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La bière d’abbaye ST STEFANUS sublimée par la brasserie Van Steenberge dévoile tous ses secrets à Gand

St Stefanus, la bière belge unique qui garde toute sa saveur en bouteille comme le meilleur des vins, dévoile ses origines et ses secrets de fabrication à travers deux passionnés : un brasseur et un moine Augustin. 

C’est bien connu, les journées d’un blogger ne se ressemblent pas. Vous ne vous étonnerez donc pas que l’équipe a pris, ce vendredi, un train en direction de Gand. Cette fois, l’équipe vous propose de partager son expérience autour de la bière St Stefanus brassée en Belgique, par les moines et ensuite par une famille de maîtres brasseurs depuis six générations.

Avant de commencer notre visite, saviez-vous qu’à la différence des autres bières que l’on peut trouver dans le commerce, la St Stefanus décuple ses qualités gustatives une fois mise en bouteille ? Si comme nous, vous n’aviez pas connaissance d’une telle qualité, bonne nouvelle : la réponse est ici !

Toute initiation à cette bière singulière débute par la rencontre de Jeff Versele, brasseur de père en fils. Un incroyable passionné, généreux dans l’accueil et qui pourrait passer des journées entières à accueillir le visiteur individuel ou en groupe pour partager son goût pour la bière racée et de qualité.  Son rêve est d’ailleurs de créer un gîte avec chambres d’hôtes pour proposer des séjours en immersion totale dans la culture bière, avec modération.

Armoiries-Brasserie-Van-Steenberge-Ertvelde-Meetjesland-Gand-Gend-Bière-St-Stefanus-St-Augustin-belgian-beer-belgium-photo-United-States-of-Paris-blogJeff est donc la 6e génération de la brasserie Van Steenberge, la seule qui ait résisté dans une région de Flandres qui a vu disparaître les brasseries les unes après les autres, pendant la Seconde guerre mondiale – 365 avant la guerre et 22 après. Son intention est de perpétuer les valeurs des bières qu’il brasse comme la St Augustin et surtout la St Stefanus. Des valeurs héritées de son père et grand-père qui l’avaient mis en garde de ne jamais vendre l’entreprise familiale pour des raisons bassement mercantiles.

La St Stefanus arrive dans le giron familial en 1978, quand les moines Augustins acceptent de sous-traiter la fabrication de leur bière. Un monastère qui brasse depuis l’année 1295 – date de sa construction – et dont on situe sur le plan d’origine le lieu même de brassage. Cette boisson était destinée, dans un premier temps, à la consommation des moines.

L’ingrédient indispensable de la bière est l’eau. L’eau publique contenant des ions chlorites, l’eau de la brasserie est extraite du sous-sol à 25, 60 et 75 mètres de fond. Ensuite, le malte, deuxième ingrédient, fait son entrée. Jeff va le chercher en France – en Lorraine très exactement – car il est le meilleur et est riche en protéines. Moins connu certainement, le riz joue aussi un rôle important pour son apport de sucre et l’avantage qu’il ne colore pas la bière.
La St Stefanus est une bière vivante, car non pasteurisée. Si bien que grâce à la refermentation, le CO2 qu’elle contient est naturel et ne cause aucun mal de cerveau. Ce dernier étant dû à la saturation de CO2 habituelle pour d’autres marques de bières.
Et c’est donc par cette refermentation aussi que la bière belge est meilleure en bouteille et évolue en goût de 3 à 18 mois.

Les atouts de Jef ? L’oeil concentré sur les détails et la passion. “Ces deux éléments font toute la différence entre un brasseur moyen et bon.” Avant de rajouter que “la bière, il faut la traiter avec autant d’attention qu’un enfant.”

Après la visite de la brasserie, direction le Monastère des Pères Augustins, au centre de Gand, pour un déjeuner copieux offrant l’occasion de goûter à la spécialité de la ville : le waterzooi. Avec les plats, il nous est donné de savourer les différents goûts de la St Stefanus, selon son millésime, comme un grand cru de vin. Et il faut dire que le voyage gustatif est assez rare. L’initiation de Jef est une vraie révélation sur les propriétés de la bière belge. Celle-ci n’est commercialisée qu’après avoir attendue 3 mois depuis sa mise en bouteille. Avec le temps, elle se patine de saveurs délicates et ceci jusqu’à 18 mois – âge de pleine maturité. Pour vous aider à apprécier la révélation de ses différentes notes, l’étiquette porte la date de sa mise en bouteille, accompagnée de la signature du maître brasseur, gage de qualité.

