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PLEXUS pièce spatiale & sublime d’Aurélien Bory au Théâtre des Abbesses

Photo by Aglae Bory

D’une beauté !!!!
Bouche bée, émerveillée, spectatrice connectée aux mouvements de l’espace, de l’être et des ondes sonores.
Un spectacle qui a eu pour effet tel un tambour ou un gong, d’éveiller toutes mes cordes sensibles.
Une merveille pour nos 5 sens…
Une ouverture pour nos sens extrasensoriels !

Aurélien Bory, l’auteur, metteur en scène et scénographe « file » le portrait de Kaori Ito, la danseuse japonaise dans Plexus au Théâtre des Abbesses.

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Au commencement, un voile noir immense, léger et souple et une lumière. Le « fœtus – corps » Kaori. Le voile et le corps de Kaori s’entremêlent, se meuvent ensemble. C’est sans doute ainsi qu’Einstein avait imaginé l’Espace et c’est ainsi qu’Aurélien Bory imagine la matrice utérine. La jeune femme saisit un cordon (tel un cordon ombilical) et le place sur son cœur.
La magie s’opère.
Ses battements de cœur nous invitent à se connecter aux nôtres.
Nous sommes reliés à elle ! Nous allons vibrer avec elle tout au long de cette invitation au voyage de l’être. 

Photo by Mario Del Curto

« Je suis parti de Kaori, de ce que je percevais de sa problématique singulière, pour définir un espace qui la matérialise et permette de la révéler. Lors de nos séances de recherche, j’avais fait fabriquer une marionnette à fil grandeur nature, à l’effigie de Kaori, très ressemblante. “Voici ton professeur de danse“, lui avais-je dit. » (extrait de l’entretien d’Aurélien Bory réalisé par Gwénola David)

Aurélien Bory a créé un espace : un cube à fils. Kaori Ito va s’y mouvoir (sur le sol, sur les cordes, en vol), s’y bercer, tenter d’y échapper, mais en vain …
Et c’est alors que me vient à l’esprit une pensée…
Et si le cube était le corps de Kaori et que la danseuse était juste la matérialisation de son âme, de son esprit !

Photo by Aglaé Bory

« De ce travail, je n’ai gardé que les fils en les déployant dans tout l’espace. La marionnette est restée dans le corps de Kaori. Cet espace vibratoire, très dense, entrave le mouvement. Il agit sur lui et inversement. Je cherche à voir ce qui émerge de la danse de Kaori, comment elle sublime le dépassement de l’obstacle. » (extrait de l’entretien d’Aurélien Bory réalisé par Gwénola David)

Photo by Mario Del Curto

Kaori Ito signe la chorégraphie de son être.

Son corps exprime sa naissance, sa vie, sa mort et son esprit ascensionné avec poésie, force et douceur. 

« Peu à peu ont surgi des motifs récurrents liés au Japon, notamment la relation aux ancêtres, la présence des morts, l’éphémère de la beauté, « l’impertinence » du monde tangible. Kaori est encore travaillée par l’histoire, la philosophie et les mythes fondateurs de son pays. » (extrait de l’entretien d’Aurélien Bory réalisé par Gwénola David)

La musique, la lumière, le décor participent dans une symbiose parfaite à nous éclairer sur « un » sens de « l’être ». 

Il est capable de créer la beauté !

« Faire un portrait, c’est révéler l’invisible dans la lumière du visible. La danse m’offre un chemin car elle donne accès au monde intérieur d’une personne. Elle est reliée au plus intime de l’être, en même temps qu’elle est façonnée, inévitablement, (…) par l’imaginaire culturel. » Aurélien Bory

Au fond, et si nous étions
mués par des fils,
et si nous avions
pour obstacles d’autres fils,
et si nous étions
que des fils ?
Pour
Aurélien
et Kaori,
nous sommes autre chose !
Nous avons le don
de créer du merveilleux
et ça, aucun fil n’y résiste. 

Etre en bouche bée.

By Georgia B

Post Scriptum :
Plexus est un mot générique pour exprimer l’idée d’un réseau de vaisseaux ou de nerfs. D’origine latine « plectere » : entrelacer, tresser, il s’inspire du grec ancien « πλέκω » tricoter… L’Odyssée n’a-t-elle pas commencé par une araignée qui tisse sa toile (les fils de l’humanité) sur un métier à tisser antique ? Une observatrice s’inspire de son ouvrage pour tisser à son tour une voile en attendant le retour d’Ulysse et un autre voile en attendant la renaissance d’Aurélien Bory et de Kaori Ito.

