CONCOURS de nouvelles invitations à gagner pour la pièce Un Coeur de Père de Christophe Botti au Théâtre Clavel

Quand l’envie d’être parent est plus forte que tout. Un thriller sentimental qui confronte les envies d’un couple d’hommes victime des projets diaboliques d’une jeune femme.

Mathan et Colin s’aiment depuis trois ans déjà, mais Colin ne peut imaginer sa vie sans enfant. C’est aussi le cas de la mystérieuse Mérédith qui s’immisce dans leur vie. Quel avenir pour un couple d’hommes quand prime l’envie d’être père. Où les mènera le choc de leurs désirs ?

Un coeur de père est la troisième pièce de Un cœur sauvage – la trilogie, présentée au Théâtre Clavel les jeudi, vendredi et samedi. Trois moments-clés de la vie de Mathan où nous partageons son éducation sentimentale de 17 à 27 ans, de son coming out à son mariage… Les trois pièces se suivent, se complètent, se répondent mais peuvent également se voir séparément et dans le désordre. À chacun de composer son aventure théâtrale.

CONCOURS !!

Nous vous proposons de gagner 2 invitations pour Le Coeur du Père, le samedi 1er février à 21h30.

 

Pour cela, il suffit d’être le ou la plus rapide à nous envoyer un mail avec vos prénom et nom (Coeur du père en objet) à :
usofparis@gmail.com

L’heureux gagnant de 2 invitations sera le premier à nous envoyer un gentil message.
Il recevra un mail de confirmation.

Bonne chance à tous et toutes !

Un coeur de père
mise en scène : Benjamin Castaneda

avec Cécile Théodore, Bastien Gabriel & Raphaël Hidrot

au Théâtre Clavel

3, rue Clavel 75019 PARIS

 

tous les samedis à 21h30

 

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Interview du groupe belge PALE GREY pour l’album Best Friends – concert le 18 février à la Flèche d’Or à Paris

Après avoir annoncé la sortie de leur premier album « Best Friends » en Allemagne, en Suisse, au Royaume-Uni, en France et aux Pays-Bas, les Belges de Pale Grey étaient de passage ce mardi à Paris pour une journée de presse bien remplie. C’est vers 19 heures que je me suis rendu dans le quartier de Pigalle pour les rencontrer et tenter d’en savoir plus sur leur style, leurs ambitions, et aussi le paysage culturel belge.

Gilles Dewalque (basse et chant), Maxime Lhussier (guitariste) et JanJannes Montens (clavier) ont répondu à mes questions, pour United States of Paris.

Baptiste : Le groupe Aline utilise souvent les couleurs pour parler de leur album « Regarde le ciel ». Pour un groupe qui s’appelle Pale Grey, qui est issu du Collectif JauneOrange et vu la pochette de l’EP « Pale Grey », vous devez avoir une petite idée de la couleur de votre premier album « Best Friends » ?!
Gilles Dewalque : C’est presque évident : nous avons un rapport à l’image qui est indissociable de la musique. Nous sommes partis de ce concept pour notre premier EP. Pour nommer nos chansons : une couleur, qui pouvait correspondre à un morceau sans lui donner trop de sens précis. Nous nous impliquons beaucoup dans l’aspect visuel.
Ensemble : En ce qui concerne « Best Friends », on est dans le beige, les couleurs pastel, et aussi le bleu marine et le bleu-gris. Les couleurs pastel, car elles évoquent des sentiments nostalgiques ou décalés, que l’on peut facilement identifier sur Seaside notamment.
Maxime Lhussier : Oui il y a cet aspect nostalgique : notre jeunesse dans un milieu assez rural, les balades, les soirées… Tous ces sentiments liés à l’enfance, à cette force dans l’insouciance, autant de sentiments qui changent beaucoup en grandissant. 

B : Et pourquoi ces deux chiens sur la couverture ?
M : Cette photo fut choisie parmi une série de propositions de photos réalisées par Gilles [Gilles a fait des études de photo]. C’est une photo d’un poster qui est dans la chambre du beau-frère de Gilles, une chambre qui n’a pas changé depuis qu’il a 8 ans ! Ce qui nous a interpelés aussi dans cette photo, c’est le regard de ces deux chiens : on peut y voir de l’excitation, de la mélancolie. Il y a un côté doux-amer, triste, mais aussi décalé, amusant.