Le Père Paul, hôte du monastère, prend part à la fin du repas, rompant son carême car “le visiteur est plus important que Jésus.” Il retrace les grandes heures de ce monastère qui a vu naître la bière. Le voyage à travers ce sublime décor est aussi passionnant que la découverte de la brasserie. Le moine est généreux en explications et descriptions, transmettant avec générosité l’histoire de ce lieu.

St Stefanus fait référence à la chapelle qui avait été construite en l’honneur de St Etienne, en français.

Le moine rappelle aussi combien la brasserie en abbaye était source de stabilité car les moines se transmettaient la recette de génération en génération, l’améliorant au passage.
Le parcours dans ce haut lieu de la ville de Gand – la bibliothèque, le cloître, l’église, le jardin – aide à apprécier aussi la singularité de l’enseignement de Saint-Augustin qui voyait en chaque chose et en chaque être un don venant de Dieu. Ce qui induit que tout ce qui nous entoure est bon. Mais en considérant que tout nous est donné avec un ordre et une limite.

Et quel serait donc le rapport entre et la bière et la spiritualité ? Pour le Père Paul, cela se situerait au niveau de la levure qui est affirmée et inaltérable, comme la foi.

Rappelons que les bénéfices de la commercialisation de la St Stefanus ne reviennent pas au Monastère directement mais sont destinés à l’aide en Afrique.

Pour vous initier à cette bière, des dégustations sont organisées régulièrement à Paris. L’agenda des rendez-vous est à retrouver dans la section actualités sur le site officiel : www.st-stefanus.com/fr

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Restaurant MISS LUNCH chez PPP : la cuisine lègère, décomplexée, cosmopolite & inventive – Food made in Paris

Miss Lunch is so fun! Why don’t you go and say hello? One of the best food spot for any foreigner who wants to visit Paris with his stomach.
Lei parla anche italiano molto bene ! 

Miss Lunch affiche un sourire et un don inné pour l’accueil et ceci à toute épreuve.
Qu’il pleuve, que le restaurant soit full of beautiful people le samedi à midi, qu’un enfant soit mal luné à son arrivée (c’est rare mais ça peut arriver), l’ambiance qui règne dans cette adresse de poche nichée dans une boutique Première Pression Provence est unique. Notre fidélité en est la preuve.

Ses voisins n’ont pas tardé à faire de ce  lieu parisien, joyeusement alternatif, leur adresse food fétiche. Si bien qu’une actrice-réalisatrice en pleine prépa de son prochain film trouve régulièrement un prétexte pour déjeuner sur le pouce, avec son assistant. L’équipe du Fooding lui a également plaqué un joli sticker sur la vitrine. Sans compter une certaine concentration d’architectes au mètre carré. Ces derniers ont fait de ce décor mi-cuisine mi-boutique – qui sent bon les huiles provençales – leur repère pour des déjeuners décomplexés du col.

Si vous y alliez vous trouverez aussi de nombreux étrangers bien informés  et heureux de  l’accueil “in English”  – qui fait parfois défaut dans d’autres institutions.

Crazy, isn’t it ?

Et dans l’assiette: ça bouillonne, ça claque, ça pétille.
Claude Cabri alias Miss Lunch n’aime rien d’autre que surprendre ses convives. Et rajouter l’ingrédient qui va faire le petit plus, détourner la recette maintes fois dégustée, ou oser des associations qui pourraient désarçonner plus d’un spécialiste es gastronomie.

Ses classiques ? Elle les connait sur le bout des doigts. Si bien qu’elle n’a aucune crainte à se lancer dans des paris fous. Comme ce cheesecake sans cheese ou le burger sans viande ni frites ou encore le tiramisu sans mascarpone. Divins sacrilèges !
Vous avez un ami végétarien ? Miss Lunch trouvera la combine pour ne pas le gêner au milieu d’une assemblée de carnivores. Classe !
Et bonus : elle vous initiera aux câpres de l’Ile de Pantelleria qu’elle cueille elle-même une fois par an. Un vrai voyage gustatif.