PLEXUS (reprise)

conception, scénographie & mise en scène : Aurélien BoryCompagnie 111
chorégraphie : Kaori Ito
composition musicale : Joan Cambon

du 26 décembre 2014 au 4 janvier 2015
au Théâtre des Abbesses
31, rue des Abbesses
75018 Paris

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Nouveau : OtheatrO, le théâtre à la carte et en illimité à Paris

Depuis bientôt 15 ans, vous pouvez enchaîner les séances cinéma à volonté.
Il manquait une offre illimitée pour les férus de théâtre.
OtheatrO.com, une start-up bourrée de bonnes idées et passionnée, a trouvé l’offre qui va faire des heureux.

Danse, humour, comédie, magie, classique, one man show, jeunesse… les spectacles proposés par le site sont nombreux, dans tous les styles et dans plus de 30 lieux : la Comédie de Paris, le Ciné 13 Théâtre, le théâtre de Dix Heures,  le Petit Palais des Glaces, les Feux de la Rampe, la Comédie des Boulevards. Des théâtres que nous fréquentons régulièrement chez UsofParis.

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Toutes ces salles ont accueilli les débuts d’artistes qui explosent actuellement : Jeff Panacloc, Jarry, Marc-Antoine Lebret, La Troupe à Palmade, Jérôme Commandeur, Virginie Hocq, Constance, Stéphane Guillon et beaucoup, beaucoup d’autres talents.
C’est dire qu’elles sont des vraies mines pour tout chasseur de nouveaux talents de la scène, avant son éclosion au Casino de Paris ou à l’Olympia.

Microsoft Word - Communiqué de presse - Otheatro.com, accedez a
Pionnier dans le secteur, ce site conçu par Benjamin et Alexandre offre plusieurs formules : les abonnements (1 mois ou 6 mois) ou les cartes théâtre (5 ou 10 spectacles).

Abonnements mensuels
Avec cette formule vous accédez à tous les spectacles disponibles sur le site de manière illimitée, quand vous le désirez, pendant toute la durée  de votre abonnement : version sans engagement pour 1 mois à 40 €, ou pour 6 mois à 25 € par mois.

Les plus : des tarifs préférentiels pour vos proches, des points fidélité pour gagner des places, ou des moments privilégiés dans les coulisses des spectacles. Otheatro vous ouvre aussi les portes des théâtres pour assister aux répétitions générales. So VIP !

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Les  cartes théâtre
Sur le même principe que les cartes de cinéma, la carte 5 ou 10 spectacles (respectivement  à 45 € et 80 €) donnent accès à des places à utiliser quand vous voulez pendant 1 an.
Le plus : bénéficiez des mêmes avantages que les abonnés !

Et même si vous n’êtes pas abonné, Otheatro permet d’acheter des places pour les spectacles présents sur son site : une alternative à BilletReduc et autre Ticketac, avec toujours un petit plus service : de nombreuses vidéos visionnables avec des extraits des spectacles pour vous aider à choisir.

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Premier réseau du genre, dans le monde un peu frileux du théâtre OtheatO.com ce sont des offres 100% en ligne et un large choix parmi plus de 150 spectacles par mois.
Si vous êtes passionné de découvertes, de jeunes talents, et avide de spectacles vivants, comme nous : cette carte est faite pour vous. En attendant, et cela ne devrait pas tarder, que d’autres salles rejoignent ce club.

Au fait cette solution de théâtre 2.0 ne pourrait-elle être une bonne idée cadeau pour Noël à mettre sous le sapin ? D’autant que vous avez droit à 2 petits cadeaux en plus à découvrir sur le site…

Plus d’infos sur OtheatrO.com, Twitter et Facebook
Uniquement disponible sur Paris pour le moment

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NUITS BLANCHES : Nathalie Richard sans retenue

L’intérieur de l’homme est un cadenas dont la langue est la clef”
Ce proverbe malien semble pouvoir se rapporter au propos de la pièce Nuits Blanches adaptée d’une nouvelle de l’auteur japonais Haruki Murakami et actuellement à l’affiche du Théâtre de l’Oeuvre à Paris.

