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PHOTO DU MOIS #22 : Un

 Chaque mois, les bloggers et bloggeuses qui participent à La Photo du Mois publient une photo en fonction d’un thème. Toutes les photos sont publiées sur les blogs respectifs des participants, le 15 de chaque mois à midi, heure de Paris.

Ce mois-ci, le thème proposé par Guillaume du blog Vraie fiction est : UN.
Et cette fois est la bonne pour rendre hommage à la poésie de papier du street-artiste Fred Le Chevalier qui colle ses personnages dans les rues de Paris. Parce qu’en amour, il est de bon ton de dire que 1+1 = 1.
Gageons que ces deux-là, une fois qu’ils se seront rapprochés formeront un très beau couple.

Au tour des ptits camarades de vous présenter leur proposition :

             Woocares, Gizeh, Xoliv’, The Parisienne, Eurydice, Rythme Indigo, J’adore j’adhère, Chat bleu, Gilsoub, Ava, Isaquarel, Sephiraph, E, Angélique, Louisianne, A’icha, Morgane Byloos Photography, Testinaute, SecretAiko, Cara, InGrenoble, Claire’s Blog, Marie-Charlotte, Alice Wonderland, Arwen, dreamtravelshoot, Mimireliton, Champagne, Laurent Nicolas, Trousse cadette, Fanfan Raccoon, Agathe, eSlovénie, Thalie, Calamonique, Zaza, Marie, Tuxana, Mes ptits plats, Cricriyom from Paris, Crearine, Cécile – Une quadra, Chloé, Julie, El Padawan, hibiscus, Bestofava, MissCarole, Lyonelk, Mamysoren, Josiane, Renepaulhenry, Alexinparis, Ileana, Giselle 43, Grenobloise, Cekoline, Alban, Oscara, Tataflo, BiGBuGS, Guillaume, Nicky, Laulinea, François le Niçois, Une niçoise, La Dum, Photo Tuto, Sailortoshyo, DelphineF, La Fille de l’Air, The Singapore Miminews, Maria Graphia, Dr. CaSo, Pixeline, LisaDeParis, MauriceMonAmour, Lucile et Rod, Isa ToutSimplement, Agnès, Hypeandcie, Sophie Rififi, Filamots, Nie, Lavandine83, Anne-Laure, princesse Emalia, Cocosophie, Un jour, une vie, Béa, Dame Skarlette, Galinette, Lau* des montagnes, Frédéric, LaRoux, Lavandine, Thib, CetO, Blogoth67, Homeos-tasie, AnneLaureT, FloRie, Pica Moye, Krn, Les bonheurs d’Anne & Alex, Viviane, Akaieric, Cécile Atch’oum, Ti’ Piment, Anne, Mahlyn, Isa de fromSide2Side, Elodie, Stephane08, Wolverine, Christophe, Violette, magda627, Pilisi, Céline in Paris, KK-huète En Bretannie, Vanilla, La Nantaise à Paris

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Spectacle – Déshabillez mots 2 : deux strip-textueuses réchauffent L’Européen – PROLONGATIONS !

Déshabillez mots 2 : prolongations pour cause de succès jusqu’au 5 janvier 2015 !

Nous avions aimé lorsque Flor et Léonore nous donnaient un petit cours de langue française expliquant tour à tour ce qu’est la pusillanimité, ou la procrastination. C’était le premier volet de Déshabillez mots.

C’est donc confortablement installés dans l’hémicycle du théâtre de L’Européen, transformé en studio de radio que nous avons découvert le deuxième volet de Déshabillez mots 2.1h30 de “streep texte”, c’est à dire des jeux de mots tricotés et détricotés, incarnés par deux artistes du verbe. Après neuf mois d’écriture ces deux grosses bosseuses, lectrices inconditionnelles ont trouvé une nouvelle série de mots à nous suggérer. Des termes qu’elles trouvent dans leur quotidien en fonction des situations qu’elles traversent ou des questions qu’elles se posent.

Photo by Philippe Delacroix

Flor et Léonore retournent les sens en se glissant dans la peau de ces nouvelles créatures de la langue française, s’interviewant mutuellement. Voilà leur défi, s’habiller de mots et les faire exister comme de vrais personnes. La brune et la blonde se muent donc à tour de rôle en compromis, en inconstance ou encore en politesse.