B : Chacun peut trouver ses propres influences dans votre album. Personnellement, j’y ai vu des éléments des projets solos de Damon Albarn (Gorillaz, The Good The Bad & The Queen), et de l’album « Think Tank » de Blur.
M : C’est mon album préféré de Blur ! On essaie de digérer nos influences, ce qu’on peut mettre dans nos morceaux est fait inconsciemment. Mais notre musique s’inscrit tout de même dans un style. On essaie d’incorporer plein de choses qu’on aime dans d’autres genres de musique, pour la rendre a priori plus originale. En utilisant par exemple des éléments qui viennent de l’abstract hip-hop, du post-rock, de l’électro. 

B : Comment se passent vos séances de travail, de composition, d’enregistrement ?
Jan Jannes Montes : Certains morceaux sont nés de jam, mais c’est une minorité.
M : La plupart du temps, cela part d’un squelette de chanson créé par un des membres du groupe. Puis les autres vont mettre leur patte, « violer » le morceau, et cela génère beaucoup d’interactions. On arrête le travail sur une chanson quand tout le monde est d’accord. D’ailleurs, les morceaux qui posent problème ont été mis de côté. 

B : Avez-vous des dates de prévu pour des festivals d’été ?
M : On a une période de tournée prévue fin avril. Sur le printemps, on a de plus en plus de confirmations en France. Peut-être qu’on sera du côté de Dijon pour un festival en juillet (Oeno Music Festival). Côté anglais, il y a eu la sortie de Seaside, on a eu des bons retours, il est notamment passé sur la BBC. Le deuxième single sortira là-bas en février, et l’album en avril. 

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B : Votre album va justement sortir dans plusieurs pays, comment voyez-vous l’avenir ?
M : On a le sentiment d’avoir parcouru pas mal de chemin, de s’être professionnalisés sur bien des aspects : les concerts, la com’ et les à-côtés… Cela nous permet aussi de proposer nos morceaux à des publics « frais », qui n’ont pas d’idées préconçues, Quand il y a des retours positifs venant de l’étranger, ça nous touche d’autant plus et ça nous encourage beaucoup. 

B : J’ai le sentiment qu’il y a une scène électro, pop et rock très dynamique en Belgique, comment expliquez-vous cela ?
G : La Belgique est un pays très jeune, nous sommes tous très rapprochés. Sur le plan de la culture, la Belgique a encore beaucoup à chercher et à trouver. Nous sommes à l’intersection entre trois langues. Il y aussi le fait d’être au cœur de l’Europe… On est peut-être plus ouverts à ce qui se fait ailleurs, Si on est gourmand de musique, de culture, vu la taille du pays, on est obligé de se tourner vers l’étranger.
JJ : Notre culture n’est pas encore figée. 

B : En France, on nous présente souvent la Belgique comme un pays coupé en deux. Vous êtes connus en Wallonie, mais en Flandre ? Avez-vous des liens forts avec des groupes ou des programmateurs flamands ?
M : On a un avantage dans le groupe : Jan est flamand, il est originaire de Bruges ! Il y a deux cultures, c’est clair. On commence à être connus côté wallon, mais les médias en Flandre sont plus protecteurs et ont plus de mal à programmer des groupes du Sud. On a tout de même eu l’opportunité de jouer là-bas, et on a eu des retours très positifs de la part du public. La difficulté se situe plus haut. Il y a un sentiment belge au niveau de la population d’ailleurs, ça se voit avec la ferveur suscitée par la qualification en Coupe du Monde. 

Pale Grey sera en concert le 18 février 2014 à La Flèche d’Or, en première partie de Casual Sex

Album Best Friends chez JauneOrange / Pias

Single Seaside disponible sur Itunes

 

Interview by Baptiste Petitjean
http://ljspoplife.magicrpm.com

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CLUBKVIAR : inscrivez-vous au club privé pour économiser 30% sur votre prochaine addition à PARIS, Madrid & Barcelone !

Le CLUBKVIAR a ouvert ses portes il y a quelques semaines ! Devenez membre gratuitement et bénéficier d’une réduction de 30 % sur votre addition (boissons comprises) dans une sélection de bons restaurants parisiens.