Affiches Nuits Blanches pièce de Haruki Murakami adaptation nouvelle sommeil avec Nathalie Richard mise en scène Hervé Falloux au Théâtre de l oeuvre paris

La pièce suit le monologue d’une femme, effacée, préférant mettre en avant son mari plutôt que sa propre personnalité et dont le quotidien semble réglé à merveille. La mécanique fonctionne jusqu’à ce qu’une série de nuits sans sommeil ne vienne la tirer de sa léthargie et la révèle à elle-même. Pour porter cette femme aux contours incertains, Nathalie Richard opère une performance rare, fait de soubresauts de jeu impressionnants, entre égarement et illusions.

Rencontrée dans les coulisses quelques minutes après la représentation de ce dimanche, la comédienne avoue, avec le sourire, ne pas forcément avoir envie de parler en sortant de scène, surtout après avoir passé 1h10 sans interruption, en solo, en prise directe avec un texte qui ne laisse aucun répit aux spectateurs.

Photo by Dunarra Meas
Photo by Dunarra Meas

Nathalie Richard partage avec nous ce qui l’a attiré dans ce texte – nouvelle avant de devenir pièce de théâtre : “je connaissais quelques textes de Murakami. Ce qui m’intéresse c’est son intérêt pour la littérature, il recycle pas mal de grands auteurs dans ses histoires. Sa particularité étant de penser qu’il y a plusieurs mondes concomitants. L’art pourrait permettre de passer d’un monde imaginaire puis à un autre, et aussi à la réalité. C’est ce goût pour une forte croyance en la nécessité de l’imagination comme support de liberté et la structure de l’écriture qui m’intéressaient avant tout.”

La comédienne nous apporte aussi une autre lecture qui nous avait échappée tout juste sortis de la salle : “Murakami le dit mais pas vraiment, il y’a quelque chose d’assez politique dans cette question de double monde. La question des secousses, des tremblements subsidiaires renvoient à une image de personnes coincées dans un étau, de la société japonaise.”

“Un paysage de géographie intérieure”
La performance de la comédienne tend à incarner une femme dont la description dans la nouvelle est très sommaire. Elle s’appelle “elle”, et renvoie pour l’interprète à Kafka : “le portrait est discontinu et éclaté, je pense percevoir et voir cette femme comme le spectateur. C’est quelque chose de proche et de lointain à la fois. Je ne pourrais pas la dessiner non plus ou alors de l’intérieur.”
Avant de rajouter : “je pensais à la nouvelle de Ray Bradbury – L’homme illustré – qui fait évoluer un homme tatoué. Dans ce texte de Murakami, les tatouages seraient à l’intérieur du personnage.”

La difficulté de la mise en scène opérée par Hervé Falloux, complice de longue date de la comédienne, et qui signe aussi l’adaptation, était de mettre le récit au présent alors que dans la nouvelle tout est passé simple et imparfait. Ce texte porte en lui la question d’une narration spécifique qui n’a pas forcément été conçue pour le théâtre.
La volonté du metteur en scène était de rechercher la sensation, “l’émotion de la sensation” tout en appréciant l’aspect surnaturel de ce texte qui faisait aussi écho en lui.

Photo by Dunnara Meas

Quand nous abordons la perspective de passer plus de deux mois avec ce texte, Nathalie Richard répond sans détour : “je ne sais pas si c’est un texte avec lequel il faut être à l’aise. Tous les soirs ce n’est pas la même chose. Je ne dois, en tout cas, pas m’installer. Si on s’installe, il y a le risque que ça mollisse. Il n’est pas non plus possible d’en faire trop. L’équilibre est assez instable et il faut l’accepter. Tout est double aussi dans la perception de cette histoire.”

La rencontre se termine avec une évocation musicale, élément dont l’absence dans la mise en scène d’Hervé Falloux ne fait finalement pas défaut : “je pense au jazz, à cette liberté du jazz quand je suis sur scène. Cet aspect mouvant de la pièce ne doit pas rester enfermé.”

NUITS BLANCHES
d’après la nouvelle Sommeil
de Haruki Murakami

avec Nathalie Richard
adaptation et mise en scène : Hervé Falloux
texte français : Corinne Atlan
décor et costume : Jean-Michel Adam
lumière : Philippe Sazerat

Au Théâtre de l’Oeuvre
55, rue de Clichy
75009 PARIS

du 28 novembre au 25 janvier 2015

du mardi au vendredi 19h
matinées le samedi et dimanche à 18h

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KINSHIP avec Isabelle Adjani – une révélation nommée Vittoria Scognamiglio

Isabelle Adjani revient sur scène après 8 années d’absence et avec un texte inédit de l’auteure américaine Carey Perloff. Deux défections – la comédienne espagnole Carmen Maura et le metteur en scène Julien Collet Vlaneck – la première de la pièce repoussée de plusieurs jours et un jeune premier, Niels Schneider, donnant la réplique à l’icône du cinéma.
Et si la révélation de cette création Kinship, au Théâtre de Paris, n’était pas là où on l’attendait ?

