Archives par mot-clé : concert

Carmen Maria Vega en concert chez Madame Lune

Avant d’accueillir les têtes d’affiche Camille, Oxmo Puccino, Mademoiselle K ou encore Patti Smith à l’Eglise Saint-Eustache, Madame Lune, gentille organisatrice et surtout productrice, a partagé, ce jeudi, son coup de coeur pour la frimousse attachante de Carmen Maria Vega, estampillée “nouvelle chanson française.”

Devant un petit comité, en rangs serrés, dans le salon musical de l’église, la jeune chanteuse dans une robe de cuir a donné pleine mesure de son coffre. Accompagnée de deux musiciens à la guitare, elle a fait le choix de laisser le micro en loge.

“Pas d’amplificateur” donc, afin de profiter de toutes les belles nuances de sa voix. Le frisson est proche, même si les histoires d’amour de Carmen ne sont pas des plus gaies, de son propre aveu. Qu’importe! L’émotion est dans la salle, l’oeil de la chanteuse est tendre et la franche complicité pointe son nez à chaque détour.

Avant une longue tournée et La Cigale, le 8 décembre, elle nous offre la primeur de ses nouveaux titres. Une attaque loufoque et corrosive contre l’industrie du disque et un petit coup de canif bien placé à une droite un peu trop conciliante.

Au passage, son tube La Menteuse, connu jusqu’au Japon, prend une tout autre saveur quand elle vous le balance à l’oreille dans ce cadre feutré et amical du salon musical.

Une adresse que l’on aimerait garder pour soi, tant elle nous fournit chaque soir, avec délice, des souvenirs uniques.

Nouvel album prévu début 2012.

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Russian Red en interview: le souffle de la nouvelle chanson espagnole – concert au Café de la Danse

Gros coup de coeur de l’équipe d’UsofParis, Russian Red, la chanteuse, non le rouge à lèvres, est le jeune talent made in Espagne à suivre avec attention. Vous êtes prévenus.

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Lourdes, de son prénom, a cette voix unique et un song-writing qui irisent l’imaginaire. Septembre dernier, lors d’une tournée promo menée grand train avec à la clé une série de concerts intimistes (Le Café Cigale, Le Truskel, une session ultra privée pour Sony), la belle espagnole a revigoré les oreilles de sa folk tendre et aérienne.

Avec son second album, Fuerteventura, elle nous offre un nouveau répertoire sensible et à haute valeur addictive. I hate you but I love you, titre-phare de cet opus nous entraîne dans une balade doucement romantique. Elle profite aussi de son inspiration pour rendre hommage au cinéaste Quentin Tarantino et à l’artiste méconnu, auteur, compositeur, musicien, Nick Drake.

Après l’Espagne où elle a conquis les coeurs, les Français devront apprendre à partager la belle Russian avec les pays asiatiques qui commencent à trépigner.

Russian Red en concert le vendredi 27 avril au Café de la Danse
5, passage Louis Philippe 75011 PARIS

Album: Fuerteventura
Sony

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Bonus live – The Ukulele Orchestra of Great Britain in Paris

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Exclusive: live bonus of UOGB in Paris!

L’équipe d’United States of Paris vous propose en exclusivité un bonus live avant l’interview des membres du groupe.

L’orchestre so British, The Ukulele Orchestra of Great Britain, qui fait le tour du monde avec son instrument fétiche, nous a fait l’honneur d’une reprise du morceau Running Wild.
Enjoy!

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The Ukulele Orchestra of Great Britain – First concert in Paris

Après des tournées à rallonge en Europe et en Asie, les joyeux membres du Ukulele Orchestra of Great Britain nous ont enfin fait l’honneur d’une visite remarquée au Théâtre de la ville. Il aura fallu attendre 2011 pour apprécier le tout premier concert du groupe à Paris.