On vous l’annonçait ici même le mois dernier. Le site ClubKviar, club privé réservé aux aficionados des kiffs culinaires à répétition, aux foodistas et foodistos de tout bord, aux fauchés qui n’aiment pas se priver, est à porter de clic.

Vous allez pouvoir désormais réserver votre table dans une vingtaine de restos parisiens minimum dont un étoilé. De nouveaux spots vont arriver dans les prochains jours : des étoilés et des restaurants de grands hôtels de la capitale et bien d’autres.

Vous voulez connaitre les noms et adresses des premiers établissements qui ont réservé leurs meilleures tables aux membres du club ? Un seul moyen : inscrivez-vous gratuitement avec notre parrainage à l’adresse suivante : www.clubkviar.com/paris-invite

Ensuite réservez en ligne à tout moment votre table en un temps record et confirmez avec une modique commission de 5 euros (pour s’assurer de votre motivation).

Les petits plus :
– si vous parrainez à votre tour au moins 8 personnes, vous êtes d’office membre Gold. Et qui dit Gold dit gratuité sur la résa de votre table à vie.
– vous avez droit à un service de conciergerie et à un assistant personnel pour tout conseil lors de votre réservation et le choix de votre restaurant.

Il n’y a plus une minute à perdre. Surtout si vous comptez séjourner à Madrid ou Barcelone prochainement où le ClubKviar est déjà bien implanté avec plus de 200 adresses. Prochaines étapes : Londres et Shanghai.

Elle est pas belle l’année 2014 ?

Retrouve interviews de chefs, beaux clichés #foodporn sur le blog : www.kviar.fr

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PRIX PARIS JEUNES inscrivez-vous jusqu’au 1er février pour remporter une bourse de 5 000 € & concrétiser votre projet

Vous avez moins de 30 ans et habitez Paris ?
Vous souhaitez donner un élan à votre projet musical, créer un site internet solidaire, parcourir l’Asie en vélo, réaliser un documentaire sur une tribue inconnue ?

La Ville de Paris peut soutenir votre projet à hauteur de 5 000 euros grâce aux Prix Paris Jeunes Talents et Paris Jeunes Aventures.
Au total 12 prix récompenseront cette année encore 12 projets : 9 artistiques et 3 d’aventures.

Les groupes We were evergreen, Moriarty, Jil is LuckyLa Femme – le groupe La Femme est nommé aux prochaines Victoires de la Musique – le plasticien Théo Mercier ou encore le photographe Emeric Lhuisset sont quelques-uns des lauréats du Prix Paris Jeunes.
Lors de la conférence de presse de l’édition 2014 dans une nouvelle adresse food, Le Chai d’Adrien, notre équipe a eu la chance de rencontrer de jeunes lauréats. Isabelle Gachet adjointe au Maire de Paris, chargée de la jeunesse a introduit ce dialogue. Autour de quelques bonnes victuailles, nous avons eu le plaisir d’entendre les récits de ces jeunes hommes et femmes de 24 à 29 ans qui nous ont raconté, d’abord timidement puis avec beaucoup d’enthousiasme leurs aventures. Trois lauréats successifs du prix étaient venus à la rencontre ouverte avec blogueurs et journalistes.

Le chanteur Jon Malkin a été surpris de gagner la bourse alors que son projet n’en était qu’à ses balbutiements. “Je suis arrivé avec une petite maquette “guitare, voix” et je voulais faire mon propre disque ! C’était ambitieux” reconnait-il. Et pourtant le jury a fait confiance à ce musicien pas encore confirmé. L’artiste a réalisé sa démo d’album et a trouvé résidence à la La Bellevilloise.
La confiance qu’on lui a accordé d’emblée c’est aussi ce que souligne, une jeune danseuse chorégraphe, Lucie Augeai qui a reçu le prix Paris Jeunes Talents 2012 dans la catégorie spectacle vivant pour son oeuvre chorégraphique Frater. Quant  à notre jeune coup de coeur Marine Mandrila, qui marche sur les traces de Julie Andrieu, elle avoue être carrément novice, n’ayant jamais réalisé de reportages télé. “Je suis partie avec un projet bien ficelé avec mon amoureux, à la découverte des cuisines du monde, chez l’habitant“. Au final, un blog Food Sweet Food et de retour en France, un livre est en préparation et des approches de producteurs afin de transformer leur belle expérience en un programme télévisé ou une série de reportages.