On sent une grande complicité entre ses deux femmes qui se sont rencontrées en jouant du Tchekhov il y a plus de quinze ans. Après être intervenues plusieurs saisons sur France Inter ces deux comparses ont retrouvé leur lieu de prédilection, la scène.

On débute avec Le Sympa, méprisé par sa propre mère, Mme la Sympathie qui le considère comme une amputation d’elle-même. Ce pauvre sympa semble un tantinet schizophrène tantôt amical ou enjoué, tantôt méprisant selon l’intonation.

Séduisantes, vêtues de noir et de strass les comédiennes nous font parfois rire aux éclats comme lorsque Léonore joue un point virgule, né de son papa point qui clôt les phrases net, et de sa maman hystérique toujours en cavale entre deux phrases. Ce point virgule qu’on ne sait jamais où mettre dans la phrase semble sacrément “amoché”!

Puis c’est Flor qui arrive sur scène comme une balle “survitaminée” sur une musique rock pour jouer le signe de ponctuation le plus “bankable” du moment… le Slash !

Le spectacle remporte l’adhésion des spectateurs et en particulier des femmes qui aiment lire les doubles sens dit-on. Chaque spectateur tire de l’évocation des mots un état d’apaisement ou de questionnement. C’est là tout l’art de ces deux artistes qui cisèlent un joli spectacle de poésie drolatique, tout en finesse, humour et sensualité. Une performance que ne renieraient ni Pierre Dac, ni Raymond Devos.

Ces deux linguistes coquines  – plus glam qu’Alain Rey ! – qui ont toujours un projet d’avance, caressent désormais le rêve de transformer ce spectacle en un programme court pour la télévision.

Déshabillez mots 2 affiche de Flor Lucienne et Léonore Chaix mise en scène Marina Tomé strip texte L'Européen spectacle humour théâtre radio Paris

Déshabillez mots n°2
écrit et interprété par : Léonore Chaix et Flor Lurienne
mis en scène : Marion Tomé

Reprise exceptionnelle du 16 octobre 2014 au 4 janvier 2015 !
du jeudi au samedi à 19h30
et dimanche à 16h30

à L’Européen
5, rue Biot
75017 PARIS

 by Hermine Mauzé

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Le charme soul de la chanteuse LORETTA en interview pour l’album Find a way

LORETTA est née Laure et a publié deux albums, collaboré avec Diam’s, Amel Bent ou encore Sheryfa Luna.
Loretta est glamour, fashion, anglophone et nous semble tout droit arrivée d’un autre espace temps sans téléphone portable ni direction assistée, avec un album lumineux : Find a way.
Les deux premiers titres : Miss You et The Wonder that you are sont des pépites soul qui nous renvoient aux grandes heures de la Motown – sans plagiat aucun.
On traverse nos écouteurs et l’on se prend à rêver d’une virée à LA avec Marilyn Monroe dans une Cadillac décapotable ou à NYC en train de siroter un jus avec Don Draper et Peggy Olson, les héros de la série Mad Men.

Au fil des morceaux, notre belle frenchie apparaît comme la petite-fille légitime d’une Diana Ross du temps de The Supremes. Les mélodies sont cousues voix, les cuivres picotent le mood et le beat nous met en lévitation.Loretta n’a pas eu à s’exiler à Detroit pour composer son album ni à Miami pour tourner son dernier clip. Tout est made in France. Bluffant.

D’où est venue ton inspiration pour cet album ?

Mon retour à Toulouse a été l’occasion d’une rencontre avec des musiciens, qui se produisent sous le nom de scène Joe’s Funky Business.
Leur musique de prédilection est la soul des années 50-60. Ils faisaient et font encore des concerts avec des reprises de la Motown et de la Stax – deux labels mythiques de la musique américaine. Et on a commencé à chanter de la soul ensemble, accompagné du chanteur Gimenez E (un garçon bourré de talent) et j’ai adoré. Je leur ai proposé tout naturellement de faire un album ensemble.

T’ont-ils initiée à des musiques, chansons que tu ne connaissais pas ?
Ils m’ont fait réviser mes classiques, comme “I can’t stand the rain” dont je connaissais la version de Tina Turner mais pas l’originale d’Ann Peebles.
Il y a aussi des titres d’Aretha Franklin que je ne connaissais pas et que j’ai découverts grâce à eux. Et je suis très heureuse car c’est comme si elle sortait un nouvel album, il y a encore des nouveautés pour moi ! (rires)

Comment s’est déroulée l’écriture de l’album Find a way ?