Affiche Kinship pièce Carey Perloff avec Isabelle Adjani Vittoria Scognamiglio Niels Schneider Théâtre de Paris mise en scène Dominique Borg photo by United States of Paris blog
Nous avons hésité avant de partager notre avis sur cette pièce. Sans doute parce que notre attente n’était pas dissimulée. L’attente de retrouver l’interprète inoubliable de La Dame aux Camélias – nous sommes encore hantés par son dernier souffle de vie sur la scène du Théâtre Marigny – et de La Dernière Nuit de Marie Stuart. Deux destins historiques et tragiques pour sublimer l’incarnation de l’une des plus grandes actrices.
Sans doute parce que la déception n’est pas totalement digérée, plusieurs jours après notre venue.

Autant dire sans attendre que le choix de cette pièce Kinship nous laisse encore perplexe. Si Adjani voulait tant jouer Phèdre pourquoi n’avoir pas céder à l’appel du texte originel de Racine ? Plutôt que se restreindre à une sorte d’adaptation diluée de sa flamme et sordidement contemporaine.
La pièce met du temps à démarrer, les séquences sont très courtes et entrecoupées de changements d’accessoires – pas de décor, nous avons droit à un écran géant en fond de scène – un peu laborieux, longs et qui empêchent de rentrer pleinement dans le récit. La mise en scène n’est pas audacieuse.

Isabelle Adjani dissimule sa silhouette dans des vêtements trop amples, n’hésite pas le port de lunettes de vue et de soleil – pour quelles raisons ? Seuls ses pieds auraient droit d’apparaitre nus et sans fard. Avec cette obsession du contrôle de son image, la grande Adjani n’émeut plus, ne trompe plus le public qui serait capable de tout lui passer si elle osait un réel lâcher prise face à l’âge qu’elle semble vivre comme un malheur.
Pourrait-elle seulement prendre un jour exemple sur une Jeanne Moreau, une Danièle Darrieux, sublimes à tous les âges qu’elles ont traversés ?

Avec cette pièce, la belle Isabelle ne peut malheureusement plus être un exemple de jeu pour les apprentis comédiens qui se préparent à l’entrée du Conservatoire. 

Face à elle, Niels Schneider l’interprète de Xavier Dolan – Les Amours Imaginaires – semble avoir perdu de son charisme en ôtant son aura cinématographique. Son interprétation est juste mais il ne donnera pas plus, le rôle étant finalement trop étroit pour lui.

Niels Schneider Isabelle Adjani Vittoria Scognamiglio salut pièce Kinship de Carey Perloff Théâtre de Paris mise en scène Dominique Borg photo blog united states of paris

La vraie surprise, vous l’aurez devinée, est la comédienne d’origine italienne Vittoria Scognamiglio. Celle que l’on n’attendait pas et qui doit prouver chaque soir sa légitimé à avoir repris au vol un rôle – qui avait été répété par une autre avant elle – est d’une incroyable justesse.
C’est à se demander si Isabelle Ajani n’aurait pas fait une erreur de personnage. Et si au lieu de jouer une nouvelle fois l’amante folle de passion, irraisonnable et désespérée, elle n’aurait pas dû choisir d’interprété la mère de Niels.
L’auteure Carey Perloff n’aurait-elle finalement pas réalisé tout simplement avec Kinship le fascinant portrait d’une mère aimante et effacée ? Si telle était sa volonté, alors la pièce a un réel attrait.

Vittoria Scognamiglio est à elle seule le meilleur des arguments pour motiver tous ceux et toutes celles qui ont réservé leurs billets et qui pourraient s’en vouloir de les avoir chèrement payé, après avoir lu plusieurs critiques mitigées ou vu passé un tweet virulent.

KINSHIP
de Carey Perloff
texte français : Séverine Magois
mise en scène : Dominique Borg 

avec Isabelle ADJANI
Vittoria SCOGNAMIGLIO
Niels SCHNEIDER

du mardi au samedi à 21h
matinées le samedi à 16h et dimanche à 15h30

au Théâtre de Paris
15 rue Blanche
75009 PARIS

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Concours TETES DE LARD au Café de la Gare : des invitations à gagner !