Le prix Paris jeunes Talents semble être un excellent catalyseur pour transformer ses rêves en réalité !

http://www.dailymotion.com/video/x17xpjl

Un  même constat pour les lauréats : le formidable élan que leur a apporté la bourse. 5 000 euros peut paraître peu pour un tour du monde. Mais les échanges avec le jury, les rencontres professionnelles et la médiatisation du prix sont de vrais atouts. Pour Marine, “Paris Jeunes est un vrai label qui ouvre des portes.”

Qu’attendez-vous pour vous lancer dans l’aventure ?
Sachez encore que Paris Jeunes est ouvert aussi au street-art !

Toutes les infos sont sur le site PARIS JEUNES 2014
Inscriptions en ligne jusqu’au 1er février 2014 sur : https://teleservices2.paris.fr

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HUMOUR : Dernières de la comédie policière PAS DE NOUNOU POUR THOUTMOSIS au Café de la Gare

 Dernière le 2 février pour la comédie policière désopilante Pas de nounou pour Thoutmosis au Café de la Gare.

Mais c’est qui au juste Thoutmosis ?
Non, ce n’est pas un chien, ni un quelconque animal de compagnie. C’est un bébé, effectivement mal baptisé à cause d’un père un peu trop original et quelque peu ébréché le jour de déclaration de naissance.

Ce petit dont les parents sont séparés depuis, est une charge de trop pour la gentille maman qui rêve d’une soirée pina colada. Elle décide donc de le céder temporairement à son père et sa compagne. Alain et Nathalie ont pourtant d’autres plans ce soir-là : ils ont un anniversaire à fêter.
Rajoutez à ce tableau, une concierge à l’accent non identifiable, le commissaire Galois et  l’inspecteur Letallec et vous obtiendrez une farce à rebondissements et quiproquos de tout bord.

Vous pensiez que les soirées galères (plusieurs le même soir) était votre lot régulier ? Prenez donc la direction du Café de la Gare et vous vous rendrez compte qu’il y a toujours pire. Toutefois, prenez garde avant de vous asseoir : les fous rires sont contagieux et certains soirs ce ne sont pas seulement les spectateurs qui rient aux éclats. Les comédiens prennent un malin plaisir à rajouter des répliques et à se surprendre les uns les autres, gardant leur sérieux avec difficulté.

Le couffin dans ce joyeux bordel imaginé par Bruno Lugan et mis en scène par Philippe Manesse a bien du mérite à trouver le sommeil.

PAS DE NOUNOU POUR THOUTMOSIS

comédie policière de Bruno Lugan
mise en scène de Philippe Manesse

 

avec Patrice Minet, Laurie Marzougui, Laeititia Vercken, Carole Massana, Christine Anglio et Philippe Manesse

les lundi et mardi à 20h30
lesvendredi, samedi et dimanche à 19h

au Café de la Gare
41, rue du Temple
75004 PARIS

 

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Live report concert Tombés pour la France #4 au Point Ephémère avec Marc Desse – The Pirouettes & Petit Fantôme

 Je me précipite sur les pavés dangereusement détrempés des berges du Canal Saint-Martin pour essayer de rattraper mon retard. Une foule compacte et enfumée stagne sur la terrasse du Point Ephémère, tout de même à l’abri du crachin. Je me faufile et parviens à me trainer jusqu’à l’entrée de la salle de concert.

Il est 20h30 : Marc Desse et ses musiciens en sont déjà à leur avant dernière chanson : Video Club !

Le punk BCBG qu’il est laisse tomber le cuir sous les sifflets échauffés de quelques fans, et se lance dans son refrain, de sa voix qui navigue entre le faux détachement et la langueur vraisemblable. J’apprends que juste avant ce morceau le public a eu droit à un titre inédit, Fait d’hiver, jeu de mots fait et refait sur lequel Marc Desse a humblement ironisé. Un fait majeur à noter pour ce concert d’ouverture : la présence dans la salle d’Alex Rossi – L’ultima canzone – venu supporter Marc Desse avec beaucoup d’enthousiasme !