J’ai fait une recherche de tous les américains à Toulouse. Je cherchais les plumes à travers les blogs. Et j’ai découvert le blog de Jamie Alexander, auteure, dessinatrice, photographe, graphique. Et là, je me suis dit : “il faut absolument que je bosse avec elle !” Elle venait tout juste d’arriver en France et elle a écrit plusieurs titres de l’album : Miss you, Rebith… Je ne me voyais pas écrire en anglais.

Et comment avez-vous travaillé toutes les deux, avec Jamie ?
Je balançais le morceau en yaourt (rire) comme à mon avis 50% des artistes le font. C’est pas vraiment de l’anglais, on ne sait pas trop ce que c’est en fait. Je lui demandais de respecter les sonorités avec les rimes et le thème que je lui transmettais.

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Et donc que peux-tu nous dire de la conception de Miss you ?
Au départ, j’ai tenté plusieurs mélodies mais je n’y arrivais pas. J’ai donc fait appel à Gimenez E qui m’a fait une mélodie magnifique. J’ai failli virer le titre à cause du blocage.
Y’avait déjà le mot Miss you dans mon yaourt. Il y avait la trame. Et Jamie a respecté parfaitement le nombre de syllabes, la mélodie. Alors que c’était la première fois qu’elle écrivait un texte à partir d’une musique.

Elle m’a ensuite coachée pendant l’enregistrement du titre.

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Comment as-tu croisé la route de The Wonder that You are ?
J’ai découvert le titre dans la voiture d’un ami anglais. J’étais à Londres pour la première fois. Et ce pote – chanteur qui faisait partie de la troupe du Roi Lion UK – me fait écouter ce titre qu’il chantait et je me suis dit : “il me le faut absolument !” A l’époque je chantais encore en français et j’ai repensé à cette chanson lors de la conception de cet album. Je lui ai demandé si le morceau était toujours disponible.
Il m’a confié que Miss Dominique le voulait mais ça ne s’est pas fait. Elle a eu tort et je l’ai enregistré direct. C’est un gros tube !

Est-ce qu’il y avait des références précises pour cet album en terme de son ?
Oui, par exemple pour certains mix ou certains instruments ont été choisis parce que l’on voulait que ce soit dans la lignée d’un Stevie Wonder des années 70. On a donc rajouté des minimoogs, des réverbes. Nous avons aussi utilisé un micro E47 pour reproduire le son de l’époque.
Les cuivres de My Girl du groupe Temptations nous ont inspirés pour The wonder that you are.  Pour chaque titre, ce sont à chaque fois des petites touches – clins d’oeil.

Je me suis totalement laisser guidée par le réalisateur pour Find a way. Il a révélé quelque chose de moi que je ne connaissais pas.

Quelle leçon as-tu reçue pendant la conception de Find a way ?
J’ai appris que ça ne servait à rien d’être dans la performance, à vouloir à tout prix que les notes soient parfaites. Il faut se focaliser avant tout sur l’interprétation.
Avant je passais deux jours pour enregistrer un titre. Cette fois,  j’ai enregistré chaque chanson en une demi-journée. C’est plus du ressenti qui irrigue l’album.
Mais pour y arriver, il a fallu me pousser dans mes retranchements. Il n’y avait que des garçons en studio, ça a été dur !

C’est du boulot de devenir Loretta ?
Tu n’as pas idée ! (rires) Je ne peux pas me maquiller et me coiffer toute seule. Il faut des pros pour ça. Pour le dress code, j’ai trouvé une marque qui correspondait à mes envies : Karen Millen, comme si les robes avaient été conçues pour moi. Ce n’était pas évident de trouver le personnage qui correspondait à l’album et à ma personnalité.
J’ai récupéré aussi des vêtements de ma grand-mère, pour le clip de The Wonder that You are. Et des fripes, comme celles de la boutique à Paris : Thank God I’m a VIP, qui fait que des grandes marques vinage. Le stylisme c’est moi à 100 %.
J’aime cette époque, très Mad Men, où les femmes étaient très apprêtées, les hommes très stylés. Les gens écoutent aussi avec les yeux. Le look est donc primordial.


