Anthony Gonzalez alias M83 – l’artiste électro prodige que nous envie et nous accapare le plus souvent possible les States – de retour à Paris ce lundi. Un concert unique en plein hiver histoire de nous rappeler les chaleurs de notre été, la plage, les nuits sans sommeil.
Junk à l’épreuve du live. Report.
M83 is back!
Musique planante en attente et en entrée de scène avant de dégainer un tube imparable, sur fond de pulsations lumineuses : Reunion. Sourire d’ange et complice. Anthony préfère la guitare pour un face-à-face avec le public plutôt que de s’attabler à sa console.
Le visage est un peu marqué par rapport aux dernières pics promo, certainement la fatigue de la tournée. Mais l’artiste ne laisse rien paraître. Aparté en pleine instru : “merci d’être là (…) Je suis content de revenir enfin en France !” Suit un premier extrait de l’album Junk qui nous avait fait croire à une blague potache avec sa couv très kawaï composée de drôles de têtes non identifiées et d’un burger. Do it, Try it prouve que l’album est de très bonne facture et trippant en mode live. Steve McQueen emporte le Zénith dans une autre dimension ! Les gradins de face ne résistent plus à l’appel des beats et se lèvent pour danser.
Romantic electro
M83 c’est de l’électro romantique mais pas mollassonne ou guimauve. Romantique dans le bon sens du terme : envie de tomber amoureux ou de serrer contre son-sa partenaire, de s’imaginer loin du froid de Paris : “You… meet… me at this station…” Et être capable de s’émouvoir d’un lâcher de confettis à la fin du concert.
Anthony varie les plaisirs en faisant chanter ses musicos. Sa claviers pas vraiment rousse, plutôt tonalités brune-rouge, robe noire lacée dans le dos prend le micro pour Intro. Et son guitariste sur Walkway Blues. Variations des plaisirs et belles ruptures pour tenir en haleine le public tout au long du set.
Clubbers, lovers, family
Dans la fosse, des trentenaires (qui s’approchent de la quarantaine) à casquette style clubbing du lundi (un peu fatigués du week-end mais aptes à se dandiner), t-shirt à maille sous blouson imitation cuir et débordement d’eau de toilette de tous les pores de la peau.
Des filles frileuses qui n’enlèvent pas leur doudoune. Un trentenaire barbu qui garde sa capuche. Un enfant (6-7 ans) sur les épaules de son père (il n’a pas école demain ?).
Au moins un garçon attentionné qui a offert une coupe de champ’ à sa belle ! Et une très belle tentative de selfie en amoureux, le garçon éclairant son visage et celui de sa copine avec son portable, pendant que cette dernière visait avec son phone. Ingénieux !
Peu d’échange en paroles avec le public, mais le visage lumineux d’Anthony suffit.Ce dernier s’est offert quelques guests dont une chanteuse lunettes noires, so 80’s : Mai Lan qui s’est mettre l’ambiance et offrir une jolie parenthèse disco.
En revanche, pas réellement convaincu par la danseuse cheveux qui aurait trop vu de spectacle Pina Bausch ou qui “se prend pour Esmeralda.” Mais ça a le mérite d’avoir été surprenant si ce n’est divertissant.
Migniht (Londres, ity met le feu suivi de Outro (“King of my own land“) titre totalement planant qui allait si bien à la série de Canal + : Versailles. Fin de la première partie.
Le rappel nous offre le magistral Colours qui emporte la mise ! Le Zénith se soulève, est porté par la vague électro qui fait oublier le froid extérieur.
Set court (1h30) mais sans perte d’énergie. On peut juste regretter que la setlist ne change pas d’une ville à une autre depuis quelques dates (Londres, Cologne, Bruxelles).
Il y a toujours de belles surprises sous les chapiteaux de cirques à la Villette. Et Akoreacro qui fête cette année ses 10 ans de pure folie douce a de quoi faire palpiter un très large public jusqu’au 25 décembre. Klaxon est taillé pour le succès avec ses tranches d’humour, des tableaux d’une pure poésie et ses jeux d’équilibre grandioses.
Les circassiens sont déjà en piste que le public commence tout juste à s’installer dans les gradins. Tour de chauffe, premiers eye contacts avec les spectateurs. L’ambiance est bon enfant, débridée.
On ne comprend pas la langue : du polonais ? Un argot venu de l’est de l’Europe ? Un beau mélange que les artistes eux seuls peuvent connaitre ?
Par chance (ou pas), nous avons droit à une traduction simultanée en espagnol.