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Une soirée qui affiche complet depuis plusieurs semaines. Des âmes en peine de ne pas avoir trouvé une place.
Un blogueur-dessinateur de bd dans la salle. Et de nombreux amateurs de cet instrument miniature, certains accompagnés de leur fétiche.
Il ne manquait  que Julien Doré et Mathias Malzieu, leader du groupe Dionysos, tous deux fins passionnés du ukulele.

La soirée était donc placée sous les meilleures vibrations pour cette grande première.

Les membres du UOGB s’étaient aussi donnés du mal pour cette rencontre particulière. Dans les coulisses, ils avaient révisé leur français, appris à l’école, et avait concocté une surprise de taille: une reprise endiablée de Gabrielle de sieur Johnny Hallyday.

Au cours de la soirée, la langue de Molière a eu droit à un second hommage avec un Je t’aime, moi non plus tout en saveur.

Aux anges, le public en redemandait à chaque fin de chanson. La reprise de Smell like teen spirit de Nirvana n’a pas laissé de marbre une audience en pamoison.

Deux heures de show et une histoire qui n’en finit pas. Les musiciens se sont lancés dans un bain de foule avec une séance de dédicaces à rallonge.
Soit dit en pensant, c’est une très bonne alternative à la crise du disque.

Après leur départ, il ne reste plus qu’une chose: nous mobiliser pour leur retour au plus vite!

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Dimanche à Rock en Seine : Anna Calvi, Miles Kane, Lilly Wood and The Prick

Dernier jour de concerts dans le Domaine national de Saint-Cloud pour le Festival incontournable de Rock en Seine.
Dans le désordre. Une consécration: Lilly Wood and The Prick. Une femme fatale: Anna Calvi. Une scène trop petite pour Miles Kane. Une révélation: les normands de Concrete Knives.

Ca sautille fort et ça s’embrasse ce dimanche. Preuve avec le Frànçois belle gueule et ses acolytes du groupe The Atlas Moutains. Joyeux et besogneux, cette bande de gars envoie une pop légère et festive qui frise quelques références à MGMT.

Passé ce premier bain, personne ne pouvait manquer le triomphe de Lilly Wood and The Prick sur la scène de la Cascade. Un retour aux sources pour le groupe.Rock en Seine était, il y a 2 ans, leur tout premier festival. La belle et mutine Nili Hadida saute de joie et ne boude donc pas son plaisir de savourer la vue de son public agrandi. Elle lance des regards complices à Benjamin Cottin, plus qu’enthousiaste  lui aussi. Ils nous offrent au passage une reprise de L.E.S Artistes de Santigold (anciennemment Santogold) transfigurée.

Sauts encore et en choeur cette fois avec le premier concert de Simple Man au Festival. Un rock made in Montréal qui laboure les terres françaises avec fougue et grosse déconne entre les chansons. Les 5 gars sont visiblement plus qu’en joie de moucher leur public.

Mais la découverte se fait au même moment du côté de l’industrie où Concrete Knives balance le son, histoire de faire oublier leurs paires québécois. Et ils y arrivent haut la main. C’est survitaminé, relevé et inspirant. Un groupe à suivre avec attention lors de leur prochain passage à Paris.

Après toute cette énergie, on reste pantois devant le retour improbable et inutile de The La’s et la curiosité de ce groupe de filles aux cheveux décolorés nommé Cherri Bomb.

Avec son faux air de Liam Gallagher, dans la coupe de cheveux et les mimiques, Mister Miles Kane nous réveille de notre torpeur. La fosse est décidemment bien trop petite pour lui. Les festivaliers se sont tassés pour ne rien rater du phénomène britannique.

Aussitôt fini, la diablesse Anna Calvi prend le relais.”Le rouge lui va si bien”. Le public reste accroché au magnétisme de son rouge à lèvres et de sa voix. Le trouble vient aussi de sa remarquable assurance. Armée de sa guitare, rien ne peut la retenir. Seuls ses remerciements sont plus timides et plus maladroits. De bonnes raisons de craquer encore plus.