Find a way
de Loretta
Sortie le 17 février
Editions Vaziva Music

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HUMOUR : Court sucré ou long sans sucre ? avec Bruno CHAPELLE, Martyne VISCIANO & Sylvie AUDCOEUR par Jean-Luc Moreau à la Comédie Bastille

Après plus de 1000 représentations en 15 ans, 286 reprises à travers le monde et 10 ans d’absence, Court sucré ou long sans sucre ? revient à Paris et à la Comédie Bastille.

Cette fois c’est Jean-Luc Moreau qui passe à la mise en scène.
Et cette collaboration émane d’une envie réciproque entre la troupe, quasiment la même qu’à la création. Pour l’anecdote, le metteur en scène fût l’un des premiers spectateurs de la pièce en France.

Le pitch ? Une agence d’évènementiel s’apprête à recevoir Thierry Blanchard, un client fidèle, pour préparer la prochaine convention commerciale des Charcuteries Flocel, qui doit permettre à la société de remettre ses comptes à flot.

Mais s’ajoutant au “marasme agro-alimentaire ambiant”, une consultante nymphomane d’un grand cabinet d’audit anglo-saxon débarque pour superviser l’opération.
Jusqu’où faudra-t-il aller pour sauver le contrat ?
Quiproquos surréalistes, mensonges éhontés, passions exacerbées…
Un vaudeville accroché au monde un peu fou de la communication: c’est très rare !

10 ans que ce succès n’avait pas été joué, et aux dires d’un des auteurs, Olivier Yeni (patron d’une société d’évènementiel), il n’a pas fallu beaucoup réadapter le texte pour le mettre au goût du jour.
La troupe est impatiente de remettre le couvert sous la houlette de Jean-Luc Moreau: un oeil neuf  sur le texte et le jeu des comédiens donc une mise en scène plus acérée et percutante encore.
De quoi nous donner de bonnes tranches de rires  sur un univers unique aux codes si particuliers.

Alors ne tardez pas pour réserver et courir voir Court sucré ou long sans sucre.

Court sucré ou long sans sucre ?

A partir du 18 janvier 2014
Du mardi au samedi a 21h
Samedi et dimanche a 17h

à la Comédie Bastille

5, rue Nicolas Appert 75011 PARIS

Avec
Sylvie AUDCOEUR
David BASANT
Bruno CHAPELLE
Olivier YENI
Martyne VISCIANO

BON PLAN ! Tarif Jeune (moins de 26 ans) 10 € en fonction des places disponibles, réservation uniquement au téléphone auprès du théâtre ou sur place le jour même.

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HUMOUR : Même pas vrai ! avec Bruno Madinier & Raphaëline Goupilleau au Théâtre Saint Georges

Même pas vrai ! c’est un couple qui affiche 20 ans de mariage au compteur.
Un couple qui cherche à rebooster la flamme et qui du coup emporte tout sur son passage, fils, amis et un bout de décor.

La pièce mise en scène par Jean-Luc Revol a entamé un tour de France au mois de septembre dernier, embarquant les rires au passage.
Après deux mois passés à Lyon, Même pas vrai ! nous arrive à Paris fin janvier pour un début d’année amical et jubilatoire.

A juger de l’ambiance qui règne dans les coulisses, l’entente entre les comédiens n’est pas fictive. Ce qui nous laisse présager d’une entrée sur la scène du Théâtre Saint-Georges en trombe.

Vous nous trouvez un peu sûrs de nous ?
La pièce est passée devant le plus intransigeants des thermomètres un soir d’automne dans la ville d’Orange : un pompier volontaire présent dans les coulisses.
A la fin des saluts, ce dernier s’approche de Raphaëline Goupileau pour lui faire le baisemain et de préciser : “d’habitude je m’endors, mais ce soir j’ai tenu tout le long !”

 Les deux auteurs trentenaires, Nicolas Poiret et Sébastien Blanc, avouent modestement qu’ils écrivent ce qu’ils aimeraient voir sur scène.
Gageur de la sincérité de leur démarche et des surprises qu’ils nous réservent.

Au fait saviez-vous que Raphaëline Goupilleau et Bruno Madinier étaient faits pour s’aimer ?
La preuve : ils avaient participé à 3 lectures de pièces où ils interprétaient déjà un mari et une épouse avant que le metteur en scène de Même pas vrai ! ne leur mette définitivement le grappin dessus.
Classe !