Une courte pause et The Pirouettes, rangés parmi les espoirs 2014 par le magazine MagicRPM dans son numéro de janvier, font leur entrée sur scène. On connait bien leur premier EP, sorti en octobre 2012, et les deux phénomènes de la synth pop Made in France exécutent à merveille les 4 morceaux de cette première publication. Mais on a aussi eu le plaisir d’entendre les nouvelles chansons, celles qui figureront dans le disque à paraître en février prochain L’importance des autres, cocktail unique intégrant la clarté de Saint-Etienne, quelques sonorités volantes de Chvrches, et certains arrangements vifs et pointus de Teki Latex. Toujours la même honnêteté dans les textes, cette manière de mettre le quotidien au premier plan, avec simplicité, naïveté – dans le sens de la douce innocence – ce qui est tout sauf facile, surtout quand cela passe pour simple. On a également remarqué une aisance scénique nouvelle, un univers musical plus affirmé, moins pailleté, sans gâter la légèreté, au contraire. Un mec en or, Robocop, et le très suave Briller comme des étoiles illustrent bien ce constat. Mention spéciale pour Dernier métro, dédicacée pour l’occasion au magazine Magic, et renfermant un sympathique clin d’œil aux Rita Mitsouko.

Setlist : Briller comme des étoiles > Le Matin L’Eté Indien > Danser Dans Les Boîtes De Nuit > Comment Lui Dire ? (reprise de France Gall) > The Pirouettes > Oublie Moi > Autoroute/Opéra > Robocop > Dernier Métro > Rappel 1 Hortensia Summer > Un Mec En Or.

Pierre Loustaunau, alias Petit Fantôme, a clos la soirée. Les onze morceaux inédits qu’il avait réunis dans l’album Stave avaient mystifié les fans de pop, tant le Montois – qui a bien précisé pendant le concert qu’il n’était pas de Bordeaux – a donné naissance à une œuvre que l’on résumerait  en disant qu’elle est conceptuelle tant elle est inqualifiable. Toutefois, une réserve sur le concert : malgré des bons moments, notamment sur Etre Honnête, on n’a retrouvé ni la finesse des arrangements ni l’atmosphère onirique qui auraient dû nous embarquer… Partie remise !

by Baptiste Petitjean
http://ljspoplife.magicrpm.com

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Théâtre : ANNE, LE MUSICAL reprise exceptionnelle au Théâtre du Gymnase – Marie Bell le jeudi 30 janvier

Le Journal d’Anne Frank est l’un des témoignages les plus poignants sur la seconde guerre mondiale.
Une histoire intime portée par la plume saisissante d’une enfant, Anne, écrivant dans la cachette de la maison familiale à Amsterdam.
Les nombreuses traductions ont fait de ce livre un symbole lu par plusieurs générations.

Le cinéma, la télévision, le théâtre ont fait d’Anne une héroïne. Il ne restait plus qu’une adaptation possible : un musical.
Dès sa création, Anne, le Musical emporte les critiques avec cette partition originale composée par Jean-Pierre Hadida. Plus surprenant encore, le slam et le rap sont convoqués pour ce spectacle aux côtés des envolées lyriques.

Le spectacle est joué pour une date exceptionnelle le jeudi 30 janvier au Théâtre du Gymnase à Paris, l’occasion de renouer avec une histoire forte et universelle et de redécouvrir le destin de cette enfant au talent intemporel.

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Anne, Le Musical
représentation exceptionnelle le jeudi 30 janvier 2014

 

au Théâtre du Gymnase – Marie Bell
38, boulevard Bonne Nouvelle 75010 PARIS

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PHOTO DU MOIS #22 : Un

 Chaque mois, les bloggers et bloggeuses qui participent à La Photo du Mois publient une photo en fonction d’un thème. Toutes les photos sont publiées sur les blogs respectifs des participants, le 15 de chaque mois à midi, heure de Paris.