Nul besoin de sous-titres pour se prendre la folie de la troupe en pleine face et vite comprendre que la parité n’est pas respectée : une seule femme pour dix hommes. Quel mérite ! 🙂
Les premiers numéros déboulent avec fougue et force dans les poignets, biceps et épaules, le tout accompagné d’une bande-son en live (batterie, accordéon, violon…).
Le membre de la troupe le plus maltraité n’est finalement pas l’espagnol à moustache (bien que… à être trainé par les pieds…) mais plutôt le piano sur roues.
Il est malmené d’un bout à l’autre du spectacle. Il est forcé à rouler sur lui-même quitte à avoir le tournis. On lui saute dessus, on le chevauche, sans compter les multiples cabrioles en solo ou à plusieurs.
Il est au cœur de cette création et apporte un vrai décalage à sa manière, comme un clown dans un cirque traditionnel.
On retrouve les numéros qui font le succès du cirque contemporain mais avec toujours une pointe d’inédit ou de poésie en plus. Les séquences de trapèze sont couplées à des portées magistrales. Le jonglage n’est pas qu’un simple divertissement, comme d’habitude, avec des baballes. Il devient l’occasion d’une battle avec une session de beat-box.
Les circassiens font aussi des voltiges avec un accordéon – on craint à chaque fois pour la réception et leur dos. Et surtout, ils sont tous prêts à attraper un instrument au vol pour notre plus grande surprise.
Klaxon d’Akoreacro est vibrant, poétique et généreux !
Klaxon Compagnie Akoreacro / Alain Reynaud
spectacle de cirque dès 5 ans
Acrobates : Claire Aldaya, Basile Narcy, Romain Vigier, Maxime Solé, Antonio Segura-Lizan, Maxime La Sala
Musiciens : Mathieu Santa-Cruz, Guillaume Thiollière, Guilhem Fontes, Boris Vassallucci, Vladimir Tserabun
L’imagination de Christophe Adam n’a, une nouvelle fois, pas fléchi pour ces fêtes de fin d’année. L’Eclair de Génie nous réchauffe avec une série de Pompons et de Nains en chocolat et surtout avec le retour des Barlettes, nos chouchoutes, déclinées en mode automne-hiver. Fantaisies et délices pour nos papilles !
Barlettes, mes précieuses !
Aux côtés des nouveaux éclair qui ont fait leur entrée cet automne comme le délicieux Cassis / Marron (d’Aubenas) et la série Praliné (amandes, cacahouètes, pécans ou caramel noisettes) reviennent les Barlettes!
On les avait aimées comme des fous en été, on les aime avec autant d’intensité en hiver.
Et les “Oh la la !” sont faibles quand on goûte à la Barlette Vanille pécan (pur bonheur) et la Barlette Chocolat Brownie (pure sensation, sans agression).
P’tit Voyou @ Place de la Concorde
Les Nains en chocolat
Christophe Adam est facétieux. Après nous avoir amusé avec ses nanards de Pâques, voici le tour des 7 Nains. Exit Blanche Neige, ils assurent à eux seuls le show. Entre P’tit Malin, P’tit Ronchon,Ptit Chenapan, P’tit Coquin ou P’tit Con, vous avez le choix de la couleur et de la saveur (blanc, lait, noir)
Si vous vous envoyez un message fort en offrant un de ces bons hommes au chocolat, c’est le moment. Ils feront le boulot. Et puis comment leur résister ?
Rentrez couvert !
Le Slip Français n’a pas le monopole du pompon qu’il renouvelle chaque décembre à l’occasion du Téléthon. L’Eclair de Génie dégaine, cette année, une collection de bonnets en chocolat toussent plus mignons les uns que les autres.
Du montagnard, au marin (clin d’oeil à Jean Paul Gaultier ?), en passant par le Flocon (pour le champion des pistes) au Père Noël.
Autres nouveautés
Des palets de chocolat jouent la fantaisie avec leurs multiples couleurs. C’est tape l’oeil et terriblement bon et croquant.
Avez-vous remarquer que le packaging des boîtes à éclair, des tablettes de chocolat ou autres pâtes à tartiner avaient été revus ?
Leur design joue la pleine géométrie, les codes couleurs débridés.
Le coup de la trousse de voyage est judicieux pour un cadeau original avec la déclinaison : tube de caramel beurre salé, mini tablette chouchou caramel, noisettes caramélisées et pâte à tartiner praliné noisettes
L’Eclair de Génie prouve encore qu’il ne joue pas sur ses acquis et qu’il n’a pas encore fini de nous surprendre ! #joie
Saturday Night Fever le spectacle musical c’est l’événement du début d’année 2017 avec un couple glam à mort : Fauve Hautot et Nicolas Archambault. Avant la première qui aura lieu le 9 février au Palais des Sports à Paris, l’album tribute qui sort le 2 décembre va tous et toutes nous préparer à l’ambiance de la Fièvre du samedi soir made in France !