Ici même, il y a quelques semaines, nous vous avons dit tout le bien que nous pensions de la pièce Têtes de Lard qui se joue au Café de la Gare depuis la rentrée, du vendredi au mardi.

Cette comédie n’est pas du genre à laisser indifférent les spectateurs. Le récit, le jeu des comédiens et l’ambiance sonore de cette pièce en font une des petites pépites théâtrales qu’il ne faut pas laisser passer ; sous peine d’avoir de sérieux regrets.

Affiche pièce théâtre Têtes de Lard de Bernard Fructus Café de la Gare Paris comédie humour

Et nous ne sommes pas les seuls à avoir aimé ! Jugez plutôt les bonnes critiques que cette pièce a récolté en un mois de représentations :

PARISCOPE
« La sincérité des sentiments accompagne subtilement des dialogues mordants. »

RAPPELS de novembre – décembre
” Du pur théâtre, porté par des comédiens qui frappent par leur capacité à incarner un univers et à basculer d’un registre à l’autre, de l’absurde à la noirceur.”
” Une farce savoureuse.”


THÉÂTRES.COM
« Un bijou d’humour noir (…) Une comédie insolite à découvrir de toute urgence ! »

ARTISTIK REZO
« Du jamais vu ! Sueur garantie et exercice de composition réussi. »

SORTIES A PARIS
« Cette pièce est étonnante, surprenante, riche d émotions. (…)
Un drame familial avec un véritable accent du terroir. »

Actunews
“Une tragi-comédie énergique”

Timothée Manesse comédien pièce théâtre Têtes de Lard Café de la Gare Paris comédie humour photo by Katia Maeder

CONCOURS : dernières invits à gagner sur le blog!!

Vous avez envie de rencontrer Raoul, le cochon, et ses partenaires de jeu comme ce brun ténébreux bien équipé (ci-dessus) ? Nous vous faisons offrons des invitations pour 2 pour le vendredi 5 décembre à 22h.

Pour gagner vos places, rien de plus simple envoyez-nous un mail avec vos nom et prénom (avec en objet Têtes de Lard) à : usofparis@gmail.com

Les gagnant(e)s seront tiré(e) au sort parmi l’ensemble des participants. Ils recevront un mail leur confirmant leur lot (2 invitations).
Avant de participer, vérifiez bien que vous êtes libres le 5 décembre pour laisser leur chance aux autres participants !!

Bonne chance à toutes et tous !

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QUATRE MINUTES : pièce intense au Théâtre La Bruyère avec Andréa Ferréol

Vous recherchez une pièce haletante, à l’interprétation parfaite et à la mise en scène intelligente.
Prenez sans attendre votre billet pour un vrai numéro d’acteurs avec Quatre minutes au Théâtre de la Bruyère.

On avait lu, on savait et pourtant difficile de ne pas être impressionné par la transformation physique – pour les besoins du rôle – de la comédienne Andréa Ferréol.
Celle qui se fait plus rare sur les plateaux de cinéma, est une femme de théâtre à suivre pour ses choix de pièces audacieux.

Photo de Lot
Photo de Lot

Ce rôle de professeure de piano rigide, autoritaire – qui en rappelle tant d’autres formés à la tradition des doigts crochus et du poignet affirmé, un cauchemar ! – était taillé pour elle. Face à Traude Krüger,
Pauline Leprince interprète Jenny, une jeune taularde en constante rébellion qui va apprendre la discipline non sans remous. Une performance physique accompagnée d’une belle maîtrise du piano.

À leurs côtés, deux personnages qui apportent encore plus d’épaisseur à cette histoire intense et rythmée. Le gardien de prison mélomane (Erick Deshors) et un membre de la famille d’Anna – on vous laissera découvrir lequel, interprété par Laurent Spielvogel.

Photo de Lot
Photo de Lot

Ce qui rend cette pièce palpitante ce sont les zones d’ombre des personnages. Peu à peu le passé se dévoile, crée des répercussions sur le présent jusqu’à ces quatre minutes qui vont changer le cours de la vie de chacun, chacune.
Ceux qui connaissent le film sorti en France en 2008 et réalisé par l’auteur-scénariste, Chris Kraus, redécouvrirons avec entrain la tension de ces échanges. La chance de ceux qui ne l’ont pas vu est de pouvoir se laisser capter tout entier par ce récit d’une incroyable maitrise, le tout sur une bande son soignée avec des extraits de Schumann et une composition originale de François Peyrony.