Même pas vrai !
Du Mardi au Samedi 20h30 et matinées samedi 17h

De : Nicolas Poiret, Sébastien Blanc
Mise en scène : Jean-Luc Revol
Avec : Anne Bouvier, Bruno Madinier, Christophe Guybet, Raphaëline Goupilleau, Thomas Maurion, Valérie Zaccomer
Décors : Stéfanie Jarre

au Théâtre Saint-Georges
51, rue Saint-Georges
75009 PARIS

 

BON PLAN : Premiers aux premières du 25 au 31 Janvier 2014 avec 50% sur toutes les places ! 

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CONCOURS des invitations pour TETRAKAÏ par le Centre national des arts du cirque au Parc de la Villette

Pour bien débuter l’année, rien ne vaut mieux que de prendre de la hauteur.
Et la fougue de la 25e promotion du CNAC, Centre national des arts du cirque va vous donner de bonnes raisons de croire aux talents des artistes de demain.

A partir du 15 janvier, le spectacle Tetrakaï mené par 14 jeunes interprètes de 7 nationalités différentes installe son chapiteau au Parc de la Villette, à deux pas de la Géode.

Un spectacle de fin d’année du CNAC c’est l’assurance d’une écriture singulière à chaque fois grâce à la collaboration notamment d’un metteur en scène de renom et à l’énergie incroyable des acrobates et circassiens.
Cette année c’est Christophe Huysman, fondateur de la Compagnie Les Hommes penchés, qui s’y colle. Il apportera sa poésie pour révéler la performance de chacun.


CONCOURS !!

Nous vous proposons de gagner 2×2 places pour Tetrakaï le vendredi 17 janvier à 20h.

Pour cela il suffit de répondre à la question suivante :
Quel était le titre du précédent spectacle de la 24e promotion du CNAC présenté à la Villette en 2013 ? Indice

Envoyez vite votre réponse par mail avec vos prénom et nom (Tetrakai en objet) à :
usofparis@gmail.com

CONCOURS TERMINE !
Nos 2 gagnants sont Jean-Xavier et Nathalie. Bravo !
Et merci à vous tous et toutes pour votre participation. 

 TETRAKAÏ par le Centre national des arts du cirque
Du 15 janvier au 9 février 2014 à l’Espace chapiteaux
Parc de la Villette – Paris

Mercredi, vendredi et samedi à 20h, jeudi à 19h30, dimanche à 16h
Durée : 1h30

Plus de jeux concours
Création de concours facebook

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CLUBKVIAR le club privé pour gastronomes futés ! Un resto à moins 30% ça vous dit ? – Coming very soon

Un club privé sur le net pour déjeuner ou dîner futé à Paris, vous y avez rêvé mais ne l’espériez plus ?

Vous allez saliver très prochainement avec le ClubKviar qui a la très bonne attention de vous faire faire de belles économies sur vos prochaines additions, tout en appréciant les joies de la gastronomie française.

Le concept a fait ses preuves avec un réseau de plus de 200 restaurants en Espagne (Madrid et Barcelone) et plus 80 000 membres comblés.
Avant de conquérir le reste de l’Europe (London en première ligne), une équipe de jeunes frenchies lance dans quelques jours le site parisien.

Dès votre inscription (gratuite) suite à notre parrainage, vous pourrez accéder à une belle brochette de restaurants et aux créneaux permettant la remise de -30% sur votre addition.
Assurez-vous de la disponibilité du ou des convives qui vous accompagnera.
5 euros petits euros pour confirmer la résa auprès de votre assistant personnel et le tour est joué.

Du coup, quand vous voyagerez, vous aurez aussi accès aux restos européens, en faisant le plein de bons plans en un clic.

Are you ready to eat ?

En attendant, allez donc jeter un oeil sur les plats exposés sur le blog : www.kviar.fr

Et suivi notre actu, pour avoir le précieux sésame pour accéder au club.

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Restaurant : PIROUETTE – Les Halles Paris 1er : l’oeuf parfait est à la carte !

On est toujours avide de trouver un bon resto dans un endroit où se regroupent des établissements à la qualité relative.
Et nous en avons découvert une adresse spacieuse, joyeuse et qui amuse le palais, tout tout près des Halles, la bien nommée : PIROUETTE.
Bien sûr, il y avait bien l’Autobus Impérial, mais notre dernière visite nous avait réservé un service un peu désinvolte.

Donc notre nouvelle petite pépite Pirouettecette adresse culinaire qui va ravir les papilles les plus endurcies.