Ce mois-ci, le thème proposé par Guillaume du blog Vraie fiction est : UN.
Et cette fois est la bonne pour rendre hommage à la poésie de papier du street-artiste Fred Le Chevalier qui colle ses personnages dans les rues de Paris. Parce qu’en amour, il est de bon ton de dire que 1+1 = 1.
Gageons que ces deux-là, une fois qu’ils se seront rapprochés formeront un très beau couple.

Au tour des ptits camarades de vous présenter leur proposition :

             Woocares, Gizeh, Xoliv’, The Parisienne, Eurydice, Rythme Indigo, J’adore j’adhère, Chat bleu, Gilsoub, Ava, Isaquarel, Sephiraph, E, Angélique, Louisianne, A’icha, Morgane Byloos Photography, Testinaute, SecretAiko, Cara, InGrenoble, Claire’s Blog, Marie-Charlotte, Alice Wonderland, Arwen, dreamtravelshoot, Mimireliton, Champagne, Laurent Nicolas, Trousse cadette, Fanfan Raccoon, Agathe, eSlovénie, Thalie, Calamonique, Zaza, Marie, Tuxana, Mes ptits plats, Cricriyom from Paris, Crearine, Cécile – Une quadra, Chloé, Julie, El Padawan, hibiscus, Bestofava, MissCarole, Lyonelk, Mamysoren, Josiane, Renepaulhenry, Alexinparis, Ileana, Giselle 43, Grenobloise, Cekoline, Alban, Oscara, Tataflo, BiGBuGS, Guillaume, Nicky, Laulinea, François le Niçois, Une niçoise, La Dum, Photo Tuto, Sailortoshyo, DelphineF, La Fille de l’Air, The Singapore Miminews, Maria Graphia, Dr. CaSo, Pixeline, LisaDeParis, MauriceMonAmour, Lucile et Rod, Isa ToutSimplement, Agnès, Hypeandcie, Sophie Rififi, Filamots, Nie, Lavandine83, Anne-Laure, princesse Emalia, Cocosophie, Un jour, une vie, Béa, Dame Skarlette, Galinette, Lau* des montagnes, Frédéric, LaRoux, Lavandine, Thib, CetO, Blogoth67, Homeos-tasie, AnneLaureT, FloRie, Pica Moye, Krn, Les bonheurs d’Anne & Alex, Viviane, Akaieric, Cécile Atch’oum, Ti’ Piment, Anne, Mahlyn, Isa de fromSide2Side, Elodie, Stephane08, Wolverine, Christophe, Violette, magda627, Pilisi, Céline in Paris, KK-huète En Bretannie, Vanilla, La Nantaise à Paris

Likons, partageons, commentons !! 

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Spectacle – Déshabillez mots 2 : deux strip-textueuses réchauffent L’Européen – PROLONGATIONS !

Déshabillez mots 2 : prolongations pour cause de succès jusqu’au 5 janvier 2015 !

Nous avions aimé lorsque Flor et Léonore nous donnaient un petit cours de langue française expliquant tour à tour ce qu’est la pusillanimité, ou la procrastination. C’était le premier volet de Déshabillez mots.

C’est donc confortablement installés dans l’hémicycle du théâtre de L’Européen, transformé en studio de radio que nous avons découvert le deuxième volet de Déshabillez mots 2.1h30 de “streep texte”, c’est à dire des jeux de mots tricotés et détricotés, incarnés par deux artistes du verbe. Après neuf mois d’écriture ces deux grosses bosseuses, lectrices inconditionnelles ont trouvé une nouvelle série de mots à nous suggérer. Des termes qu’elles trouvent dans leur quotidien en fonction des situations qu’elles traversent ou des questions qu’elles se posent.

Photo by Philippe Delacroix

Flor et Léonore retournent les sens en se glissant dans la peau de ces nouvelles créatures de la langue française, s’interviewant mutuellement. Voilà leur défi, s’habiller de mots et les faire exister comme de vrais personnes. La brune et la blonde se muent donc à tour de rôle en compromis, en inconstance ou encore en politesse.

On sent une grande complicité entre ses deux femmes qui se sont rencontrées en jouant du Tchekhov il y a plus de quinze ans. Après être intervenues plusieurs saisons sur France Inter ces deux comparses ont retrouvé leur lieu de prédilection, la scène.