Affiche Quatre Minutes pièce de Chris Kraus avec André Ferréol Pauline Leprince Erick Deshors Laurent Spielvogel Théâtre La Bruyère Paris

QUATRE MINUTES

pièce de Chris KRAUS
Adaptation théâtrale Nycole POUCHOULIN et Sylvia ROUX
Mise en scène Jean-Luc REVOL
Décor Sophie JACOB
Costumes Aurore POPINEAU Lumières Philippe LACOMBE

avec Andréa FERREOL, Pauline LEPRINCE, Erick DESHORS, Laurent SPIELVOGEL
du mardi au samedi à 21h
matinée 15h
au Théâtre La Bruyère
5 rue La Bruyère
75009 PARIS
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Le Bal des vampires, la comédie musicale culte envoûte le Théâtre Mogador avec un show millimétré – Interview

En matière de comédie musicale, Paris est une ville qui restait encore à bousculer. Le Bal des Vampires le musical, sous la houlette de Roman Polanski a tous les atouts pour devenir une référence en France. Avant de débarquer à Paris, cette comédie musicale qui est capable de réunir fans de Mylène Farmer (époque Désenchantée), groupies de Twilight et fins cinéphiles, a conquis 7 millions de spectateurs à travers l’Europe. 

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Créé il y a 17 ans à Vienne (Autriche) Le Bal des Vampires  enchaîne les succès. Mais pour sa création à Paris, le musical a bénéficié de la mise en scène de son créateur cinématographique : Roman Polanski.
Alors que pour les autres pays, le cinéaste restait plutôt en retrait, il a assuré dans le moindre détail la mise en scène de cette version française.

Même si les basiques du spectacle sont les mêmes à Paris que partout ailleurs (les décors sont ceux de la dernière  production, les costumes façonnés sur les mêmes patrons etc.) la patte du maître Roman ne doit pas être négligée.
Et le Théâtre Mogador est un écrin qui sied à merveille à une
production de ce type.

Avant d’entrer dans le vif du spectacle voici, en chiffres, ce qui rend cette comédie musicale unique sur une scène parisienne : 35 acteurs sur scène, 22 tonnes de décors, 230 costumes et un orchestre en live. C’est le show le plus imposant mis en production par Stage Entertainment à Mogador.

Le Bal des vampires - Comédie Musicale - Théâtre Mogador Paris ©BRINKHOFF-Mögenburg
Et c’est bien ce qui saute aux yeux dès les premières scènes, les décors impressionnants qui apparaissent et disparaissent dans une sorte de chorégraphie.

Il est évident que la machinerie du spectacle est particulièrement bien huilée. L’auberge imposante, les couloirs menant à la crypte, le hall principal du château et les salles attenantes, tous ces éléments bougent avec une aisance particulière . Même si l’on est un(e) habitué(e) des grands shows comme le Roi Lion, Mamma Mia ou La Belle et la Bête, il faut bien se résoudre à dire que celui-ci les dépasse tous avec sa démesure scénique.

Le Bal des vampires - Comédie Musicale - Théâtre Mogador Paris ©BRINKHOFF-Mögenburg

Mais une comédie musicale se juge aussi et surtout par sa musique. Et là, point de faux pas. Même avec ses 17 ans, la partition de Jim Steinman reste ancrée dans une modernité assez surprenante. Les cordes se mêlent avec subtilité aux guitares, l’orchestre enveloppe les voix et les accompagne pour vous donner des frissons musicaux. Il faut dire que le thème principal, composé par Jim Steinman, et basé sur le fameux Total Eclipse of the Heart, ponctue le spectacle avec de belles envolées – appuyant toutefois un peu le trait dans certaines scènes.

Mais cet hymne des années 80 agit comme une petite madeleine de Proust. On pardonnera volontiers la légèreté des rimes voulu par la traduction car la partition rock convient parfaitement à cette histoire baroque.

Le Bal des vampires - Comédie Musicale - Théâtre Mogador Paris ©BRINKHOFF-Mögenburg

D’ailleurs, la partition de Jim Steinman est servie par des acteurs-chanteurs de haute volée. En première ligne, Stéphane Métro qui campe un Comte Von Krolock particulièrement juste. Sa voix à elle seule fait hérisser nos poils par son interprétation et sa puissance contenue.