Ne le cachons pas, ce restaurant, nous l’avons découvert lors de la journée d’HyperParisien avec ZoomOn Paris.
Mais ce n’est pas pour ça qu’il ne faut pas mettre en avant un coup de coeur culinaire.
Dans un cadre cosi-rétro-chic, Tomy Gousset (qui est passé par Le Meurice, Taillevent, ou Boulud à New York), nous offre une cuisine traditionnelle, simple et complice.

Commençons par les amuses-bouche.


Une crème de panais douce et onctueuse, un toast au fromage frais avec ses chips de jambon ibérique et une figue/ magret de canard onctueux, tendre et fumé de façon exceptionnelle. On chavire.

Une découverte pour notre équipe ensuite avec l’oeuf parfait, cuit au four durant 45 minutes à une température constante de 64,4°C.


Il en résulte un plat fondant, homogène à foutre des complexes aux rois des oeufs mollets !
Accompagné de son écrasé de lentilles et de son lard poloniata, c’est juste une invitation à grimper dans les nuages.

Pour suivre, un morceau de canard tout simplement exquis dans une assiette colorée.


Jamais nous n’avions mangé une chaire de canard aussi fine.
Disparu le goût prononcé qui accompagne souvent cette viande. Le morceau fond en bouche tel le meilleur des faux-filets de boeuf.
La sauce moutarde est véritablement à tomber et la purée de carottes douces,tout en délicatesse et discrétion.

Pour le dessert, le chef ne bâcle pas sa démonstration de style arrivant à mettre dans sa poche un rétif aux desserts chocolatés.

Le coeur a donc ses raisons et il fond.
Il faut dire que cette tarte est merveilleusement accompagnée d’une glace à l’orange et d’une crème d’orange au piment d’Espelette.

Bref avec un menu à 18€ pour le déjeuner, nous ne pouvons que vous conseillez de découvrir Pirouette d’une qualité aussi rare autour des halles et où l’on peut s’entendre parler à table.
Et pour les bourses un peu plus garnies, nous vous conseillerons les repas en soirée (menus à 40 et 60€), ambiance tamisée et carte des vins euphorique.

Pirouette restaurant les halles tomy gousset le meurice fooding zoomon paris équipe

Restaurant Pirouette

5, rue Mondétour
75001 Paris
TÉL : +33 1 40 26 47 81
Métro : Les Halles, Etienne Marcel, Châtelet

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CONCOURS à gagner des invitations pour Les Décaféinés et leur Dépression Musicale au Théâtre Trévise : dernière le 4 janvier 2014

 Ce drôle de couple de comiques qui aime lancer la chansonnette à toutes occasions et parfois dans le plus simple appareil – comme pour son célèbre sketch d’Adam et Eve – est sur la scène du Théâtre Trévise jusqu’au 4 janvier 2014.

Du mardi au samedi, Les Décaféinés, Rémi Deval et Clément Parmentier, vous envoient leur déprime en pleine gueule.
Et le pire, c’est que vous en redemanderez.
Vous voulez parier ?

Pas de longs discours, juste un extrait d’un de leurs passages dans l’émission de Ruquier « On n’demande qu’à en rire » pour vous convaincre de leur don inné pour l’humour et la chanson à texte.

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CONCOURS

LES TOUTES DERNIERES INVITS sont à gagner pour le spectacle des Décaféinés au Théâtre Trévise les:
–  jeudi 26 décembre

– vendredi 27 décembre

– mercredi 1er janvier

– jeudi 2 janvier

– vendredi 3 janvier

 

ENVOYEZ-NOUS vite un mail avec vos prénom et nom accompagnés de la date de votre choix (bien préciser Décaféinés en objet du mail) à : usofparis@gmail.com

Les heureux gagnants de 2 invits chacun seront les premiers à nous envoyer un gentil message.
Ils recevront un mail de confirmation.

Bonne chance à tous et toutes!

Dépression Musicale par Les Décaféinés


au Théâtre Trévise
14, rue de Trévise
75009 PARIS

du mardi au samedi 20h

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Critique DVD : concert MUSE Live at Rome Olympic Stadium – The Unsustainable Tour 2013

5 ans sans DVD live. Et le groupe MUSE nous en livre un nouveau enregistré au Rome Olympic Stadium.
Et c’est peu dire que ce live était attendu.
Après une avant-première dans les cinémas dont une séance exceptionnelle à la Géode en présence du groupe, en novembre dernier, les fans attendaient cette sortie avec une grande impatience.