Le tout est cuisiné sans plaque de cuisson et confectionné avec des produits frais cueillis tôt le matin, dans les allées du Marché d’Aligre, le repère de la chef, artiste et créatrice.

Autant d’attentions pourraient faire présager d’une note assaisonnée, surtout quand on connait la terrasse ensoleillée donnant sur le Square Trousseau. La formule entrée + plat ou plat + dessert est à 15 euros. Rajouter un supplément pour le dessert à 5,5 euros. Comptez 4 euros environ le verre de vin. Si vous êtes vraiment plus attiré par les breuvages fruités et softs : jus de cerise et autre citronnade maison vous régaleront ainsi que vos bambins.

Une telle adresse ferait presque peine à partager. Mais connaissant l’endurance de la chef, on sait qu’il y aura toujours un petit quelque chose à manger même après 14h, le samedi.

Nouveau !

Face à une forte demande, la cuisine reste ouverte en soirée pour des diners tout aussi conviviaux et inspirés, les jeudis et vendredis. On a aussi testé le menu Saint-Valentin avec petits dessins pour les amoureux et bougies. Inoubliable et canaille.

Pour finir, la générosité de Miss Lunch est inaltérable. Pour preuve, elle a couché le meilleur de ses recettes et de ses astuces de cuistot dans deux livres :  Plats de Résistance (Éditions 1973) et Lunch in the Loft (Éditions Solar) sur son aventure qui l’a faite connaitre, le bien nommé restaurant clandestin. Des livres à faire dédicacer, sur place, par la maitresse de ces lieux, qui a comme autre talent d’être artiste peintre et dessinatrice.
De quoi foutre de sérieux complexes aux passionné(e)s des fourneaux surtout quand on sait – et on en finira avec ses atouts – qu’elle manie très bien l’italien.
Et on n’oublie pas les cours de cuisine !

MISS LUNCH Paris chez Première Pression Provence
3, rue Antoine Vollon
75012 PARIS

déjeuner du mercredi au samedi
dîner le jeudi et vendredi
cours de cuisine le mardi

Des photos et un max d’infos sur la page FB de Miss Lunch Paris : www.facebook.com/MissLunchParis

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FOOD’AMOUR par Arnaud Lohyer la box pour un dîner de Saint-Valentin bluffant avec rose et pomme d’amour – Chef à domicile

Arnaud Lohyer créateur du concept Chef à domicile depuis 2009 lance la box pour les trentenaires pressés qui veulent se surprendre pour une Saint-Valentin à la maison.
Food’Amour c’est un menu de fête pour deux, avec la rose rouge pour sa belle et tous les ingrédients pour un dîner so romantic !

Notre équipe a eu l’honneur de goûter en avant-première aux bons petits plats de Food’Amour à l’atelier d’Arnaud Lohyer dans le quartier Ledru-Rollin. L’idée a germé en décembre. Il a fallu un mois environ pour la mise en place : conception du menu, l’assurance de l’apprivoisement en produits frais via un producteur fidèle, la réalisation du dossier de presse et du site. Les nuits blanches s’enchainent depuis plusieurs jours pour Arnaud et son équipe. Il garde pourtant le sourire en ce début de semaine avant le gros rush de vendredi.
Son inspiration pour cette box est née des produits de saison, de la volonté d’assurer une facilité de réalisation et le caractère sain de chaque ingrédient.

La box pour les amoureux est conçu pour que l’homme – voulant émoustiller gustativement sa belle – puisse réaliser ce menu en 30 minutes. Comment ?
La livraison sur Paris et sa région est assurée toute la journée de vendredi pour assurer la fraîcheur des produits. Un mode d’emploi simple pour mettre en assiette les différents plats accompagne l’ensemble.

Pour débuter après un petit K de caviar, le carpaccio de Saint-Jacques de Normandie. Car autre particularité du menu : tous les ingrédients sont made in France, excepté le pomelo… chinois. L’entrée aérée vous fait voltiger le palais.

Suit le sauté de veau du Limousin au gingembre – seul ingrédient aphrodisiaque de la soirée – goûteux, avec petit épeautre de biologique. La finesse prime avec des légumes fermes venus d’Ile-de-France et une viande qui se laisse découper à petits coups de fourchette.