Dispositif original à partir de samedi pour découvrir les nouveaux extraits de l’album en exclu.
Nouveau extraits en exclu cette semaine
Du samedi 25 novembre au jeudi 1er décembre, les nouveaux titres de l’album du spectacle sont à découvrir en exclu via le compte Twitter officiel de Saturday Night Fever France : SatNightFeverFR !
Pendant 6 jours, un tweet envoyé en soirée autour de 19h-20h donnera accès pendant la nuit entière à une des 6 chansons reprises des tubes : How deep is your love, Into disco inferno, You should be dancing, More than a woman, Tragedy, Jive Talkin’.
Au petit matin, le tweet disparaitra, en attendant le prochain extrait.
Interaction avec #NightFever et #SNF
En plus des extraits, d’autres tweets vous dévoileront des anecdotes sur les artistes, les enregistrements des titres de l’album tribute du spectacle Saturday Night Fever.
Les followers et twittos pourront réagir, commenter tout au long de l’opé avec les hashtags officiels. Et gagner un album par tirage au sort parmi tous les tweets envoyés !
#CONCOURS
La crew #USofParis aime danser et chanter. Et aime surtout partager ses bons plans !
Surprise : nous avons 3 albums Saturday Night Fever à faire gagner !
Pour participer, c’est super simple. Il suffit de poster un commentaire enthousiaste et original en-dessous de ce billet.
Nous sélectionnerons les 3 qui nous auront le plus séduit ou amusé parmi tous les participants.
Nous leur enverrons un mail pour leur demander une adresse postale afin de leur envoyer leur lot.
Vous avez jusqu’au dimanche 4 décembre 2016 à 23h59 pour participer. Faites passer le mot en citant USofparis sur les réseaux pour augmenter vos chancesde gagner !
S’il faut mettre un seul site pour des cadeaux 100% originaux et conçus par des Frenchies inventifs, dans vos favoris, c’est Noël de la French Tech.
Au total : 200 start-ups sont réunies en collectif pour proposer aussi bien des jeux malins pour enfants, des coffrets ou kits pour les food addicts, que des accessoires mode, les dernières trouvailles pour tout geek qui se respecte ou le petit plus pour sa séance sport.
Voici notre sélection.
Marché de la French Tech C’est à l’Atelier Renault que le Noël de la French Tech 2016 a été lancé ce mardi de novembre. Les inventeurs, concepteurs, ont de quoi avoir le smile. Leurs créations attisent toutes les curiosités et les échanges sont aussi conviviaux que pertinents.
Et il y a vraiment de tout : le Bavoir pour ne pas mettre des poils de barbe de partout, la pince à jupe magnétique pour le vélo (Le Poupoupidou), le drone sans pilote (Squadrone System), la Maker Box pour fabriquer votre skateboard ou encore Inside3, le labyrinthe enfermé dans un cube (Doug Solutions). Complètement fou !
Du love !
L’amour dans ta box. Avec la LoveBox (créée par Marie et Jean) adorable petite boite en bois au coeur rouge pixel ou en papier qui tourne dès que votre amoureux-se vous envoie un message. Alors oui, il y a le SMS bourré de coeurs, le mail pour les longues déclarations, mais le message mystère à découvrir chez soi, en ouvrant la boite, une fois rentré(e) avouez que c’est : so romantic!
L’amour urbain avec le coffret Made in City. Pas d’abonnement, mais de belles découvertes et destinations à choisir. La première : Marseille nous a fait de l’oeil avec ses produits de région avec un VRAI savon de Marseille, une bière Part Faite et la sélection de bonnes adresses.
D’autres villes encore à aimer : Paris et Reims à (re)découvrir avec City in my Bagqui propose un parcours de visite original avec en bonus des petits cadeaux à chaque étape. On nous a interdit d’ouvrir un des petits paquets. Les surprises sont donc totales pour vous comme pour nous.
Du style en roulettes ou sweat Les patins à roulettes c’est toute notre jeunette. Et puis les rollers sont arrivés : l’ennui ! Flaneurz dégaine la bonne idée et customise votre paire d’Adidas ou de Nike pour les faire rouler et déclipser les patins à tout moment.
On en pince aussi grave pour l’initiative responsable de Leax qui crée des sweats et t-shirts pour homme et femme en fibres recyclées : Que la montagne est belle ! avec cette équipe lyonnaise qui fait appel au savoir-faire français : la confection se fait à Roubaix et Saint-Louange, la fabrication des boutons à Patornay et les étiquettes à Saint-Etienne. On aime !
