Archives de catégorie : VOYAGE

LE NEW YORK des New-yorkais : 250 spots incontournables pour hipsters, lovers & food reporters

Le New York des New-yorkais de Karim Geist où comment votre meilleur pote hipster va trouver son barbier italien fraichement débarqué de Naples, votre petite amie un salon bourré de tatoueuses attentionnées et talentueuses, vos parents leur dive bar (bar de quartier) préféré pendant que vous, vous tomberez en extase perché sur votre rooftop pour débuter la night. 

Le New York des new-yorkais de Karim Geist avec yellow cab city tour guide Editions les guides du Chêne street photo by United States of paris blog

En deux ou trois séjours dans la grosse pomme ou après une année passée à arpenter les rues grouillantes de taxis jaunes, on pense tout connaître de New York une fois rentré en France. Si bien qu’on se trouve tout légitime à partager nos bons plans avec les néophytes qui vont faire leur tour premier voyage en direction de la ville de Martin Scorsese, Woody Allen et  Lou Reed. Shame ! Manque de bol, New York ne finit pas de bouger en notre absence.

Alors que les tours ne finissent plus de poursuivre leur ascension – sur le site du World Trade Center pour les affaires et de la 57e rue pour les nantis – transformant chaque jour le visage de la skyline, il nous fallait un allié pour nous retrouver dans ce tourbillon aussi hypnotique que grisant.

Le New York des New-yorkais vient nous révéler les spots qui nous restaient encore inconnus (what ?) et les petits nouveaux qui font le buzz, en compilant des adresses oubliées ou encore méconnues du Guide du Routard, exceptés quelques incontournables comme le Katz’s Delicatessen, le restaurant-décor de la scène d’anthologie du film Quand Harry rencontre Sally.

Output Whyte Avenue rooftop bar Williamsburg Brooklyn Le New York des new-yorkais Karim Geist Les Guides des éditions du Chêne city tour guide photo © Alex Ramniceanu et David Brodeurjpg
photo by David Brodeur & Alex Ramniceanu

Le plus de ce guide ?
C’est le gain de temps : pas d’exploration par district, non. Ici on va à l’essentiel, c’est à dire au sommaire et par mots clés, stp : ptit déj, cavistes, cinéma, salon de tatouage, High Line, Burgers
Et pour les psy-rigides, il y aura un chapitre pour ne pas râter LE spot par quartier.

Parmi les nombreuses propositions, nous en avons retenu 5 :

SPOT 1 – Fini les rooftops surbondés de Manhattan dont l’attrape touriste 230 Fifth sur la 5e avenue : ultra bruyant, direction Williamsburg et The Ides (au sommet du Wythe Hotel) pour un cocktail avec vue sur la skyline. Le must !

The Ides Wythe Hotel Williamsburg Brooklyn rooftop bar Le New York des new-yorkais Karim Geist Les Guides des éditions du Chêne city tour guide photo © Alex Ramniceanu et David Brodeur
photo by David Brodeur & Alex Ramniceanu

SPOT 2 –  Un bar de quartier (dive bar) ! On en rêvait, on n’est pas vraiment sûr d’en avoir réellement trouvé un. Karim nous dévoile le Subway Inn et sa date de naissance : 1937. Rajouter les néons sur la façade et nous tenons notre perle.

Subway Inn dive bar Manhattan Le New York des new-yorkais Karim Geist Les Guides des éditions du Chêne photo guide city tour by © Alex Ramniceanu et David Brodeur
photo by Alex Ramniceanu et David Brodeur

SPOT 3 – Ras le bol de manger des burgers à Paris ! Tous à la Minetta Tavern pour succomber au Black Label Burger à 26 dollars composé de plusieurs morceaux de viande vieillie “pendant 42 jours”. Notre galerie instagram va surchauffer !

SPOT 4Le barbier de Boardwalk Empire ! Le salon de Tommy Guns a servi de décor à la série culte avec Steve Buscemi. Rien que pour ça, les barbus que nous sommes y courent, malgré les prix : 75 dollars la coupe pour nous, et 95 dollars pour les girls de la team. A ce tarif, les boissons sont gratuites.