Et on peut dire que l’on a chaviré avec la pomme d’amour qui finit en feu d’artifice de délices sucrés. Cette pomme est une sphère de chocolat blanc garnie de mousse vanille/calvados à cent lieux de la pomme de fête de foraine écoeurante et qui vous arrache un plombage au passage. Celle d’Arnaud est délicate.

Un menu sans fosse note pour laisser pleine mesure aux déclarations, baisers volés ou assumés et aux regards complices.

A noter que le chef gardera une oreille attentive toute la soirée via sa hotline. Il sacrifiera sa Saint-Valentin pour que celle de ses clients-convices soit inoubliable. Il semblerait qu’un coeur soit à prendre en cuisine. Affaire à suivre. Et bon à savoir, Arnaud ne serait pas contre de prolonger la livraison de sa box pour le samedi, pour les retardataires et tête en l’air. A bon entendeur.

Toutes les infos sur le menu de Saint-Valentin sur : http://www.chefadomicile-paris.com/Foodamour.htm

 

BONUS : Quelle est la plus belle leçon qu’Arnaud Lohyer ait reçu en cuisine ?

Il l’a tient du chef Pierre Gagnaire – le chef qui était le soir même de notre rencontre sur M6 dans Top Chef pour une apparition exceptionnelle.
“En commençant à travailler avec le chef stéphanois, j’ai appris à lire le produit, à chercher le goût, à leur accorder pleine attention et à sortir du carcan de la cuisine habituel. J’ai appris à cuisiner avec amour et à ne pas suivre la recette comme avec Ducasse, par exemple. Avec Pierre Gagnaire, on va au bout de l’équilibre. C’est un homme d’une grande humanité, il s’imprègne de tout le monde.
Ca n’a pas été facile de quitter Gagnaire. Partir c’est un peu renier. Je devais prendre mon envol.”

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CLUBKVIAR : inscrivez-vous au club privé pour économiser 30% sur votre prochaine addition à PARIS, Madrid & Barcelone !

Le CLUBKVIAR a ouvert ses portes il y a quelques semaines ! Devenez membre gratuitement et bénéficier d’une réduction de 30 % sur votre addition (boissons comprises) dans une sélection de bons restaurants parisiens.

On vous l’annonçait ici même le mois dernier. Le site ClubKviar, club privé réservé aux aficionados des kiffs culinaires à répétition, aux foodistas et foodistos de tout bord, aux fauchés qui n’aiment pas se priver, est à porter de clic.

Vous allez pouvoir désormais réserver votre table dans une vingtaine de restos parisiens minimum dont un étoilé. De nouveaux spots vont arriver dans les prochains jours : des étoilés et des restaurants de grands hôtels de la capitale et bien d’autres.

Vous voulez connaitre les noms et adresses des premiers établissements qui ont réservé leurs meilleures tables aux membres du club ? Un seul moyen : inscrivez-vous gratuitement avec notre parrainage à l’adresse suivante : www.clubkviar.com/paris-invite

Ensuite réservez en ligne à tout moment votre table en un temps record et confirmez avec une modique commission de 5 euros (pour s’assurer de votre motivation).

Les petits plus :
– si vous parrainez à votre tour au moins 8 personnes, vous êtes d’office membre Gold. Et qui dit Gold dit gratuité sur la résa de votre table à vie.
– vous avez droit à un service de conciergerie et à un assistant personnel pour tout conseil lors de votre réservation et le choix de votre restaurant.

Il n’y a plus une minute à perdre. Surtout si vous comptez séjourner à Madrid ou Barcelone prochainement où le ClubKviar est déjà bien implanté avec plus de 200 adresses. Prochaines étapes : Londres et Shanghai.

Elle est pas belle l’année 2014 ?

Retrouve interviews de chefs, beaux clichés #foodporn sur le blog : www.kviar.fr

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CLUBKVIAR le club privé pour gastronomes futés ! Un resto à moins 30% ça vous dit ? – Coming very soon

Un club privé sur le net pour déjeuner ou dîner futé à Paris, vous y avez rêvé mais ne l’espériez plus ?