Autre idée mode plutôt inattendue qui fait la part belle au liège avec la poche discrète sur chaussettes (pour une capote à portée de main) ou le noeud pap’ – confectionné par Geoffroy et sa maman dans le 95. Made by Mr and Mrs Cork.
Cadeaux pour enfants KoaKoa propose des box contenant 2 projets à monter par des petites paires de mains de 5 à 10 ans. L’enfant conçoit sa propre sonnette à engrenage, sa paire de lunettes pour voir comme un insecte ou un poisson ou encore sa lampe torche.
Parce que c’est tout récent pour nous, on est captivé par le livre-objet La méditation pour les tout-petits deZenfie avec des contes à lire, ses CD et l’appli.
L’objet geek, simple et futé : le bouton connecté Concierge !
Comme dans un hôtel, mais à installer chez vous pour un serive de conciergerie at home. Décalé à souhait mais utile pour ménage, commander son Uber ou la garde d’enfant.
Précommande sur Ulule jusqu’au 12 décembre.
L’une des inventions les plus #wtf : la Calchemise, la combinaison caleçon chemise pour homme. Certainement la création la plus improbable inventée depuis le cronut. On s’en remet toujours pas.
«On n’a jamais été aussi près de Noël !» C’est l’occasion parfaite pour faire un point sur des nouveautés, ou découvertes qui pourront agrémenter votre table pour les fêtes. Chocolats (Henri Le Roux), desserts (La Tropézienne, Häagen Dazs), charcuterie (Bellota-Bellota), assaisonnement (Olives&Co) et duo original (Delamotte et Honly) : vos menus font le plein de saveurs.
Calendrier de l’Avent pour chocolat addicts
On a tous le souvenir d’un calendrier de notre enfance.
Celui que l’on vous propose n’est peut-être pas fait pour vos enfants, si vous n’êtes pas partageur…
La Maison Henri Le Roux propose, cette année, son premier calendrier de l’Avent.
Chocolats, pralinés, caramels, mendiants et autres guimauves.
Il va être difficile de ne pas ouvrir toutes les cases en avance pour succomber avec malice à toutes les saveurs sucrées que nous réserve le maître chocolatier.
Recommandation : l’accrocher à plus d’1m50 de haut pour le laisser hors de portée des enfants ! 😉
Si vous êtes invités chez des amis dans les prochains jours, pensez au coffret Voyage au Japon.
A déguster avec le café, ou le thé, en fin de repas.
Mélange de la tradition chocolatière française et d’inspirations japonaises, Henri Le Roux joue avec panache des ganaches. Agrémentées de yuzu, menthe, d’infusion de thé ou encore en lactée à l’orge (très audacieux), les saveurs de ces coffrets vous feront voyager.
Pour l’apéro : un coffret dégustation de Pata Negra
Issu de la race Pata Negra, le Bellota est l’un des jambons les plus fins du monde. Forcément irrésistible !
Bellota-Bellota® propose des coffrets de dégustation à partir de 30€ les 100 g. Certes ce n’est pas donné mais pour un réveillon d’exception entre amis, en famille ou en couple, vous serez envoutés par le goût et la finesse de ce jambon espagnol.
Libre ensuite de choisir un jambon entier.
L’autre idée maligne de Bellota-Bellota® est un petit volcan en verre.
Réchauffées quelques instants au micro-ondes, les tranches de jambon délicatement posées dessus seront maintenues à température idéale pour les savourer.
L’olive en fête !
Avec Oliviers&Co, on a surtout flashé sur le design de la bouteille.
Cette édition limitée de 1 800 bouteilles reprend le packaging classique de la marque mais se pare d’un bleu canard original et de petites étoiles festives.
A l’intérieur, une huile d’olive qui est toujours de grande qualité, garantie 100% terroir sicilien, pour celle-ci.
Parfaite pour une cuisine de fête.
Le vacherin en tête
Le vacherin a parfois mauvaise réputation. Mais dès que vous ajoutez un biscuit à votre dessert glacé, il devient unique.
Pour 2016, Häagen-Dazs a fait appel au designer espagnol Jaime Hayonqui a conçu des têtes glacées.
La célèbre marque de glace se la joue donc low profil avec deux choix : blanche : Speculoos avec des glaces Salted Caramel et Vanilla. violette : parfums Almond Panna Cotta et Honey Walnut & Cream déposés sur une dacquoise aux calissons fleur d’oranger, agrémentés d’amandes torréfiées.
Avec ces deux créations, la marque américaine propose de finir son repas de fêtes avec une petite extravagance visuelle, limite #wtf et toujours des saveurs bien maîtrisées.