SPOT 5Dominique Ansel Bakery pour la success story du patissier frenchy qui a réussi aux States, avec une adresse en plein Soho, sur la Spring Street. Le trentenaire est un créatif, on lui doit déjà le cronut (mix improbable de croissant et donut), les Mini-me (mini-meringues colorées) et le Paris-NY dérivé du Paris-Brest. Classe.

On like aussi le chapitre :  Le tour du monde dans l’assiette. Une very good idea pour saisir NYC en quelques décors.

Two Little Red Hens 2th avenue Manhattan bakery desserts food Le New York des new-yorkais Karim Geist Les Guides des éditions du Chêne city tour guide photo by © Alex Ramniceanu et David Brodeur
photo by David Brodeur & Alex Ramniceanu

Après ça vous avez vraiment besoin d’une appli pour le voyage ?
Nous non !

LE NEW YORK DES NEW-YORKAIS 
Restos, bars, mode, beauté, musique, culture
de Karim Geist
Collection Les Guides du Chêne
16,90 e 

ACTU !
Karim Geist en dédicace le samedi 22 novembre de 16h30 à  18h30 à l’Espace livre du Bon Marché
24 rue de Sèvres
75007 PARIS

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London forever punk ! The Fashion World of Jean Paul GAULTIER, de la rue aux étoiles @ Barbican Centre – Londres

Tous à Londres cet été pour découvrir en avant-première l’exposition qui fera événement en 2015 à Paris : The Fashion World of Jean Paul Gaultier, from the Sidewalk to the Catwalk est au Barbican Centre jusqu’au 25 août 2014.

Welcome to The Fashion World of Jean Paul Gaultier From The Sidewalk to the Catwalk the frog London exhibition Barbican Centr exposition à Londres photo by United States of Paris blog

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Jean Paul Gaultier est un génie ! Vous vous en doutiez forcément au vu de ses créations et défilés créatifs, insolents, euphorisants et sulfureux.

Saviez-vous qu’il avait une même inventivité pour l’exposition qu’il a conçu et qui parcourt le monde avant d’arriver enfin à Paris, au Grand Palais l’année prochaine ?

Le world tour de La Planète Mode de Jean Paul Gaultier, de la rue aux étoiles débuté à Montréal en 2011 change de visage selon les villes qui l’accueillent. Madrid mettait en avant la figure du toréador et la collaboration fertile avec le maître du cinéma, Pedro Almodovar.
Ici à Londres, c’est le punk et Amy Winehouse qui sont à l’honneur aux côtés des indémodables corsets de Madonna, marinières et autres inspirations et déclinaisons multiples du glamour à la française.

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L’Angleterre et Londres ont été aussi bien des sources d’inspiration qu’une cour de récré géante pour le jeune JP Gaultier qui découvrait un autre espace-temps lors de ses premiers voyages. Punk is everywhere et les folies capillaires, piercing dans le nez et autres trouées dans les jeans sont diablement ébouriffants. Oseriez-vous satisfaire votre irrévérence en adoptant le total look treillis ?

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Amy Winehouse, souvenez-vous, avait fait l’objet d’une collection hommage après sa mort par le couturier. Son fantôme traverse les différents décors de ce parcours foisonnant. Autre figure musicale, David Bowie, dont le double Ziggy Stardust est aussi convoqué.

 Ze Parisienne collection women Haute couture spring summer 2002 The Fashion World of Jean Paul Gaultier From The Sidewalk to the Catwalk photo by United States of Paris

A noter une variante par rapport aux précédentes présentations de l’exposition avec la partie MUSES qui revient sur les visages et corps de mannequins (Farida Khelfa, Tanel Bedrossiantz), chanteuses (Kylie Minogue, Beth Ditto) et performeuse (Dita Von Teese). Une tenue pour évoquer chaque personnalité forte accompagnée d’une photo et d’un texte pour se souvenir de celles et ceux qui ont composé la galerie Gaultier.

Corset-style-body-suit-with-garters-worm-by-Madonna-during-The-Metropolis-Express-Yourself-1990-The-Fashion-World-of-Jean-Paul-Gaultier-Barbican-Centre-London-London-photo-by-United-States-of-ParisCette étape londonienne est l’occasion aussi de rencontrer l’avatar en latex du couturier. La marionnette avait fait son apparition alors que la télévision anglaise découvrait un Gaultier in English faisant la paire avec le facétieux Antoine de Caunes pour le magazine télé Eurotrash. Culte.