Vous allez saliver très prochainement avec le ClubKviar qui a la très bonne attention de vous faire faire de belles économies sur vos prochaines additions, tout en appréciant les joies de la gastronomie française.

Le concept a fait ses preuves avec un réseau de plus de 200 restaurants en Espagne (Madrid et Barcelone) et plus 80 000 membres comblés.
Avant de conquérir le reste de l’Europe (London en première ligne), une équipe de jeunes frenchies lance dans quelques jours le site parisien.

Dès votre inscription (gratuite) suite à notre parrainage, vous pourrez accéder à une belle brochette de restaurants et aux créneaux permettant la remise de -30% sur votre addition.
Assurez-vous de la disponibilité du ou des convives qui vous accompagnera.
5 euros petits euros pour confirmer la résa auprès de votre assistant personnel et le tour est joué.

Du coup, quand vous voyagerez, vous aurez aussi accès aux restos européens, en faisant le plein de bons plans en un clic.

Are you ready to eat ?

En attendant, allez donc jeter un oeil sur les plats exposés sur le blog : www.kviar.fr

Et suivi notre actu, pour avoir le précieux sésame pour accéder au club.

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Restaurant : PIROUETTE – Les Halles Paris 1er : l’oeuf parfait est à la carte !

On est toujours avide de trouver un bon resto dans un endroit où se regroupent des établissements à la qualité relative.
Et nous en avons découvert une adresse spacieuse, joyeuse et qui amuse le palais, tout tout près des Halles, la bien nommée : PIROUETTE.
Bien sûr, il y avait bien l’Autobus Impérial, mais notre dernière visite nous avait réservé un service un peu désinvolte.

Donc notre nouvelle petite pépite Pirouettecette adresse culinaire qui va ravir les papilles les plus endurcies.

Ne le cachons pas, ce restaurant, nous l’avons découvert lors de la journée d’HyperParisien avec ZoomOn Paris.
Mais ce n’est pas pour ça qu’il ne faut pas mettre en avant un coup de coeur culinaire.
Dans un cadre cosi-rétro-chic, Tomy Gousset (qui est passé par Le Meurice, Taillevent, ou Boulud à New York), nous offre une cuisine traditionnelle, simple et complice.

Commençons par les amuses-bouche.


Une crème de panais douce et onctueuse, un toast au fromage frais avec ses chips de jambon ibérique et une figue/ magret de canard onctueux, tendre et fumé de façon exceptionnelle. On chavire.

Une découverte pour notre équipe ensuite avec l’oeuf parfait, cuit au four durant 45 minutes à une température constante de 64,4°C.


Il en résulte un plat fondant, homogène à foutre des complexes aux rois des oeufs mollets !
Accompagné de son écrasé de lentilles et de son lard poloniata, c’est juste une invitation à grimper dans les nuages.

Pour suivre, un morceau de canard tout simplement exquis dans une assiette colorée.


Jamais nous n’avions mangé une chaire de canard aussi fine.
Disparu le goût prononcé qui accompagne souvent cette viande. Le morceau fond en bouche tel le meilleur des faux-filets de boeuf.
La sauce moutarde est véritablement à tomber et la purée de carottes douces,tout en délicatesse et discrétion.

Pour le dessert, le chef ne bâcle pas sa démonstration de style arrivant à mettre dans sa poche un rétif aux desserts chocolatés.

Le coeur a donc ses raisons et il fond.
Il faut dire que cette tarte est merveilleusement accompagnée d’une glace à l’orange et d’une crème d’orange au piment d’Espelette.

Bref avec un menu à 18€ pour le déjeuner, nous ne pouvons que vous conseillez de découvrir Pirouette d’une qualité aussi rare autour des halles et où l’on peut s’entendre parler à table.
Et pour les bourses un peu plus garnies, nous vous conseillerons les repas en soirée (menus à 40 et 60€), ambiance tamisée et carte des vins euphorique.

Pirouette restaurant les halles tomy gousset le meurice fooding zoomon paris équipe

Restaurant Pirouette

5, rue Mondétour
75001 Paris
TÉL : +33 1 40 26 47 81
Métro : Les Halles, Etienne Marcel, Châtelet

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Les spots branchés du quartier Bastille à Paris : chocolat, cocktail, burger & party

Le quartier Bastille est in – ultra in même.
Il n’est donc pas étonnant qu’un groupe anglais ait choisi de se baptiser de ce nom, en référence au Bastille Day – date de la révolution française, en version anglaise.