Daniele Carta Mantiglia est un Alfred naïf à souhait. David Alexis est au top dans son rôle du Professeur Abronsius, le découvrir sans son maquillage est bluffant. Raffaëlle Cohen revêt à merveille les habits de la parfaite ingénue tentée par les avances du Comte aux dents longues. Il faut noter aussi les performances de Sinan Bertrand, dans le rôle d’Herbert, le fils du Comte Von Krolock, qui apporte une fraicheur dans ce spectacle et de Pierre Samuel sous le visage de Yoine Chagal, l’aubergiste, qui est un des personnages par lequel la comédie originale transparait.

Un bémol : le final plutôt épuré. Sans doute sommes nous trop habitués des shows à l’américaine qui finissent avec excès de danse, de décors, de chants dans un tourbillon grisant. Roman Polanski nous prend par surprise en épurant l’ensemble.

Le Bal des vampires - Comédie Musicale - Théâtre Mogador Paris ©United States of ParisLe Bal des Vampires, le Musical est l’un des spectacles les plus réjouissants qui se joue actuellement à Paris.
Sombre, drôle et émouvant, il comblera toutes vos attentes : visuelles, musicales, scéniques et artistiques.

Et si vous voulez en savoir plus sur ce spectacle, foncez sur notre interview de quatre artistes du spectacle.

Le Bal des Vampires

du mardi au samedi à 20h
matinées samedi et dimanche à 15h

Théâtre Mogador
25, rue de Mogador
75009 Paris

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Comédie au Théâtre la Boussole : un ROMAN PHOTO à vivre de l’intérieur

Anne-Elise Barré et Jean-Christophe Barc signent une pièce drôle et originale, portée par des comédiens énergiques et impeccables dans leur rôle. Un résultat qui ne laisse aucun répit à l’ennui.

Roman Photo pièce comédie de Jean Christophe Barc et Anne-Elise Barre avec Dominique Bastien Magali Bros Nathalie Portal Théâtre la Boussole Paris photo © Catherine Cohen

Comment faire pour (re)lancer sa carrière de photographe quand on est cantonné à prendre des clichés grotesques pour des magazines ou des pubs ? Betty (Magali Bros) voit sa carrière piétiner en travaillant sur le dépliant d’une société de livraison à domicile. Maxime (Jean-Christophe Barc), son mari, ne fait guère mieux en termes d’épanouissement professionnel. Décorateur d’intérieur incompris, il manque de contrats et de reconnaissance.
A partir de là, le décor est planté, l’intrigue de la pièce, jouée jusqu’au 15 février 2015 au Théâtre la Boussole, peut commencer.

Betty va donc assouvir sa passion pour le roman-photo et tenter de donner un coup de fouet à sa carrière. Épaulée par Grégoire (Dominique Bastien), un ami comédien qui court le cachet et accumule lui aussi les déceptions professionnelles, elle va mettre en images le scénario qu’elle a écrit en secret.
Devant nos yeux, se déroulera alors l’envers du décor d’un roman-photo : pauvreté du scénario, mises en scène grotesques, inexpérience, caprices de stars ou rivalités entre mannequins, rien n’est épargné. Chaque photo est l’objet d’un déluge de blagues.

Ironie et énergie à tous les étages
Ponctuée des commentaires cyniques de Maxime, entrainé malgré lui dans l’aventure, la pièce ne se permet aucun temps mort, enchaînant les rebondissements et les petites phrases assassines. Et quand débarque alors Agathe (Nathalie Portal), une jeune femme aux formes plus que généreuses (et loin de l’image que Betty s’était faite de Manuella, son héroïne), nous sommes conquis. En effet, Agathe est plus habituée à prendre des pauses lascives devant sa webcam que de poser devant l’objectif d’une photographe…

Il fallait bien ce genre de spectacle pour baptiser le Théâtre de la Boussole, tout nouveau, tout neuf, dans le 10ème arrondissement. C’est simple et efficace. La pièce ne cherche pas à nous arracher le rire de force. On rit de bon cœur, tant les répliques sont lancées avec naturel et spontanéité. Car rien d’artificiel, tarabiscoté ou de scabreux là dedans. Les dialogues, s’ils sont toutefois parfois un peu faciles, font mouche à tous les coups.

