de ces différents opus, le coeur chavire avec la reprise en acoustique de Tired of being alone d’une incroyable intensité. Sharleen garde pleine maîtrise d’une voie aux charmes exaltants.

Après cet aparté tout en douceur et complicité, Sharleen reprend le rythme pour ne plus le lâcher avec Summer Son et Black Eyed Boy. 
Déchaînée malgré un coup de froid à l’oeil, elle offre une facette  joyeusement délurée. Il n’est pas rare qu’elle s’amuse de quelques gestes suggestifs accompagnant les paroles de When we are together et soutenant un Inner Smile resserré à l’entrejambe.

Les cousins s’envolent à travers le Théâtre Antique, public et artistes comblés.

La caravane de Texas poursuit sa route du côté de Carcassonne, Six Fours, Monte-Carlo pour finir à Lorient le 14 août.

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Burger au Bar de la Gaîté Lyrique

A la Gaîté Lyrique, les découvertes et expériences ne se vivent pas seulement dans les salles d’exposition et de concerts. Son bar recèle aussi, au-delà de son décor, quelques savoureuses surprises culinaires, concoctées par Arnaud Daguin, propriétaire de la table d’hôtes Hégia et chef invité du Café Pleyel.

Aux côtés d’un burger végétal, somme toute assez classique, l’oeil est interpellé par un sandwich au pain noir. Une jeune fille, se rapprochant du bar, marque un temps d’arrêt trouvant incongru de vouloir “manger du charbon !”

Ce pain sorti des fourneaux du boulanger Gontran Cherrier, rue Caullaincourt dans le 18e, doit sa couleur singulière à l’encre de seiche.

On ne saurait trop vous conseiller d’expérimenter ce Burger au jambon Serrano donc accompagné de morceaux d’oignons et de tomates. Le tout  réhaussé d’une sauce au choix: moutarde à l’ancienne au soja ou crème de potiron épicée.

Outre faire sensation auprès de tous vos voisins attablés avec leur verre recyclable, vous trouverez un réel plaisir à croquer dans ce burger inimitable. On regrettra toutefois qu’il doive passer au micro-ondes pour retrouver un peu de chaleur.

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Karkwa: quand le rock québécois enflamme Paris – Interview et live à la Maroquinerie

Une première partie qui dépote, un soir de concert, c’est plutôt rare. Alors quand on en tient une, on se passionne, forcément!
Ce fut le cas lors du dernier Zénith d’Arcade Fire et la découverte pour beaucoup du groupe Karkwa. Y a pas à dire: ces petits gars, ils envoient le bois.

L’équipe d’United States of Paris a sauté sur son tél  pour décrocher une interview. Après un concert  à la Maroquinerie tout autant réussi que leur prestation de la veille au Zénith – les petits couacs techniques en moins, comme “un ampli qui toaste” dixit le leader Louis-Jean Cormier –  nous avons soumis trois membres à nos questions existentielles.

 Car ce groupe est, pour nous, une vraie pépite. En effet, à  l’heure où nos petits frenchies font leurs vocalises en  anglais dans le texte, Karkwa fait vibrer la langue française. Et ils n’ont pas à en rougir car Louis-Jean, le chanteur du quintette, fait preuve d’une poésie planante  comme dans le titre “Oublie-moi“.

Eh oui, c’est décidément bien  le mois québécois sur US of Paris, après Iris et Réal Godbout ! Et on ne boude pas notre plaisir de célébrer nos cousins pas si éloignés.

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Karkwa, album disponible Les Chemins de verre 

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L’Hôtel Jules et Jim célèbre son chantier

  L’Hôtel Jules et Jim ouvrira ses portes officiellement en octobre, au 11 rue Gravilliers dans le 3e. Avant la date et la soirée d’inauguration qui promet inventivité et décontraction, chaque étape du chantier est prétexte à un apéro caché entre amis et curieux bien informés.

Ce mercredi, on inaugurait le jardin vertical. Les fleurs ont pris leur place dans la cour intérieure. Histoire d’égayer les murs nus attendant leur crépi et de prendre tout leur temps pour s’étoffer avant le jour J de l’ouverture.