D’aucuns ont cru que Bastille s’était un peu assoupi en comparaison à Oberkampf, pas si loin et pulsant au rythme de bar de surfers, de restos d’anciens Top Chef et de boite à concerts.

Une petite salle de concerts chaleureuse : Le Café de la Danse face à un Opéra imposant, en guise de remontant culture pour Bastille qui tente de rivaliser.
Mais des cafés, des bars à plusieurs étages où l’on danse toute la nuit (Le Barrio Latino).

Et des restos. Des compositions food pour toutes les bourses et tous les goûts.
Deux exemples récents la cuisine cosmopolite et ingénieuse de Miss Lunch chez PPP et les burgers de la nouvelle enseigne : FrogBurger.

Côté sucré, on se fait un tour du monde à la toute dernière adresse conçue par le roi du marketing culinaire : Alain Ducasse.
Sa manufacture du chocolat serait un très beau décor de cinéma.

On vous a ouvert l’appétit ?

Retrouvez donc notre carnet de bons plans complet conçu pour Hôtel Bastille.

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Journée d’hyperparisien avec ZoomOn Paris : speedboat sur la Seine – restaurant Pirouette – cellograff & cocktail au Mary Céleste

Un journée VIP de parisien avec ZoomonParis

Ce samedi, l’équipe est tirée du lit un peu tôt pour participer à une journée d’hyperparisien ! Ça tombe plutôt bien : Paris est notre terrain de jeu favori, et le challenge étant de toujours pouvoir nous surprendre.

Premier rendez-vous à deux pas du Batofar. Avec le speed boat: une embarcation made in England, conçue initialement pour les débarquements.

Piloté par un policier de la brigade fluviale, le boat file plein gaz sur la Seine, offrant de vraies sensations sur un fleuve que l’on pensait sage.

Face à face avec l’imposant hôtel Huatian Chinagora et son architecture spectaculaire. Quelques beaux virages. Un peu de calme pour shooter des vestiges de l’architecture industrielle.

Back to reality
Deuxième tour, plus calme, mais tout aussi trippant. Un petit bateau avec canapé pour le confort et champagne.
Calme et points de vue étourdissants sur les quais de la capitale. On rêverait d’une traversée de la Seine une journée entière dans ces conditions très privilégiées.

Les sorties en mer donnent faim, c’est bien connu. Cap sur le restaurant Pirouette.
Bel accueil et service attentionné. Cette adresse food des Halles affiche déjà plus d’une année au compteur.

Et ça se sent dans l’assiette.

Exercice pratique l’après-midi avec un atelier en plein air. Sous le pont Birk Hakeim, le spot pour shooting photo avec mariés venus de loin pour s’unir dans la ville indétrônable dans le cœur des amoureux.

C’est aussi un décor parfait pour une séance de graff sur cellophane avec le duo Astro et Kanos du collectif Cellograff.
Défoulement et euphorie à s’exposer au regard des badauds. Le coup de main n’est pas évident pour dessiner avec précisions les contours de lettres.

Dernier spot pour nouvel exercice manuel: Le Mary Celeste, le bar à cocktails de l’équipe du Candeleria.

Passage derrière comptoir pour mettre les mains dans le shaker. Et c’est la belle Carina Soto-Velasquez qui nous donne une leçon: parfait dosage et maîtrise des ingrédients, appréciation du nombre exact de glaçons et shake jusqu’à ce que vous ne sentiez plus vos doigts.
Joie ensuite de savourer votre breuvage accompagné de quelques tapas dans une ambiance feutrée, éclairée à la bougie.

Fin des réjouissances. Légère nostalgie de quitter la bande de bloggeuses qui nous accompagnait.

Cette journée était l’occasion de nous présenter l’appli parfaite pour rendre jaloux vos amis et les rouler dans la farine.
Allez sur la page de l’application FB Hyperparisien pour vous concocter un programme d’enfer de publications sur votre mur.
A vous les plus beaux spots et les meilleures soirées. Et c’est vos amis qui n’en croiront pas leurs yeux.
En bonus, vous gagnerez peut-être une superbe journée VIP.