Voici une revue exhaustive du DVD live à Rome (en français dans le texte).

Le maître-mot de ce DVD c’est 4K. Mais c’est quoi le 4K ?
Pour vulgariser : un procédé qui enregistre avec une qualité 4 fois supérieure à la haute définition (HD), une première pour un live !
Pour bénéficier au maximum de cette qualité d’image exceptionnelle, un conseil : procurez-vous la version Blu-ray.
Même si, sur la version DVD classique, on ressent cette différence de taille dans l’image.

Sinon du point de vue réalisation, qu’est-ce que nous avons ?
On plane, on survole. On est dans le public : il ne manque que l’ambiance et l’énergie de la foule du stade pour se croire plonger dans cet événement si particulier. Et surtout, on se retrouve sur scène avec le band à un point tel que l’on rêverait d’être juste une fois à la place d’un des membres pour ressentir le pur frisson.

Un concert de Muse est un moment particulier, un espace-temps à part.
En restant objectif, rares sont les groupes qui offrent un tel spectacle, avec une telle intransigeance scénique et un tel partage avec le public.
De mémoire, seuls Arcade Fire, Dionysos et peut-être les Scissor Sisters offrent un show si communicatif et revigorant.
Et si votre écran dépasse les 90 cm de diagonale, avec ces images d’une si haute définition, vous serez véritablement plongés au coeur du show. Vous prendrez part au spectacle.

D’ailleurs, le mot spectacle ce n’est pas un vain mot.
Pour ceux qui n’ont pas vu le concert depuis la fosse ou les gradins, en plus d’un mur d’écran, des musiciens sur scène, il fallait aussi compter sur la présence d’acteurs en chair et en os.
Ces scénettes sont astucieusement mises en scène dans ce live. Nous laissant alors pleinement profiter du jeu d’acteurs tout en pouvant voir le spectacle en parallèle. La caméra créant même parfois de vrais tableaux visuels, comme sur la reprise de la musique originale du film Il était une fois dans l’Ouest où un homme d’affaire est étendu sur scène.

Grâce au montage, ce live se transforme en un véritable film. On est loin du rythme effréné d’images proposé habituellement pour les captations de concerts rock.
On prend le temps de se poser sur un plan, on le laisse se dérouler. Le plan le plus court doit faire une seconde, un fait rarissime !
Et c’est un vrai plaisir d’avoir le temps de voir, pour une fois.
Les images aériennes sont magnifiques et les cadrages laissent la part belle à la grandeur du stade, à l’osmose entre les artistes et leurs fans.
On est transporté à Rome.

Autre surprise, le public est très présent dans ce live.
Clins d’oeil complices à la caméra, plans sur les premiers rangs, les visages spectateurs apparaissent régulièrement dans les transitions entre les chansons, comme si vous parliez à votre voisin de show.
Le montage apaisé ramène l’égocentrisme musical d’un live à une vraie communion entre le public et les artistes.

MUSE nous offre donc un live d’une qualité visuelle exceptionnelle, une réalisation aérienne, légère et bien pensée, alliée à un montage d’une grande sobriété qui met en avant l’ambiance, la musique, le public et bien entendu le trio britannique.
Le seul regret, ne pas avoir la version tonitruante de Unsustainable, qui est totalement taillée pour un stade (une petite explication de Matthew ici).
Pour les fans, ce Live at Rome Olympic Stadium est le must-have à posséder dans sa vidéothèque. Et pour les moins connaisseurs, un vrai show pour découvrir l’un des meilleurs groupes de rock dans son meilleur élément : la scène. Un band qui aime les grandeurs, de la trempe d’un Pink Floyd, U2 ou encore Depeche Mode.

En Bonus DVD
Vous retrouverez le making-of d’un concert de la tournée “The 2nd Law Tour” (concert en salle) intitulé The Road, mais aussi trois titres captés en live durant la tournée américaine US Arena:
Stockholm Syndrome à Las Vegas
Unsustainable à Las Vegas (Ouf un Live existe ! même si c’est la version en salle)
Liquid State à Dallas

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 MUSE Live at Rome Olympic Stadium

En CD, DVD et coffret CD+DVD

 

Photographies ® Hans-Peter van Velthoven

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