La bûche de Noël revisitée
Elle a ses pour, ses contre, ses amoureux et ceux qui la bannissent : la bûche de Noël !
Autant dire que pour nous, elle est une tradition familiale et surtout faîte maison.
Les réfractaires ne peuvent qu’être séduits par ces cinq déclinaisons pâtissières de la Tarte Tropézienne : Marron de Collobrières (avec un confit de cassis et de poires poêlées sur un sablé breton), Croustillante (Chocolat noir du Vietnam 73% sur une feuilletine pralinée), Castel (dacquoise noisette, sablé breton avec du caramel beurre salé), Pomme-figue (réhaussée d’une crème mascarpone citronnée).
Toutes aussi légères les unes que les autres. Ces créations offrent le petit plus gustatif que l’on aime tant dans la tarte tropézienne traditionnelle. Une très belle surprise qui ne grèvera pas le budget : à partir de 16 € pour 4 personnes.
La bûche version Tarte Tropézienne a de quoi vous faire renouer avec ce dessert de Noël (disponible à partir du 16 décembre 2016).
Duo d’enfer : champagne et miel !
Il y a quelques mois, USofParis vous avait fait découvrir les champagnes* Delamotteet leurs divers crus.
Pour les fêtes, la marque s’associe à une autre produit d’exception : le miel Honly.
Cette alliance se décline en coffrets gourmands qui vous feront osciller entre dessert et petit-dej de lendemain de fête.
Des bulles pour la nuit, du miel pour le réveil !
*L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération
En face du Palais Garnier, un sapin lumineux vient éclairer la nuit parisienne. Le concept store Orange Opéra – une première en France – vient de prendre ses quartiers à quelques pas d’un autre store (américain) bien décidé à offrir un espace de découvertes, conseils, jeux, détentes à tout geek ou toute famille connectée.
Un #BigNoel est à prévoir à la simple vue des produits proposées.
Design et espace
Dès l’entrée dans ce smart store, le design réchauffe. Il n’est pas clinique comme l’Apple Store voisin. Le design n’est pas venu pulvériser l’architecture haussmannienne. Bien au contraire, le grand escalier au centre de l’immeuble est resté intact, ainsi que d’autres éléments à découvrir sur place.
Ambiance boutique au rez-chaussée, comme à la maison dans les étages avec salon, grande table familiale, cuisine ouverte.
Les 2 000 m2 sont entièrement dédiés aux inventions du XXIe siècle.
Expériences
Orange fait le choix de réinventer la relation client. D’accompagner le visiteur et de lui faire découvrir de nouveaux usages, les derniers objets connectés ou autres accessoires. Les expériences sont multiples : son, image, connecté, mobilité. Et l’immersif est à porter de main.
Cette 110e boutique est autant un symbole qu’un défi pour l’équipe qui a la charge de créer ce nouveau genre de service pour être au plus proche des attentes des clients sans cesse sollicités et qui ne savent plus quelle est la propriété : un four intelligent, la dernière montre connectée ou smartphone nouveau partenaire de vie.
Personal shopper pour Noël Les offres duBig Noël Orangevont combler autant le geek que celles et ceux en manque d’inspiration. On a du petit prix (-30 euros), des offres mobiles, fibre, Ultra HD, bouquets de chaines qui a de quoi vraiment séduire.
Sous notre sapin, notre coeur bat déjà pour le téléphone fixe mais pas boulet. Rétro et malin, il est la touche à la fois design et ludique qui peut vous changer l’appart.
Autre petit plaisir l’Orange VR 1 compatible avec une large de téléphones (pas comme certains totalement exclusifs à un type d’appareils) : iOs et Android pour une expérience 360 degrés. De nouveaux contenus sont à découvrir dans les prochaines semaines.
Dan Carter, rugbyman
Une inauguration remarquée Sportifs de haut niveau en pleine force de l’âge (Dan Carter) ou retraité (Sébastien Chabal), comédienne à succès (Valérie Bonnetton), réalisatrice (Danièle Thomson), le couple glamour et poilu du Quotidien (Eric et Quentin) étaient quelques-uns des VIP présents à la soirée d’ouverture en novembre.
Entre autres attractions, la table de mix avec ses balles géantes mobiles, sorte de flocons de neige offrait un beau terrain de jeu au DJ Westerly.
Les Schtroumpfs, le spectacle musical joyeux pour petits et grands à l’affiche des Folies Bergère. Reprise dès le 17 décembre et en tournée en France en 2017.
Le spectacle des Schtroumpfs nous plonge immédiatement dans l’univers des petites créatures bleues créées en 1958 par Peyo, auteur belge francophone de bande dessinée.