Béatrice Ardisson offrait une programmation musicale de son cru: des reprises surprenantes et inédites à souhait.

Cela fait donc 5 ans que Geoffroy Sciard, le futur directeur du lieu, porte ce projet en lui. Il ne cache pas qu’il a toujours quelques angoisses nocturnes et qu’il a “une vie de chien!” depuis de nombreux mois, dans un éclat de rires. Mais il corrige  très vite, précisant que “le stress est acceptable puisque j’en suis le seul responsable”.
Depuis, il a constitué une troupe autour de lui. Pas de Starck ou de Portzamparc en vue! Ca nous change des concepts stores, hôtels ou restos parigots estampillés grands noms du design pour attirer journalistes et clientèle.

Ici, pas de matériaux luxueux pour en foutre plein les yeux. “Du basique: pierre, béton, bois et métal”. Les 23 chambres que comptera l’hôtel n’en seront pas moins confortables et insonorisées.

Associé à Antoine Brault, Geoffroy, plus connu comme responsable marketing, a étendu la palette de ses compétences manuelles pour les grands travaux. Appréciant les affres du maniement de la pelleteuse mais aussi les responsabilités de gérer une équipe à plusieurs mains, il n’en a pas perdu le sourire pour autant. Pour lui, chaque étape est “un petit bonheur”, le regonflant au passage.

Et il faut bien avouer qu’il est très difficile pour le moment de trouver un quelconque défaut à ce beau projet et à l’équipe qui le porte.

Alors franchir les portes du chantier c’est un peu comme entrer dans un club d’initiés. La majorité des convives gravitent plus ou moins directement dans la sphère du Jules et Jim. Et pourtant, ne nous trompons pas, l’ambiance et l’accueil y sont agréables et souriants. Malgré la proximité d’un Marais tire-gueule, on sent un vent rafraîchissant et convivial.

C’est d’ailleurs le point d’honneur de la maison: “choyer ses invités” comme les futurs clients de l’hôtel.

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I’m from Barcelona live in fire – Days Off Paris

Ce dimanche, I’m from Barcelona et la jeune chanteuse franco-polonaise Soko ont partagé l’affiche et la scène de la Cité de la Musique pour la dernière soirée revigorante du Festival Days Off.

Le fond de l’air de la Cité de la Musique offrait un avant-goût de vacances. Des chemises bariolées et fleuries égayaient la fosse. Les conversations bon enfant évoquent soleil et destinations exotiques.

Pourtant l’arrivée de la chanteuse-comédienne Soko, malgré un timbre rare, va refroidir l’audience venue pour s’éclater aux sons pop du groupe suédois. Armée d’un bonnet rayé et d’une robe surmontée d’un manteau épais, ce petit bout de jeune fille charmante ne parvient pas à embarquer avec elle des oreilles assoiffées de joliesse.

Tout d’abord ses airs folks à la guitare et ses textes ne poussent pas à l’euphorie. A l’annonce des titres Worry for me, I’m scared i’m gonna die alone, le public ne peut étouffer tout à fait un rire crispé ou un profond soupire.
Même le Happy happy birthday de la soirée, dédicacé à Juliane, la violoniste accompagnant Soko, se recentre sur une dure réalité : la mort. On perd courage quand la chanteuse nous évoque être sans logement depuis 2 mois, squattant le canapé de ses amis. Nous sommes témoins bien malgré nous de sa reconnaissance pour leur hospitalité avec : No more home, no more love.

 L’heure étant  à la fête, dernier jour de festival oblige, les mains profiteront des rares moments rythmés et relevés pour battre la mesure. Et trouveront leur salut avec l’arrivée surprise d’I m from Barcelona venu composer le chœur des derniers titres de la jeune artiste.

Après cette entrée en matière surréaliste, le public était donc bien loin d’être calmé. Il attendait sa dose de délirium contagieux.

Et il l’aura grâce à une troupe montée sur ressort. Coloré, souriant à pleine dents, le groupe insuffle la décharge qu’il fallait à cette soirée avec Get in Line. Suivi de très près des joyeux Charlie Parker et d’Always Spring –célébration du printemps, saison préférée du leader, Emanuel Lundgren.