En parallèle, Gaultier a eu droit à une carte blanche cinéma fin mai pour découvrir un peu plus ses références multiples. Parmi la sélection des films : Un Tramway Nommé Désir (Elia Kazan), Pink Flamingos (John Waters), Les Enfants du Paradis (Marcel Carné), All About Eve (Joseph L. Mankiewicz)…

Alors ça y est ? Vous avez saisi l’urgence de réserver votre Eurostar ?

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The Fashion World of Jean Paul Gaultier, from the Sidewalk to the Catwalk

Barbican Centre
Art Galery
London

 jusqu’au 25 août 2014

 

Catalogue La planète mode de Jean Paul Gaultier, de la rue aux étoiles
aux Editions de la Martinière

 

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Restaurants Food NEW YORK CITY : Fornino, Momoya, Sylvia’s Restaurant – Brooklyn – Manhattan & Harlem

Amis voyageurs, dans l’article précédent, nous vous avions laissés avec les saveurs de Washington DC.
Aujourd’hui, plein feu sur La Grosse Pomme, la ville phare pour beaucoup de touristes et de Frenchies.
Melting-pot de cultures, New York nous offre un vaste choix  pour combler notre appétit.
Vendeurs de hot-dogs ambulants, food-trucks de toutes les nationalités, hamburgers, indiens, japonais… vous dénicherez toujours de quoi manger sur le pouce.

Du coup, nous avons fait une petite sélection de 3 restaurants qui nous paraissent incontournables pour découvrir la cuisine de cette ville.

FORNINO / Brooklyn

187 Bedford Avenue
Brooklyn, NY 11211

Pizza is everywhere !

New York est la capitale américaine de ce plat très apprécié des Français.
Mais la mère-patrie américaine de ce plat est réellement Chicago.
Beaucoup nous avait recommandés le Roberta’s à Brooklyn, mais les 1h /1h30 d’attente nous ont découragé.
Alors retour chez Fornino, toujours à Brooklyn, dans le quartier de Williamsburg, pour leurs pizzas cuites au feu de bois.

Vous trouverez sur la carte l’histoire de cette recette, en trois générations : Naples, Italie et Fornino.
Il y en a donc pour tous les palais, des classiques peu garnies des débuts (Margherita ou quattro fromagi), à celles actuelles plus complètes et surprenantes : comme ci-dessus Asperagi e prosciutto (asperges et prosciutto). A emporter, sur place en salle ou sous la tonnelle extérieure, vous trouverez forcement la pizza avec qui faire la paire.
Accompagnez-là d’un verre de sangria maison et vous passerez une très bonne soirée dans un des quartiers les plus hypes de Brooklyn.
Fornino est une excellente adresse pour finir votre longue balade de la journée à travers les rues aux boutiques arty, vintage et décoiffantes du district.
En dessert, le tiramisu maison emporte également la mise.

MOMOYA / Chelsea

185 7th Avenue #21
New York, NY 10011

The taste of Japanase food

Pour les habitués du japonais à la française, voici ce que l’on peut trouver à Manhattan, un poil plus que chez nous c’est vrai : 45 $ environ. A premier abord, le prix nous a un peu fait hésiter.
Mais le plateau que propose le resto Momoya a fini par l’emporter. Ce menu est garni d’un rouleau de printemps exquis et très frais et de sushis gouteux et  joliment ciselés jusque dans le moindre détail. Sans parler de cette sculpture en maquereau qui a échappé de notre photo ci-dessus.
L’attente de notre plat a été (très) longue mais au final un vrai plaisir pour les yeux et un orgasme gustatif.
Et même si la salle est pleine de new-yorkais en costume cravate, il faut absolument pousser la porte de cet établissement comme jamais vous en trouverez à Paris – mais si vous connaissez une adresse nous sommes preneurs.
(spéciale dédicace à Alex pour son 8ème sens culinaire)

SYLVIA’S RESTAURANT/ Harlem

328 Malcolm X Boulevard
New York, NY 10027
Harlem : ses églises, ses gospels et sa cuisine héritée des États du sud.
Et il faut bien le constater, le dimanche matin, les rues de ce quartier sont bondées, les restos aussi.
Après 40 minutes d’attente – il faut savoir patienter pour partager les bonnes adresses new-yorkaises –  nous avons pu goûter à la cuisine de Sylvia, la patronne, disparue peu de temps avant notre visite, mais dont le souvenir est encore célébré sur le portail mitoyen du restaurant.