Début de soirée et Archive clôture cette 9e édition, sans réelle surprise. Les voix des nouveaux chanteurs nous font toujours autant regretter Craig Walker.

Que nous réserve la prochaine édition? Nous sommes impatients de lancer les premiers pronostics.

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Samedi à Rock en Seine : Artic Monkeys, Blonde Redhead, CocoRosie, Austra

Pluie clémente pour la deuxième journée de Rock en Seine. Dépaysement garanti avec les soeurs CocoRosie. Sexy Sushi scande : “A mort Artic Monkeys !”. Lady Gaga a trouvé son pendant canadien avec la chanteuse d’Austra. Vous êtes vous extirpés du songe Blonde Redhead ?

Les premières goutes du début d’après-midi freinent l’arrivée sur le site et jettent un sérieux doute chez certains. Pour beaucoup de festivaliers, la programmation débute en douceur par le projet solo de Gruff Rhys, leader du groupe Super Furry Animals. Entre airs rythmés et balades, le gallois crée un sas de décompression pour mieux savourer les riches heures de cette nouvelle journée.

Blonde Redhead Kazu Makino Rock en Seine Festival Saint Cloud 2011
Un second flot arrive pour la pop planante de trio composant Blonde Redhead. Les fans se laissent porter par la voix et la grâce de Kazu Makino, virginale. On la préfère sans guitare, ni clavier pour que rien ne puisent nuire à ses mouvements et son jeu de scène. Certains ont même emmené leur ours en peluche pour mieux rêver.

On nous avait promis la pluie et elle arrive finalement sur les notes du Corps Mince de Françoise. Les retrouvailles avec deux soeurs Kemppainen, Emma et Mia, est moins festif que prévu. Mais leur pop dancefloor et leur énergie communicative secouent  les parapluies et font frémir les ponchos à  3 euros.

Tout premier festival des canadiens d’Austra menés par une Katie Stelmanis très manuelle. Les bras en l’air, bracelets dorés aux poignets, elle a quelque chose de cérémonieux. Les rythmes  de Lose it et Beat and The Pulse emportent dans une transe. L’échange avec le public est sommaire. Pas de temps à perdre à parler, le groupe enchaîne les airs électro dans une danse minimaliste.

A 19h10 précises, les soeurs CocoRosie nous offrent un numéro de charme orientalisant. Costumées et grimées comme à l’heure habitude, elles offrent des sonorités que le festival, en 9 éditions, n’a jamais entendues.

Ensuite, on aurait cru que Keren Ann souffrirait de l’incontournable Interpol, déjà sur la grande scène lors de son entrée. Les fans n’ont pas boudé leur plaisir de s’envoyer ses airs pop-rock ciselés. Elle ne boude pas son plaisir de son audience exceptionnellement plus rock.

Alors que Wu Lyf  fait une sortie scène en queue de poisson: on sort, on revient, on ressort… Sexy Sushi se lance dans une bataille féroce avec le quatuor d’Artic Monkeys. Leur techno relevée et déchainée aura raison de l’entrain de leur public.

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Vendredi à Rock en Seine: CSS, The Kills, Biffy Clyro, Yuksek et Foo Fighters

Premier jour de l’édition 2011 du festival Rock en Seine. Retour gagnant de CSS, The Kills et Foo Fighters qui jouera les prolongations. Une nouvelle scène. Un budget de 6 millions d’euros.
Deux bonnes claques avec Biffy Clyro et Yuksek. Quelques goutes de pluie, un peu de boue. En fin de soirée, deux blessés étaient à dénombrer: la chanteuse de CSS et l’appareil photo d’une festivalière dont le zoom restait bloqué.

Panne de Ligne 10 oblige, la journée commence pour beaucoup de festivaliers par l’entrée en force du groupe écossais Biffy Clyro. Policés sur les photos officielles, les membres du trio balancent leur chemise pour assurer un set viril et vitaminé.  Tous tatouages dehors, ils réchauffent avec des  rythmes fiévreux à la croisée du grunge et du rock.