Merci à Fanny du blog Paris Pêle-mêle

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Restaurant NEOBENTO : le bento made in Paris funny, healthy & good mood – Marais

Healthy bento set in Paris !

NeoBento c’est la cantine good food, good mood & good vibe qui manquait à Paris.
Repérée grâce à l’équipe de l’Apéro Blog, l’adresse de la rue des Filles du Calvaire est l’alternative au burger du midi et du soir et surtout au brunch bobo à plus de 25€ sur terrasse bondée, grouillante, et un brin péteuse.

Vous ne pensez pas que le dimanche est aussi propice à la découverte d’adresses simples, affichant bonhomie et respect du convive, qu’il soit seul ou en famille ?

Chez NeoBento, c’est vous qui composez votre plateau selon votre humeur en 6 portions. Des légumes en entrée au nombre de trois, un mini-plat (viande, poisson ou végétarien), un accompagnement et le petit plaisir pour finir.

Au programme, salades composées tendres qui affichent le goût (lentilles, quinoacarottes en lamelles qu’on adore mais qui demandent du boulot au chef), propositions chaudes (burger, tataki de boeuf, steak de thon, tofu grillé…), pour certaines épicées (le délicieux poulet satay). Ajoutez à ceci une portion de riz onigiri – un petit délice de riz collant (dans la plus pure tradition japonaiseou les nouilles du jour et autres pommes de terre. En fin de plateau, les desserts anti-grise mine ont de quoi vous laissez rêveurs: le gâteau chocolat sésame est au coude à coude avec le tiramisu maison et le riz au lait avec coulis.

Les découvertes se font toutes les semaines. Comme par exemple, le petit sucré tout nouveau: un financier au coeur chocolat, nous a bien tapés dans l’oeil, samedi dernier.

La taille des portions permettent des compositions aussi bien sages que décalées.
Il ne faut pas hésiter à demander conseils pour les spécialités maison.

L’ensemble est agrémenté d’une tasse de thé froid, à prendre à la fontaine et à discrétion.

Lionel, le boss à l’origine du concept, avoue que certains lundis matins sont plus durs que d’autres quand il faut prendre la route de Rungis pour être aux premières loges car la section poissons ferme à 5h. Mais il apprécie son café en attendant que les fruits et légumes fassent leur entrée à 6h. Il charge ces bons ingrédients 2 à 3 fois par semaine pour les recettes du jour.
Le sourire ne faiblissant jamais.

Bon à savoir: la terrasse estivale offre une orientation plein soleil en début d’après-midi, après le gros rush de midi. Une affluence qui va sans doute avoir pour conséquence l’arrivée d’une 2e caisse. Pour les peaux sensibles, la salle intérieure offre fraîcheur et décontraction.

Ne manquez surtout pas de faire un petit tour aux toilettes et de les faire découvrir à vos voisins de tablées.
La pop japonaise dans les enceintes est un dépaysement supplémentaire.
So funny !

Et une impression étrange vous tombera sur le coin du nez, à n’en point douter, en fin de repas. Vous aurez sans doute, comme nous, une soudaine envie de déserter la rue Sainte-Anne. Les Japonais eux-mêmes ne s’étant pas trompés.
NeoBento a eu les honneurs de télés et de féminins comme Elle Japan pour la qualité de ses bento sets.
La parution des guides 2014 – attendus avec impatience – va certainement rajouter au buzz de cette adresse où il fait bon y revenir.

NEO BENTO
5, rue des Filles du Calvaire
75003 PARIS

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Restaurants Food NEW YORK CITY : Fornino, Momoya, Sylvia’s Restaurant – Brooklyn – Manhattan & Harlem

Amis voyageurs, dans l’article précédent, nous vous avions laissés avec les saveurs de Washington DC.
Aujourd’hui, plein feu sur La Grosse Pomme, la ville phare pour beaucoup de touristes et de Frenchies.
Melting-pot de cultures, New York nous offre un vaste choix  pour combler notre appétit.
Vendeurs de hot-dogs ambulants, food-trucks de toutes les nationalités, hamburgers, indiens, japonais… vous dénicherez toujours de quoi manger sur le pouce.