Dès leur entrée sur scène, ils fredonnent la chanson qui a bercée notre enfance Lala la schtroumpf lala et qui restera à jamais gravée en nos mémoires.
Il s’agit du moment le plus attendu pour nos Schtroumpfs : l’arrivée du printemps célébré par la bienveillante Dame Nature. Le village est en effervescence, toute la tribu s’attèle à le rendre le plus merveilleux possible.
Mais c’est sans compter sur l’affreux sorcier Gargamel et le pire ennemi des schtroumpfs ! Accompagné par son chat Azraël, il va user de tous les subterfuges pour anéantir l’arrivée du Printemps par Dame Nature. Va-t-il enfin arriver à ses fins ? C’est ce que nous raconte ce spectacle musical plein de rebondissements.
Le spectacle est énergique, composé à la fois de chorégraphies dynamiques, de chansons entrainantes et de moments interactifs avec le public. La représentation des schtroumpfs est très réussie, les décors sont fidèles à ceux de la bande dessinée. Ça chante, ça danse, pour le plus grand bonheur des petits et des grands.
L’histoire est jolie, accessible aux enfants et également porteuse d’un message écologique sur le respect de l’environnement. Les personnages sont tous attachants avec une mention spéciale pour le schtroumpf grognon.
Le spectacle musical des Schtroumpfs est un spectacle joyeux, frais et pêchu. Les enfants sont ravis, et comme ma fille, ils ont tous adoré détester Gargamel.
Retour aux sources où découverte pour les enfants, Les Schtroumpfs, le spectacle musical !, permet à toute famille de passer un bon moment.
Frances est une des artistes anglaises émergentes les plus talentueuses de 2016. Ses différents EP ont fait un carton aux USA et outre-manche. Son premier album intitulé Things I’ve never said sortira en mars 2017.
Elle sillonne déjà les scènes de Coachella au Café de la Danse (le 18 avril prochain). Nous l’avons rencontrée pour revenir sur son année riche en émotions qui vient de s’écouler et celle pleine de promesses à venir.
FRANCES / INTERVIEW SELFIE
UsofParis : Ton premier album va sortir en mars, il s’appelle Things I’ve Never Said. Pourquoi ne les as-tu pas dites avant ? Frances : Je ne sais pas. Je pense qu’en quelque sorte c’est ce que j’ai élaboré pendant que j’écrivais l’album. Et c’est ce qui est venu avec le titre. J’étais en train d’écrire les chansons et je me disais : « Pourquoi est-ce la première fois que je dis ces choses ? » Tu peux trouver les paroles pour ce que tu as envie de dire dans une chanson mais peut-être pas les mots pour le dire en personne.
Tu as commencé à composer à 12-13 ans, est-ce que sur ton album il y a des chansons de cette période ?
Non, je pense que la plus vieille j’avais à peu près 18 ans.
C’est laquelle ?
Il y en a 2. Une qui s’appelle Drifting et il y a Sublime que j’ai écrite lorsque j’étais à l’université. Je devais avoir 18-19 ans.
Qu’est-ce qui t’inspire pour écrire ?
Tout, tout ce que je vois autour de moi, les gens que je rencontre, évidemment mes expériences personnelles. Peut-être aussi, quand une personne qui est proche de moi passe par une épreuve ou une expérience, je peux écrire une chanson à propos de ça. Mais peu importe ce que c’est, je dois avoir un rapport avec, il doit y avoir un sens pour moi.
As-tu des influences ?
Oui, beaucoup. Tout ce que tu entends. Tout ce que j’entends fini là dedans, quelque part. Mais j’adore Radiohead, Björk, Coldplay. Et puis en plus jeune Ed Sheeran. Il est bon.
Une de mes chansons préférées de ton EP est Don’t worry about me, peux-tu nous en dire plus à propos de ce titre ?
Oh, merci. C’était génial parce que quand je l’ai écrite, je n’ai pas vraiment pensé à l’enregistrer. Je pensais qu’elle était un peu étrange parce qu’elle commence a capella. Il n’y avait pas vraiment de structure, c’était presque comme un hymne. Et puis je l’ai écouté plusieurs fois et je me suis dit : « Oh c’est vraiment plus logique » et je l’ai joué à d’autres personnes qui l’ont adorée.
Je l’ai écrite exactement comme je voulais l’écrire puisque je ne pensais pas que quelqu’un d’autre l’entendrait. Donc ça m’a appris que je devrais juste faire ce que je veux faire et ne pas trop penser à ce que les autres attendent.