 Ensuite, virage sur la scène de l’industrie avec les petits frenchies de The Feeling of Love qui peinent à convaincre le public. Il leur faudra encore quelques bonnes heures de route pour pouvoir assurer un set à la hauteur.

Exit Young the Giant remplacé par Wolf Gang, sur la nouvelle scène de Pression Live. Ce dernier a l’air tout droit sortie des années 80, preuve l’écharpe blanche autour du cou du leader. Au final, les sonorités pour ados ne convainquent pas.

La tension et la fureur montent d’un cran avec le retour des tonitruants brésiliens de CSS. Lovefoxxx, la leadeuse du sextet nous emporte littéralement dans ses acrobaties et autres cascades. Dans un joyeux mélange électro-break dance, elle envoie une décharge festive jubilatoire et lance une vibrant “let’s dance like snakes”. En fin de concert, elle saute une dernière fois dans la fosse, cette fois,  pour donner la tracklist du show à ses fans. Manque de chance, dans son élan et à cause de la hauteur de la scène,  elle se tort la cheville. Sortie de scène grimaçant dans les bras de secouristes.

Passé le bling-bling et ultra référencé rappeur hiphopeur Kid Cudi, qui sent le Kanye West à plein nez, on retrouve avec un max d’envie  le retour de The Kills après le mariage glamour de Jamie Hince avec sa belle Kate Moss. Toujours aussi magnétique Alison Mosshart électrise littéralement les foules. A la manière d’une danseuse contemporaine, ses gestes, ses balancés de cheveux sont une vraie chorégraphique aussi poétiques qu’essentiels dans le charme de ce duo.

Et pour finir, deux choix cornéliens. Le premier: Foo Fighters ou Yksek? Les plus jeunes festivaliers, ados et tout jeunes adultes préfèrent la révélation électro française. Et ils n’ont pas tort.

Le deuxième: Paul Kalkbrenner ou Death in Vegas? Ce dernier ne surprend plus depuis quelques années, le public préfère le DJ berlinois. Son show parfait nous fait regretter nos très chers Daft Punk.

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Electrelane comeback in Paris – live à la plage de Glazart

Ciel clément au dessus de la Plage du Glazart pour le retour inespéré d’Electrelane, ce vendredi, à Paris.

On n’espérait plus trop une reformation. Certains d’entre nous, après avoir tout juste entendu les mélodies du groupe lors d’un de ses derniers passages à Paris – en première partie de Arcade Fire à l’Olympia, par exemple – se retrouvaient aussitôt en deuil suite à l’annonce de leur séparation en 2007.

Je n’étais donc pas le seul sur le sable humide à avoir retardé mon départ en vacances pour apprécier ces retrouvailles avec les quatre filles dans le vent.

Pas d’album en vu, pas de nouveau titre, ni “de label”, de l’aveu même de Verity à un fan éploré.
Simplement pour nous,  l’envie de reprendre une bonne dose. Pour elles, le plaisir de partager à nouveau leur inspiration à travers l’Europe pour une tournée d’été débutée le 16 juillet en Turquie.

Le concert commence donc par un Gone under Sea des plus planants, pour enchaîner avec Bells. Le soleil refait surface pour éclairer les joues de la charmante Mia Clarke juste avant l’instru, Eight Steps.

Ros Murray à la basse, en profite pour exprimer, en français dans le texte, leur plaisir à toutes de jouer à la lumière du jour et de pouvoir voir leur public après cette longue absence.

To the East finit de ragaillardir les esprits. Et le rythme ne faiblira plus de la soirée.
Le visage de Verity Susman, aux claviers, ne peut cacher un sourire en voyant le public réagir aussi bien et entonner les refrains.

Ca chahute ferme et ça se pogo en devant de scène, quitte à écraser quelques pieds et envoyer des bières valser.