Au Sylvia’s Restaurant, c’est l’âme pure et dure d’une certaine gastronomie qui s’exprime.
Les travers de porc (Sylvia’s world famous talked about Bar-B-Que Ribs) sont incroyablement bons.
Et le plus, c’est le grand choix pour les deux accompagnements (sides). Parmi les 13 proposés, nous vous conseillerons : les Pickled Beets (assortiments de légumes marinés au vinaigre), le Buttered Corn (une purée de maïs) et les fameux Blacked Eyes Peas (haricots blancs ornés d’un “œil” noir).
Même si l’addition n’est pas forcement raisonnable (24$ pour les travers de porcs de Sylvia), la qualité et la convivialité vous séduiront à n’en point douter.
Et si vous avez le choix, privilégiez la terrasse – même si elle est située sur le trottoir – très agréable.
Un dernier conseil, commandez ce qui vous fait plaisir, même si les quantités servies sont énormes et ne regardez pas trop l’assiette des gens du cru, frissons garantis !

Et si vous poussez la portes de ces restaurants, n’hésitez pas à nous faire vos commentaires à votre retour !
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Hôtel Joséphine & Hôtel R. Kipling Rue Blanche : design, couleurs & fun pour une nuit à Paris

New and design. Color and adventure.  Funny and elegant.
Josephine & R. Kipling Hotels offer another way to sleep in Paris.

On ne va pas vous mentir. À la vue du rez-de-chaussée de l’Hôtel Joséphine au 67 rue Blanche et l’Hôtel R. Kipling  au 65 – fausse cheminée et bibliothèque pour le premier, orange tapant sur les murs et dans l’ascenseur pour le second – la perspective de passer une nuit dans l’un de ces derniers-nés de l’hôtellerie parisienne était compromise.


Mais c’était sans compter sur la malice des deux décoratrices qui se sont lancées une “battle” bon enfant d’un côté et de l’autre de la rue. Julie Gauthron pour le Joséphine et Christine Gérondeau pour le Kipling, les deux hôtels étant 4 étoiles.

Commençons par l’Hôtel Joséphine, en hommage à la reine de la nuit Joséphine Baker. Ambiance tout en couleurs, dans un mix vintage design pour le moins rassurant et captivant.
Au cours de la visite de quelques chambres, notre équipe se projetait volontiers dans ces espaces lumineux et raffinés. Imaginant une soirée et une nuit originale dans ces intérieurs chaleureux et cosy.


Gros coup de cœur pour les luminaires qui offrent des jeux de lumière “trippant”, selon la couleur de la tapisserie.
Il vous faudra plusieurs nuits pour découvrir toutes les compositions ou alors le trousseau de clé de toutes les chambres.
Et que dire de cette porte de salle de bains qui laisse deviner les ombres de son hôte ? Idéal pour un jeu amoureux digne du Crazy Horse pour les couples de dormeurs les plus inspirés.

En fin de parcours, la chambre au dernier étage avec poutres apparentes et son petit balcon pour amoureux est le must pour tout Valentin désireux de surprendre sa belle. On imagine volontairement que des touristes puissent ne pas vouloir quitter leur chambre.
Un petit côté Bohème de Montmartre ou atelier d’artiste sous les toits, qui aurait pu être le théâtre de longues séances de travail des peintres Toulouse-Lautrec ou Degas.


La salle des petits-déjeuners, quant à elle, sous voutes en sous-sol, offre un cadre paisible pour retrouver la forme avant une expédition dans les rues de Paris.