On débute avec Le Sympa, méprisé par sa propre mère, Mme la Sympathie qui le considère comme une amputation d’elle-même. Ce pauvre sympa semble un tantinet schizophrène tantôt amical ou enjoué, tantôt méprisant selon l’intonation.

Séduisantes, vêtues de noir et de strass les comédiennes nous font parfois rire aux éclats comme lorsque Léonore joue un point virgule, né de son papa point qui clôt les phrases net, et de sa maman hystérique toujours en cavale entre deux phrases. Ce point virgule qu’on ne sait jamais où mettre dans la phrase semble sacrément “amoché”!

Puis c’est Flor qui arrive sur scène comme une balle “survitaminée” sur une musique rock pour jouer le signe de ponctuation le plus “bankable” du moment… le Slash !

Le spectacle remporte l’adhésion des spectateurs et en particulier des femmes qui aiment lire les doubles sens dit-on. Chaque spectateur tire de l’évocation des mots un état d’apaisement ou de questionnement. C’est là tout l’art de ces deux artistes qui cisèlent un joli spectacle de poésie drolatique, tout en finesse, humour et sensualité. Une performance que ne renieraient ni Pierre Dac, ni Raymond Devos.

Ces deux linguistes coquines  – plus glam qu’Alain Rey ! – qui ont toujours un projet d’avance, caressent désormais le rêve de transformer ce spectacle en un programme court pour la télévision.

Déshabillez mots 2 affiche de Flor Lucienne et Léonore Chaix mise en scène Marina Tomé strip texte L'Européen spectacle humour théâtre radio Paris

Déshabillez mots n°2
écrit et interprété par : Léonore Chaix et Flor Lurienne
mis en scène : Marion Tomé

Reprise exceptionnelle du 16 octobre 2014 au 4 janvier 2015 !
du jeudi au samedi à 19h30
et dimanche à 16h30

à L’Européen
5, rue Biot
75017 PARIS

 by Hermine Mauzé

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Le charme soul de la chanteuse LORETTA en interview pour l’album Find a way

LORETTA est née Laure et a publié deux albums, collaboré avec Diam’s, Amel Bent ou encore Sheryfa Luna.
Loretta est glamour, fashion, anglophone et nous semble tout droit arrivée d’un autre espace temps sans téléphone portable ni direction assistée, avec un album lumineux : Find a way.
Les deux premiers titres : Miss You et The Wonder that you are sont des pépites soul qui nous renvoient aux grandes heures de la Motown – sans plagiat aucun.
On traverse nos écouteurs et l’on se prend à rêver d’une virée à LA avec Marilyn Monroe dans une Cadillac décapotable ou à NYC en train de siroter un jus avec Don Draper et Peggy Olson, les héros de la série Mad Men.

Au fil des morceaux, notre belle frenchie apparaît comme la petite-fille légitime d’une Diana Ross du temps de The Supremes. Les mélodies sont cousues voix, les cuivres picotent le mood et le beat nous met en lévitation.Loretta n’a pas eu à s’exiler à Detroit pour composer son album ni à Miami pour tourner son dernier clip. Tout est made in France. Bluffant.

D’où est venue ton inspiration pour cet album ?

Mon retour à Toulouse a été l’occasion d’une rencontre avec des musiciens, qui se produisent sous le nom de scène Joe’s Funky Business.
Leur musique de prédilection est la soul des années 50-60. Ils faisaient et font encore des concerts avec des reprises de la Motown et de la Stax – deux labels mythiques de la musique américaine. Et on a commencé à chanter de la soul ensemble, accompagné du chanteur Gimenez E (un garçon bourré de talent) et j’ai adoré. Je leur ai proposé tout naturellement de faire un album ensemble.

T’ont-ils initiée à des musiques, chansons que tu ne connaissais pas ?
Ils m’ont fait réviser mes classiques, comme “I can’t stand the rain” dont je connaissais la version de Tina Turner mais pas l’originale d’Ann Peebles.
Il y a aussi des titres d’Aretha Franklin que je ne connaissais pas et que j’ai découverts grâce à eux. Et je suis très heureuse car c’est comme si elle sortait un nouvel album, il y a encore des nouveautés pour moi ! (rires)

Comment s’est déroulée l’écriture de l’album Find a way ?