Tu as l’habitude de ne jouer qu’avec ton piano, est-ce différent de jouer avec tout un groupe sur scène ?
Oh non ! J’adore ça ! J’aime vraiment jouer toute seule aussi parce que c’est intime, mais quand tu as pleins d’instruments derrière toi cela ajoute une profondeur supplémentaire. Et maintenant ce que je fais c’est jouer toute seule en imaginant ce que mes musiciens feraient.
Tu étais sur la scène du Coachella et de SXSW, de gros festivals au monde. N’est-ce pas fou pour une jeune fille ? Oui, surtout d’être en Amérique, je n’y étais jamais allée avant. Ma première fois c’était pour faire la première partie de James Bay sur sa tournée : « C’est si bizarre ! ». Et j’ai fait mon propre concert à New York, à L.A. et puis je suis allée en Australie et en Nouvelle Zélande, de l’autre côté du monde.
Ce qui est vraiment génial parce que je ne pense pas que j’aurais pu aller dans ces pays si je n’avais pas fait de musique.
Coachella est très spécial…
C’est un peu bizarre, parce que tu es au milieu du désert, dans une sorte de terrain de polo bien entretenu et il y a beaucoup de célébrités, des Instagramers.
Je viens de penser que c’était assez hilarant, mais c’était très beau, c’était très joli et la musique étonnante. Et en raison des lois aux USA, tu ne peux pas tenir une boisson et regarder un concert. Ce qui est cool parce que cela veut dire que la foule n’est pas crazy. Les festivaliers ne se dépoilent pas et n’essayent de sauter sur toi. Tout le monde est vraiment là pour regarder les concerts.
Une rencontre, quelque chose d’inhabituel à Coachella ?
Je regardais Disclosure et puis cette femme est entrée… les cheveux roses dans une sorte de combinaison avec des nuages et je me suis dit : « Humm, drôle de costume! ». Et puis j’ai levé les yeux et c’était Katy Perry : « Oh ! Il n’y a vraiment qu’elle qui peut mettre ça ». Elle dansait avec un gars, je me disais : « je me demande qui c’est ». Il avait un chapeau, c’était Orlando Bloom. Et j’étais là, à regarder Disclosure. Ensuite The Weeknd est entré avec 8 personnes de son équipe, c’était fou. Apparemment une Kardashian est passée dans la loge aussi. Donc c‘était un endroit assez étrange, mais cool.
Tu as fait la première partie de James Bay lors de sa tournée aux USA. Est-ce qu’il t’a donné des conseils ?
Oui, il m’a dit : « Profite de tout ! », en rajoutant : « Tu sais ça va devenir vraiment intense, et vraiment fou. Donc tu dois t’assurer de profiter de chaque instant » et aussi « Ne le prends pas trop au sérieux, rappelle-toi pourquoi tu le fais. » C’était très gentil.
Maintenant, imagine que tu peux chanter avec la personne que tu veux. Qui choisirais-tu ?
Probablement Ed Sheeran. Seulement parce qu’il joue de la guitare et je pense que nos voix iraient plutôt bien ensemble. J’image ça.
Est-ce qu’il le sait ?
Non, il ne le sait pas. Il n’y a pas eu assez d’interviews….
Il va savoir maintenant !
Ce serait plutôt cool.
Hier, pendant ton set, tu as dit que tu aimerais vivre à Paris. Pourquoi ?
J’adore ! Les bâtiments ! Ils ne ressemblent à nulle part ailleurs, je pense. C’est si étonnant. Et je pense que Paris est si vivante, tous les jours de la semaine.
Si Paris était une de tes chansons, laquelle serait-elle ?
Oh, c’est une très bonne question ! Probablement l’une de celle qui plus en uptempo … peut-être Under Our Feet.
Quels sont tes projets pour l’année prochaine avec cet album ?
Je pense juste que je vais être en tournée, ce qui va être génial. Toutes les chansons vont vraiment prendre vie.
Seule ou avec le groupe ?
Avec le groupe. Probablement avec le batteur aussi. Et peut-être quelques cordes en plus. Donc oui, je vais faire beaucoup de cela. Et je vais continuer, je pense, l’écriture. J’écris tout le temps … Je vais probablement terminer le deuxième album avant de terminer la tournée pour le premier.
Ton dernier coup de cœur musical ?
Ce serait probablement un coup de cœur pour une fille… comme Beyoncé, son dernier album est incroyable. Le meilleur !
Quel était le dernier artiste que tu as vu sur scène ? Birdy. J’étais à Londres vendredi. Tellement bon. Elle est en tournée.
As-tu un bon spot à Londres à partager avec nous, un restaurant ?