Dans cette ambiance survoltée, les ballons et les confettis n’attendront pas le dernier morceau de la set-list pour s’envoyer en l’air.

Dans la fosse, ça chahute, exulte et transpire. Ca écrit même son 06 sur un ballon  à destination de la violoniste de Soko, revenue sur scène pour chanter avec le groupe.

Sur scène, le groupe tient la corde festive et légère tout au long de la soirée. Les membres ne ratent aucune occasion de grimacer, jumper. Alors bien sûr, ils nous auront privés de Battleships, hit de leur dernier opus Forever Today, pourtant de circonstance et d’un rappel à rallonge. Mais les festivaliers sont sortis sur un nuage, oubliant leurs petits tracas avant congés.

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CONCERT Ayo et Cyndi Lauper, duo original de Jazz à Vienne

Deux voix ont enchanté le public du Festival Jazz à Vienne ce vendredi. Devant un théâtre antique archicomble, comptant 8 000 passionnés, les deux têtes d’affiche de cette soirée Ayo et Cyndi Lauper se sont retrouvées le temps d’un duo inédit autour de Time after time.

Portée par un soleil couchant et chauffant, Ayo  fait son entrée sur How many people, titre phare de son dernier opus Billie-Eve. D’abord intimidée par la vue imposante de ce public réparti dans toute la hauteur du site, la chanteuse sait imposer très vite son aura à une soirée qui n’a plus grand rapport avec le jazz.

Plus habituée, comme elle l’avoue, aux festivals bruyants et alcoolisés, Ayo est surprise par l’écoute et ce public venu en famille. Effectivement, il n’estpas rare d’avoir à ses côtés un bambin chahuteur ou composant des avions en papier avec le programme du Festival.

La jeune chanteuse, 30 ans tout juste, touche par sa générosité et une énergie communicative, notamment avec I’m gonna dance ou ses envolées de samba ou hip-hop. Mais son charme atteint un nouveau niveau, après le rappel, avec son hommage à Michael Jackson. Gantée, chapeautée, Ayo offre toute sa grâce à I want you back, si bien qu’il est difficile de la voir partir une fois entonné Down on my knees. D’autant plus quand le titre prend ici une toute autre dimension, plus aérienne, après le matraquage médiatique qui nous avait conduit à une relative overdose.

Après une telle force, la nuit tombée, l’attente est fébrile quant à la présence de l’artiste pop américaine. Pas d’entrée de star. Une rose à la main posée sur le devant de la scène pour conjurer le sort, Cyndi Lauper entonne son premier titre bluesy de la soirée. A contre-temps, râleuse contre l’équipe d’éclairagistes qui avait laissé Charlie Musselwhite son harmonica-man dans l’ombre, la soirée semble mal engagée.

Et pourtant, la chanteuse se laisse attendrir par les bondes ondes de la soirée. Et puis, elle av une excuse: le stress de son « premier festival de l’été ».

Toute pardonnée, elle nous surprend par ses hommages aux blues, synonymes de « retour aux sources aux premières années », de sa carrière. Elle se trémousse et reprend du mordant avec Early in Mornin’, Cross Road et son « tribute to » Albert King avec Down don’t bother me. Mais elle n’oublie pas pour autant ses hits. Les mains se lèvent vite pour battre la mesure de She Boop, Good enought ou encore Change of heart.

Elle ose même The world is stone acappela, rapidement interrompu. S’apercevant que, malgré le texte scotché au sol, sans accompagnement musical la tentative est périlleuse.

Mais la surprise vient de son duo improvisé pour l’incontournable Time after time. Ayo savourant le concert dans les coulisses rejoint la démoniaque Cyndi. A nouveau intimidée par la présence de l’icône 80’s, Ayo savoure ce moment unique, rare pour les festivaliers habitués à l’enchaînement de sets sans échange entre artistes.

Le temps file et la queen Lauper reprend la route de sa tournée après un True Colors qu’elle associe à un hymne aux libertés, récemment touchée par la légalisation du mariage gay à New York. Le point levé, elle offre une version intime à ce tube dans un duo appalachian dulcimer –sorte de harpe américaine – et harmonica saisissant.

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