J’ai fait une recherche de tous les américains à Toulouse. Je cherchais les plumes à travers les blogs. Et j’ai découvert le blog de Jamie Alexander, auteure, dessinatrice, photographe, graphique. Et là, je me suis dit : “il faut absolument que je bosse avec elle !” Elle venait tout juste d’arriver en France et elle a écrit plusieurs titres de l’album : Miss you, Rebith… Je ne me voyais pas écrire en anglais.

Et comment avez-vous travaillé toutes les deux, avec Jamie ?
Je balançais le morceau en yaourt (rire) comme à mon avis 50% des artistes le font. C’est pas vraiment de l’anglais, on ne sait pas trop ce que c’est en fait. Je lui demandais de respecter les sonorités avec les rimes et le thème que je lui transmettais.

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Et donc que peux-tu nous dire de la conception de Miss you ?
Au départ, j’ai tenté plusieurs mélodies mais je n’y arrivais pas. J’ai donc fait appel à Gimenez E qui m’a fait une mélodie magnifique. J’ai failli virer le titre à cause du blocage.
Y’avait déjà le mot Miss you dans mon yaourt. Il y avait la trame. Et Jamie a respecté parfaitement le nombre de syllabes, la mélodie. Alors que c’était la première fois qu’elle écrivait un texte à partir d’une musique.

Elle m’a ensuite coachée pendant l’enregistrement du titre.

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Comment as-tu croisé la route de The Wonder that You are ?
J’ai découvert le titre dans la voiture d’un ami anglais. J’étais à Londres pour la première fois. Et ce pote – chanteur qui faisait partie de la troupe du Roi Lion UK – me fait écouter ce titre qu’il chantait et je me suis dit : “il me le faut absolument !” A l’époque je chantais encore en français et j’ai repensé à cette chanson lors de la conception de cet album. Je lui ai demandé si le morceau était toujours disponible.
Il m’a confié que Miss Dominique le voulait mais ça ne s’est pas fait. Elle a eu tort et je l’ai enregistré direct. C’est un gros tube !

Est-ce qu’il y avait des références précises pour cet album en terme de son ?
Oui, par exemple pour certains mix ou certains instruments ont été choisis parce que l’on voulait que ce soit dans la lignée d’un Stevie Wonder des années 70. On a donc rajouté des minimoogs, des réverbes. Nous avons aussi utilisé un micro E47 pour reproduire le son de l’époque.
Les cuivres de My Girl du groupe Temptations nous ont inspirés pour The wonder that you are.  Pour chaque titre, ce sont à chaque fois des petites touches – clins d’oeil.

Je me suis totalement laisser guidée par le réalisateur pour Find a way. Il a révélé quelque chose de moi que je ne connaissais pas.

Quelle leçon as-tu reçue pendant la conception de Find a way ?
J’ai appris que ça ne servait à rien d’être dans la performance, à vouloir à tout prix que les notes soient parfaites. Il faut se focaliser avant tout sur l’interprétation.
Avant je passais deux jours pour enregistrer un titre. Cette fois,  j’ai enregistré chaque chanson en une demi-journée. C’est plus du ressenti qui irrigue l’album.
Mais pour y arriver, il a fallu me pousser dans mes retranchements. Il n’y avait que des garçons en studio, ça a été dur !

C’est du boulot de devenir Loretta ?
Tu n’as pas idée ! (rires) Je ne peux pas me maquiller et me coiffer toute seule. Il faut des pros pour ça. Pour le dress code, j’ai trouvé une marque qui correspondait à mes envies : Karen Millen, comme si les robes avaient été conçues pour moi. Ce n’était pas évident de trouver le personnage qui correspondait à l’album et à ma personnalité.
J’ai récupéré aussi des vêtements de ma grand-mère, pour le clip de The Wonder that You are. Et des fripes, comme celles de la boutique à Paris : Thank God I’m a VIP, qui fait que des grandes marques vinage. Le stylisme c’est moi à 100 %.
J’aime cette époque, très Mad Men, où les femmes étaient très apprêtées, les hommes très stylés. Les gens écoutent aussi avec les yeux. Le look est donc primordial.


Find a way
de Loretta
Sortie le 17 février
Editions Vaziva Music

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