Arrive dans la setlist une reprise détonante et décalée. Celle de Smalltown boy de Bronski Beat alias Jimmy Sommerville, qui scotche les très rares récalcitrants qui n’avaient pas trémoussé leur arrière-train.

Les filles ne boudent pas leur plaisir à envoyer des riffs énergiques et décoiffants. Les franges volent, les doigts de Mia ont comme un don d’ubiquité.

Et l’on peine à se consoler à l’écoute du  morceau Long Dark envoyé avec force.

Mais l’aventure n’est pas finie puisque une vidéo de la soirée est à venir sur le site. Ouvrez l’œil!

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Sharleen Spiteri en interview aux Nuits de Fourvière à Lyon

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Après le compte-rendu du concert donné par le groupe Texas lors des Nuits de Fourvière, l’équipe d’US of Paris vous propose une petite surprise.

En effet, Sharleen Spiteri a comblé les quelques fans présents lors des balances du groupe, ce mardi. Entre autographes et séance photo, elle a accepté de répondre à 3 questions.
Le temps d’apprécier ses lunettes Rayban, son bel accent et son sourire.

3 minutes de complicité à partager.

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Texas en tournée estivale – escale à Lyon aux Nuits de Fourvière

Pour son retour en terres lyonnaises, le groupe Texas mené par une Sharleen Spiteri plus que jamais débridée a éloigné toutes menaces de pluie au dessus du Théâtre Antique de Fourvière.

Ce mardi, les fans sont venus de loin pour se délecter des retrouvailles du groupe made in Glasgow et de son public français. Jurassiens, Auvergnats, Parisiens composent un public joueur et compressé -4500 spectateurs débordant de la fosse et des gradins.  Et plus surprenant, il faut aussi compter sur la présence de Texans, from US. Au cours du concert, Sharleen évoque amusée l’anecdote arrivée à son  ingénieur du son s’approchant de deux spectateurs lors des balances en milieu d’après-midi. Ces derniers portaient fièrement un tee-shirt célébrant Texas. L’ingénieur les interroge sur leur attachement au groupe. Méprise, ils arborent les couleurs de leur état d’origine!

Après deux albums solo, Sharleen Spiteri a donc repris les routes des festivals d’été avec son acolyte de toujours Ally McErlaine. Après une première partie chevelue, menée par Medi, un peu trop rétro pour vraiment emballer, le groupe comble l’attente en balançant dès l’ouverture leur incontournable I don’t want a lover.

Suivent dans un rythme soutenu: Halo, Every day now et In our lifetime. Et un titre peu joué, de l’aveu même de la chanteuse, en dehors des dates françaises: So called friend.
En  milieu de soirée, Texas nous gratifie d’un titre inédit en guise de teaser pour un nouvel album sans date de sortie. Ce sera Conversation. Il est faut bien avouer qu’à la première écoute, le titre est un peu anecdotique par rapport aux standards qu’ils nous ont habitués à entendre depuis plus de 20 ans.

Tout en regrettant que le groupe ne nous offre pas plus de raretés de ces différents opus, le coeur chavire avec la reprise en acoustique de Tired of being alone d’une incroyable intensité. Sharleen garde pleine maîtrise d’une voie aux charmes exaltants.

Après cet aparté tout en douceur et complicité, Sharleen reprend le rythme pour ne plus le lâcher avec Summer Son et Black Eyed Boy. 
Déchaînée malgré un coup de froid à l’oeil, elle offre une facette  joyeusement délurée. Il n’est pas rare qu’elle s’amuse de quelques gestes suggestifs accompagnant les paroles de When we are together et soutenant un Inner Smile resserré à l’entrejambe.

Les cousins s’envolent à travers le Théâtre Antique, public et artistes comblés.

La caravane de Texas poursuit sa route du côté de Carcassonne, Six Fours, Monte-Carlo pour finir à Lorient le 14 août.

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