Côté Hôtel R.Kipling – en hommage à l’auteur du Livre de la Jungle – c’est aventure et dépaysement avec des éléments de déco qui semblent avoir été glanés au cours de nombreux voyages aussi périlleux qu’exotiques.

L’auteur britannique est présent dans chacune des chambres à travers son portrait.


Cet hôtel 4 étoiles est à la fois un terrain de jeu pour solitaire avec des chambres single en mode cocooning et pour couple fusionnel avec la chambre sous les toits – un peu bas de plafond – mais au charme délicat avec vue sur les toits et terrasses du quartier.


Encore une fois, les luminaires captent toute notre attention.


Et les petites ouvertures sur la porte des salles de bain nous inspirent des scénarios aussi bien débridés que déplacés selon la situation des locataires. A vous de les expérimenter.

Saurez-vous deviner lequel de ces deux hôtels emporte nos suffrages ?

Hôtel Joséphine
67, rue Blanche 75009 PARIS

Hôtel R. Kipling

65, rue Blanche 75009 PARIS

 

Chambres à partir de 145 euros

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I dream I travel / Je rêve Je voyage – Paroles de touristes à Londres, Paris et Rome

What is your travel dream ? Has travel changes your life ?

Quel est votre rêve de voyage ? Est-ce que voyager à changer votre vie?

Ce sont les questions originales qu’ont posé l’équipe du site Hôtel Info à des touristes visitant 3 capitales européennes: Londres, Paris et Rome.
Tous les styles et toutes les nationalités ont été invités à répondre à ces questions.
Pour l’anecdote, United States of Paris avait rencontré l’équipe de tournage lors de son passage à Paris.

Image de prévisualisation YouTube

Le résultat est aussi amusant que touchant et, cerise sur le gâteau, peut vous faire gagner un voyage de rêve avec 10 nuits dans 5 villes différentes pour fêter la nouvelle année !

Connectez-vous vite sur le site: I dream I travel pour participer.

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Championnat d’Europe ANGRY BIRDS sur SmartTV : l’équipe de France à Londres with Samsung

Le 13 décembre a eu lieu, à Londres, la finale du Championnat d’Europe
d’Angry Birds sur SmartTV organisé par Samsung.
Pour rappel, la sélection des joueurs était ouverte à tous et toutes grâce aux écrans connectés installés dans les boutiques partenaires et lors du dernier Paris Games Week.

19 nationalités pour près de 90 participants se sont donc retrouvés dans le quartier londonien de Chelsea
sous l’égide de Harri Koponen, COO de Rovio (studio créateur du jeu Angry Birds) et Stephen Taylor, vice-président de Samsung Europe.

La veille de la finale, lors de la soirée de présentation, l’organisation s’est lâchée dans la déco et le buffet aux couleurs des “oiseaux en colère”, en français dans le texte.
Dans un espace avec vue sur le Stade de Chelsea (ce qui a ravi les amateurs de foot et impressionné les autres),
les participants regroupés par équipe et donc par pays,  s’en sont donnés à cœur joie en entendant de connaître le déroulé des épreuves du lendemain.

Et là surprise! Ce ne sera pas un tournoi Angry Birds indoor tout simple, mais plutôt une chasse au trésor en plein Londres :
un mélange de course, de jeu sur Smart TV et de concours photos.
Le but : déterminer la meilleure équipe européenne mais aussi les quatre meilleurs joueurs qui auront le plaisir
d’affronter des stars lors de la soirée “All Stars” dans le Westfield Stratford City, à deux pas du site Parc Olympique.

Enfilez vos gants, sortez vos doudounes et en route pour une folle journée!

Jeudi, 9h, 4°C. Chaudement vêtus, les 90 participants sont tous sur le pont.
Une fois montées dans leur bus respectif, toutes les nationalités représentées s’en vont sillonner la capitale anglaise afin de gagner les points nécessaires
pour être désignée meilleure équipe européenne. Bien évidement, les parcours ont été conçus pour que toutes les équipes ne soient pas au même endroit au même moment !

Le bus français (partagé avec les autrichiens et l’unique joueur slovène) prend la direction du Royal Albert Hall.
Le jeu se déroulera-t-il à l’Intérieur ou l’extérieur?