Un bon restaurant à Londres, il s’appelle The Pollen Street Social, c’est incroyable. Ce n’est pas trop cher, mais c’est vraiment bien. Et il y a une cheminée.
Une salle de concert à London?
Là où j’ai vu Birdy, le Hammersmith Apollo, c’est incroyable. Brixton Academy, probablement le meilleur, je pense. Les petites sont très cool comme Koko, qui a seulement 1 500 places. C’est une sorte de vieux théâtre avec des rideaux rouges et des tapis rouges.
Quel genre de relation entretiens-tu avec tes premiers fans ?
Certains sont là depuis le tout début,et ils m’ont suivi. Il est encore très tôt, ils sont vraiment patients et si adorables.
Dernier spectacle flamboyant avant fermeture pour travaux du Théâtre du Châtelet ! 42nd Street, palpitante, joyeuse et fougueuse comédie musicale, est calibrée pour plus d’un mois de vagues d’applaudissements. Claquettes, paillettes, romance, American dream : votre billet pour Broadway est à portée de main jusqu’au 8 janvier 2017.
42nd Street en claquettes La comédie musicale est un chef d’œuvre du genre, succès à Broadway et à l’affiche à Londres en 2017.
Le Théâtre du Châtelet offre à ses spectateurs une petite pépite qui commence avec un numéro de claquettes grandiose pour une entrée dans le show immédiat. 42nd Streetc’est New York, Broadway, Times Square. La rue des succès mais aussi d’échecs cuisants. La rue des miracles et des révélations scéniques.
Que l’on soit producteur, metteur en scène, artiste, chaque soir on (re)joue sa carrière sur les planches.
1933, un producteur mise tout pour monter le spectacle Pretty Lady. Il se trouve contraint de collaborer avec la star sur le déclin : Dorothy Brock, chouchoute d’un magnat des voitures qui finance une partie de cette production.
Dans ce cocktail détonant, l’arrivée d’une jeune première, Peggy Sawyer, très vite chaperonnée par le ténor Billy Lawlor va pimenter l’ensemble. Sans compter la présence du jeune amant de la star et d’un couple d’auteurs haut en couleur.
Le récit est pétillant à souhait, les personnages soigneusement croqués et le rythme dense. Le décor est une scène de coulisses avec escaliers métalliques, loges, éclairages. Ça bouillonne, ça vibre dans tous les recoins comme à New York.
Distribution magistrale Pour cette nouvelle production estampillée Théâtre du Châtelet, on retrouve le beau brun Dan Burton qui avait excellé dans Singin’ in the Rain, sur cette même scène, la saison dernière. Il chante finalement moins qu’il ne danse – ses numéros de claquettes sont excellents. Monique Young qui campe Peggy Sawyer, cette jeune ingénue venue d’Allentown, est bluffante. Douée aussi bien pour jouer la maladresse du jeune âge qu’incarner la révélation que toute la troupe attendait.
À leurs côtés, il faut compter sur le coffre et la présence de la tonitruante et attachante Jennie Dale dans le rôle de Meggie Jones, la co-auteur de Pretty Lady. Elle dégage une vraie intensité aussi bien dans le registre comique que dans la danse.
42nd Street c’est de la fantaisie à tous les étages du Châtelet, qui déborde même sur la façade avec ce néon lumineux et clignotant. So Broadway!
Un casting de choix.
Une bourrasque de fraîcheur.
Des numéros de danse inouïs.
Une réussite !
Equipe artistique
Musique : Harry Warren
Lyrics : Al Dubin
Livret (d’après le roman de Bradford Ropes) : Michael Stewart et Mark Bramble
Mise en scène et chorégraphie originales : Gower Champion
Production originale à Broadway : David Merrick
Adaptation musicale, arrangements et orchestrations supplémentaires : Donald Johnston
Mise en scène et chorégraphie : Stephen Mear
Direction musicale : Gareth Valentine
Décors et costumes : Peter McKintosh
Lumières : Chris Davey
Distribution
Julian Marsh : Alexander Hanson
Dorothy Brock : Ria Jones
Peggy Sawyer : Monique Young
Billy Lawlor : Dan Burton
Maggie Jones : Jennie Dale
Bert Barry : Carl Sanderson
Ann Reilly : Emma Kate Nelson
Andy Lee : Stephane Anelli
Pat Denning : Matthew McKenna
Abner Dillon : Teddy Kempner
Phyllis Dale : Chantel Bellew
Lorraine Flemming : Charlie Allen
Diane Lorimer : Emily Goodenough
Ethel : Jessica Keable
Oscar : Barnaby Thompson
Mac, Doctor, Thug 1 : Scott Emerson