Du coup, nous avons fait une petite sélection de 3 restaurants qui nous paraissent incontournables pour découvrir la cuisine de cette ville.

FORNINO / Brooklyn

187 Bedford Avenue
Brooklyn, NY 11211

Pizza is everywhere !

New York est la capitale américaine de ce plat très apprécié des Français.
Mais la mère-patrie américaine de ce plat est réellement Chicago.
Beaucoup nous avait recommandés le Roberta’s à Brooklyn, mais les 1h /1h30 d’attente nous ont découragé.
Alors retour chez Fornino, toujours à Brooklyn, dans le quartier de Williamsburg, pour leurs pizzas cuites au feu de bois.

Vous trouverez sur la carte l’histoire de cette recette, en trois générations : Naples, Italie et Fornino.
Il y en a donc pour tous les palais, des classiques peu garnies des débuts (Margherita ou quattro fromagi), à celles actuelles plus complètes et surprenantes : comme ci-dessus Asperagi e prosciutto (asperges et prosciutto). A emporter, sur place en salle ou sous la tonnelle extérieure, vous trouverez forcement la pizza avec qui faire la paire.
Accompagnez-là d’un verre de sangria maison et vous passerez une très bonne soirée dans un des quartiers les plus hypes de Brooklyn.
Fornino est une excellente adresse pour finir votre longue balade de la journée à travers les rues aux boutiques arty, vintage et décoiffantes du district.
En dessert, le tiramisu maison emporte également la mise.

MOMOYA / Chelsea

185 7th Avenue #21
New York, NY 10011

The taste of Japanase food

Pour les habitués du japonais à la française, voici ce que l’on peut trouver à Manhattan, un poil plus que chez nous c’est vrai : 45 $ environ. A premier abord, le prix nous a un peu fait hésiter.
Mais le plateau que propose le resto Momoya a fini par l’emporter. Ce menu est garni d’un rouleau de printemps exquis et très frais et de sushis gouteux et  joliment ciselés jusque dans le moindre détail. Sans parler de cette sculpture en maquereau qui a échappé de notre photo ci-dessus.
L’attente de notre plat a été (très) longue mais au final un vrai plaisir pour les yeux et un orgasme gustatif.
Et même si la salle est pleine de new-yorkais en costume cravate, il faut absolument pousser la porte de cet établissement comme jamais vous en trouverez à Paris – mais si vous connaissez une adresse nous sommes preneurs.
(spéciale dédicace à Alex pour son 8ème sens culinaire)

SYLVIA’S RESTAURANT/ Harlem

328 Malcolm X Boulevard
New York, NY 10027
Harlem : ses églises, ses gospels et sa cuisine héritée des États du sud.
Et il faut bien le constater, le dimanche matin, les rues de ce quartier sont bondées, les restos aussi.
Après 40 minutes d’attente – il faut savoir patienter pour partager les bonnes adresses new-yorkaises –  nous avons pu goûter à la cuisine de Sylvia, la patronne, disparue peu de temps avant notre visite, mais dont le souvenir est encore célébré sur le portail mitoyen du restaurant.

Au Sylvia’s Restaurant, c’est l’âme pure et dure d’une certaine gastronomie qui s’exprime.
Les travers de porc (Sylvia’s world famous talked about Bar-B-Que Ribs) sont incroyablement bons.
Et le plus, c’est le grand choix pour les deux accompagnements (sides). Parmi les 13 proposés, nous vous conseillerons : les Pickled Beets (assortiments de légumes marinés au vinaigre), le Buttered Corn (une purée de maïs) et les fameux Blacked Eyes Peas (haricots blancs ornés d’un “œil” noir).
Même si l’addition n’est pas forcement raisonnable (24$ pour les travers de porcs de Sylvia), la qualité et la convivialité vous séduiront à n’en point douter.
Et si vous avez le choix, privilégiez la terrasse – même si elle est située sur le trottoir – très agréable.
Un dernier conseil, commandez ce qui vous fait plaisir, même si les quantités servies sont énormes et ne regardez pas trop l’assiette des gens du cru, frissons garantis !

Et si vous poussez la portes de ces restaurants, n’hésitez pas à nous faire vos commentaires à votre retour !
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