L’espace de jeu est donc installé dans un des bars de cette salle de concert mythique. Ce premier arrêt laisse espérer
que nous irons de surprise en surprise au cours de cette journée.

Après que les 6 joueurs (2 par pays) ont établi leur performance sur ce niveau du jeu, nous remontons illico dans le bus
pour rejoindre un autre point stratégique : le London Eye, autrement dit la plus grande roue d’Europe érigée pour le passage à l’an 2000!
A ce stop, point de vidéo game mais un personnage Angry Birds à retrouver. Et comme dans le fameux jeu,
les Français ont pris un malin plaisir à tacler le cochon. Dans la bonne humeur, bien évidemment, et le respect de l’animal!

A Trafalgar Square, c’est la prunelle du jeu: l’œuf en or,  qui a subit nos assauts, amicaux cette fois.

Parcourir la capitale anglaise dans ces conditions – et malgré la circulation assez ralentie par les londoniens en pleines courses de Noël –  offre l’occasion aussi d’échanger avec nos “meilleurs ennemis” so British !
En parlant d’une journée unique: imaginez une bande de 90 personnes qui défile (certes tour à tour) au British Museum,
ou encore dans le Tower Bridge envahi par des joueurs avides du score parfait!.
Il est nécessaire de préciser que dans aucun de ces lieux touristiques, les visiteurs n’ont été dérangés par notre périple !

Et United States Of Paris vous propose aussi d’entrevoir la vie difficile d’un finaliste:
serez-vous retrouver l’œuf en or qu’il fallait découvrir à Picadilly Circus?

Et une telle ballade dans le centre de Londres ne laisse pas indifférents les concurrents venus des quatre coins de l’Europe.
Ils ne se lassent pas de se prendre en photo devant les plus beaux monuments de la capitale anglaise.
Car, pour beaucoup, c’est le premier voyage sur le sol british, pour d’autres il s’agit d’un retour après plusieurs années.

Notez que les Frenchies ont poussé le chic en se faisant interviewer par une télé coréenne devant le Tower Bridge.

Après un périple  de sept heures dans les rues londonienne surchargées de véhicules,
nous n’avons, à ce moment, aucune idée de l’équipe qui est en tête de la compétition.
Pour connaître le résultat, les différentes équipes ont rendez-vous au Centre Westfield, à deux pas du site olympique.

Au milieu des boutiques et restaurants ouverts, et après la traditionnelle séance photo de groupe,
nous prenons place devant la scène.

A chaque passage sur l’écran géant des photos prisent durant la compétition, les différentes équipes crient et sifflent.
Certains membres n’ont, quant à eux, pas résister aux charmes des hôtesses !
Le plus surprenant est la couverture médiatique de l’évènement par les médias coréens.

Après une heure d’attente, les résultats sont proclamés.
L’équipe gagnante de cette finale européenne est : …..

… La Roumanie.
La Grèce se plaçant en deuxième position.

Notons aussi que l’unique représentant slovène – faisant partie de notre bus – était  l’un des quatre meilleurs joueurs du tournoi!
Il a donc eu le plaisir d’affronter les stars anglaises venues pour l’occasion.
David Beckhman ne nous a malheureusement pas fait l’honneur d’une visite surprise.

Merci à notre acolyte blogger Yohan du blog des Nouvelles Technologies  pour ses photos.
Merci à Arnaud de l’agence Heaven.

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JEUX OLYMPIQUES 2012 – Club France à Londres: Olivia Ruiz, Alexis Vastine, Jean Galfione

Le Club France à Londres est, au fil des jours, un lieu hautement addictif.
D’une part, par son ambiance unique, les trouvailles vestimentaires tous les jours différentes et les rencontres uniques que l’on peut y faire.

Ce vendredi, après avoir fêté la médaillé de bronze du taekando, Marlène Harnois, la chanteuse Olivia Ruiz a pris place sur la scène à minuit. Elle a offert aux supporters qui se sont levés pour l’accueillir un show intime de 45 minutes. Tout en complicité, elle a réussi à faire chanter le public.


Elle a partagé aussi son émotion d’avoir été invitée à participer à ces Jeux. La proximité de l’événement avec la France a facilité la présence d’invités prestigieux au Club.
Mais ne croyez pas que l’artiste ait laissé son caractère piquant en loge.

Elle n’a pas hésité à balancer à la fois sur le spectateur peu délicat du premier rang et sur le staff qui l’avait invitée à garder son micro pour la dernière chanson alors qu’elle voulait chanter à voix nue.

L’ambiance de ce club qui a des airs d’espace privé, permet aussi de rencontrer d’anciens champions. Jean Galfione, champion olympique aux JO d’Atlanta a pu tester sa notoriété sur les supporteurs présents ce jeudi.


Au même, le jeune boxeur, Alexis Vastine, qui n’a pas réussi à briller sur le ring, apprécie de rencontrer ses fans. Il est un fidèle du Club comme le chanteur Louis Bertignac.

Si la carrière de boxeur d’Alexis est terminée, gageons que ses atouts physiques lui réserve des aventures de mannequinat et pourquoi pas d’acteur, à la Alain Delon.

Pour finir, je ne peux m’empêcher de partager avec vous cette vue sur combinaison moulante tricolore.
Il est évident qu’aucune poignée d’amour ne peut être autorisée pour porter cette tenue.

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IGNITE THE LIGHT Opening Night HOTEL W PARIS Opéra – New York in Paris : quand l’esprit américain souffle sur la nuit parisienne

Un mois et demi après son ouverture (un certain 14 février) l’Hôtel W Paris Opéra est entré dans la lumière de la nuit parisienne, ce jeudi, en faisant du gringue à une cohorte d’invités.

Quelques guests sont venus agrémenter les rangs de leur présence, discrète: Ariel Wizman, un Romain Duris “plus beau en vrai qu’au cinéma” aux dires d’un photographe cherchant à le flasher, l’équipe de l’émission Paris Dernière menée par un Philippe Besson taquin avec ses collaborateurs (chatouilles, et autres jeux de mains) , Gaspard Augé du groupe Justice ou encore Marco Prince qui a fait plusieurs fois le tour du quartier avant de rentrer et l’équipe du Petit Journal cherchant la ptite bête.
Face à eux, d’autres artistes se sont donnés en spectacle: Singtank by Alexandre et Joséphine de la Baume,  le jeune groupe américain Electric Guest ou le DJ belle gueule: Michaelangelo L’Acqua. Ils s’étaient donnés rendez-vous dans une chambre chaleureuse dont le lit est surmonté d’une scène de concert. Du dernier cri.

                                                                        

L’équipe de cette nouvelle enseigne from US avait fait le choix de la frustration avant d’ouvrir en grand les portes de ses espaces et de ses chambres. Peu d’informations avaient réellement filtré. On connaissait de réputation le W de New York ou celui de Barcelone, les conditions de recrutement et le visage du W Insider, agent au flair certain capable de dénicher les meilleurs plans pour la clientèle VIP. Quelques visuels de chambres avaient commencé à filtrer dans les médias. Certains avaient déjà siroté un cocktail au bar.

L’Opening Night baptisée Ignite the light avait comme enjeu d’allier l’esprit frénétique et audacieux de New York à la lumière de la capitale.

Pari réussi ne serait-ce que dans le savoureux mélange vestimentaire de cette soirée. Du costume classique chic, à la barbe longue mais domestiquée de jeunes ubbersexuels, en passant par le “so fashion” car capitale de la mode, baby!, avec des détours sur quelques belles audaces dont le très remarqué artdirector Yorgo Tloupas et deux ou trois fautes de goût: bermuda et baskets pour certains. Les ricains assument une part de mauvais goût, on ne saurait leur en tenir rigueur quand ils organisent aussi bien leur soirée.

Et la grande difficulté résidait à ne pas chavirer totalement entre les coupes de champagne blanches opaques, les mini-burgers ou autres jambons de pays from Italy coupés sur place. Certains invités ont mis du temps pour passer de la découverte des délices culinaires à l’appel de la chambre.

En effet, deux étages de l’hôtel attendaient les guests pour assurer un spectacle en chambre et comité réduit. Vernis fluo et translucide Room 210 pour les girls. Dans une autre, un écran méchamment interactif, réalisé par le label Shobo Shobo vous affuble d’une combinaison d’une centaine de visages monstrueux.

Il n’est pas rare non plus de croiser certaines filles distinguées en peignoir blanc sautant généreusement sur un lit. Au bout du couloir, la chambre 212 accueille des groupes en live. Les places sont chères, car l’espace est réduit et la transpiration est contagieuse. Un agent assure la fluidité du trafic à l’entrée de la Room.

L’équipe de Paris Dernière est en train de capter le concert du groupe Electric Guest mené par le chanteur Asa Taccone pendant que Luz, le dessinateur de Charlie Hebdo, tente de croquer la fougue du jeune groupe prêt à marquer les esprits par sa performance. Deux joyeuses quadras sont au premier rang pour ne rien rater. La poprock de ces gars-là est furieusement jouissif.

Autre chambre, autre ambiance. Un étage plus bas, impression de pénétrer les lieux d’un crime. Pénombre et stupeur. Un homme à lunettes noires brandit une lampe torche à la manière de Seven (le film) pour faire apparaître sur les murs les idéogrammes de la marque Louis Vuitton ensanglantés.
Effet sensationnel garanti.

Après ce tour du propriétaire, les impressions sont enthousiastes quant au design des chambres. Pas d’ostentatoire. Plutôt du design raffiné et inventif, des amis pour la nuit avec les coussins visages et une vue romantique sur l’Opéra Garnier, si l’on est du bon côté de l’Hôtel W.
Mais, après cette soirée, rien ne sera jamais plus comme avant, car vont nous manquer ces live shows en chambre.

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Ouverture de l’Hôtel Jules et Jim à Paris: concept nouveau, chic et convivial

Fini les apéros cachés organisés au cours de l’été en plein chantier de l’Hôtel Jules et Jim, installé rue Gravilliers, dans le 3e. Chaque grande étape était en effet, l’occasion de rendez-vous conviviaux. L’équipe du blog avait ainsi pu assister à l’installation du mur végétal dans la cour de l’établissement.

Depuis quelques jours le décor sent bon le neuf. Le cadre feutré du hall d’accueil mais aussi celui du bar invite à la confidence et à la complicité.

Lors de la soirée d’inauguration, les yeux des convives ont du mal à contenir leur surprise en découvrant le décor de cet hôtel composé de matériaux simples et durables: verre, bois massif, pierre, béton brut et Hi-Macs – coque composite composée de pierre, résine et liant.

Première étape, le comptoir d’accueil, lumineux, recyclable et arty.

Une fois saluée la jeune hôtesse d’accueil souriante, nous franchissons une porte nous menant dans la cour intérieure. Ici, la vue est imprenable sur les deux autres bâtiments composant l’établissement: deux maisons de deux étages.

Derrière les murs, des chambres au charme discret, cosy et parfaitement insonorisées. Il vous faudra vraiment tendre l’oreille pour surprendre les conversations des chambres voisines.

Chacun des trois bâtiments offre ainsi un cadre de nuitée distinct et original. Nous en pinçons pour les petites chambres de l’ensemble situées  au 8e étage du premier immeuble avec vue sur le Sacré Coeur, pour la première et vue sur les toits du 3e arrondissement, pour la seconde.

Au cours de cette soirée festive, une nouvelle tendance qui fera des émules. Aux côtés des cocktails et autres coupes de champagne un peu trop classiques au demeurant, un bar à soupe est aussi proposé pour réchauffer les plus téméraires préférant la chaleur d’une cheminée en extérieur.

La sélection musicale orchestrée par la malicieuse Béatrice Ardisson nous offre des reprises qui incitent souvent à interrompre sa conversation pour reconnaître la version originale.
De son côté,  Geoffroy Sciard, désormais directeur du lieu,  n’en finit  plus de sourire et se réjouir de la fin d’une aventure faite de graviers, marteaux piqueurs et casque de chantier et des premières heures d’une nouvelle plus sereine, internationale et tout aussi inventive.

Au fait, vous doutiez-vous qu’il faisait aussi chaud sur le chantier de l’hôtel?

Photographie de Bruno Perroud, de la série Instantanés

Hôtel Jules et Jim
11, rue des gravilliers – 75003 PARIS

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