Roman Photo comédie pièce de Jean Christophe Barc et Anne-Elise Barre avec Dominique Bastien Magali Bros Nathalie Portal Théâtre la Boussole Paris humour photo scène © Catherine Cohen

Les quatre acteurs se déchaînent sur scène et montrent leur talent tout au long de la pièce. Jean-Christophe Barc et Nathalie Portal rivalisent d’exubérance et portent la pièce à bout de bras, sans jamais tomber dans les travers d’exagération du théâtre de boulevard. Malheureusement, le personnage de Grégoire est caricatural et affaiblit un peu la pièce. Mais le ton reste juste, on passe un bon moment.

L’histoire évoque un roman-photo de 27 illustrations. Désolé de gâcher un peu la surprise, mais vous n’assisterez pas à la prise de vue de ces 27 photos. Il fallait vous prévenir, car nous aussi, nous avons été frustrés.

by Joël Clergiot

Affiche pièce ROMAN PHOTO comédie de Jean Christophe Barc et Anne-lise Barre avec Dominique Bastien Magali Bros et Nathalie Portal au Théâtre La Boussole Paris humour spectacle

Roman Photo
pièce écrite et mise en scène par : Jean-Christophe Barc et Anne-Elise Barré
avec : Jean-Christophe Barc, Dominique Bastien,  Magali Bros et Nathalie Portal

du mercredi au samedi à 21h
matinée le dimanche à 18h

au Théâtre la Boussole
29, rue de Dunkerque
75010 PARIS

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Têtes de lard (et caractères de cochon) : une comédie bouchère au Café de la Gare

Vous pensez avoir tout vu au Café de la Gare : Thé à la menthe ou t’es citron ?, J’aime beaucoup ce que vous faites ou encore la Maîtresse en maillot de bain. Des comédies cultes à hurler de rire assaisonnées de répliques qui fusent. Frottez-vous donc à Têtes de Lard de Bernard Fructus… Vous risqueriez bien de ne pas vous remettre tout à fait de ce huit-clos familial aussi captivant que dérangeant, toujours sur le fil du couteau.
3 représentations exceptionnelles les 19 avril, 17 et 31 mai 2015

photo de Katia Maeder
photo de Katia Maeder

Shining, Alien, Blade Runner… Un boucher cinéphile perdu dans un village de campagne ne peut pas être un mauvais bougre.
Alors quand Louis jette son dévolu sur une bête de 412 kilos pour en faire une gigantesque cochonnaille, il serait plutôt touchant. Sa mère, Léonne, un brin hystérique, voire plus terre-à-terre que nous, ne le voit pas du même œil.

Bienvenue à la boucherie Ginesty, mère et fils – le père ayant cassé sa pipe depuis un moment – une adresse qui voit son quotidien bouleversé par l’arrivée de ce cochon prénommé Raoul, dont, au passage, la présence scénique est exceptionnelle.
Au milieu de l’atelier passe aussi une sœur en plein désarroi amoureux, Charlotte et surtout accueille le retour de Barnabé, l’ami d’enfance du fils boucher.

Les dialogues sont tordants tout du moins au début de la pièce. La description des rapports familiaux, par l’auteur, offre de vrais moments de tensions.
Peu à peu, la situation se grippe, les non-dits du passé remontent à la surface.

La direction d’acteurs de cet illustre metteur en scène inconnu – existe-t-il seulement, ce Tim Remis ? – a mis en avant le jeu des corps jouant sur les situations de conflits et ce qu’elles provoquent de malaise. Les comédiens donnent pleine mesure à la folie de l’épaisseur de leur personnage, voire leur folie ; tordant le coup, au passage, à certains de nos préjugés.

photo de Katia Maeder
photo de Katia Maeder

Les compositions sonores et les bruitages renforcent le côté cinématographique de cette pièce, intensifiant le drame qui se joue devant nous.
Ajoutons que sonoriser un cochon en direct sur une scène est un exercice complexe : pour cette pièce l’équipe technique s’est surpassée.
A vous maintenant de découvrir le résultat sans tarder.

Têtes de Lard
de Bernard Fructus

mise en scène : Tim Remis
avec Morgane Bontemps, Loïc Legendre, Timothée Manesse, Carole Massana

au Café de la Gare
41, rue du Temple 75004 PARIS

Dimanche 19 avril – 20h30
Dimanche 17 et
31 mai – 2030

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LA BOX CULTURELLE : le plein de bons plans et de sorties une fois par mois

La culture dans ta box !
Vous ne savez plus où chercher, ni où trouver la bonne pièce de théâtre et le meilleur prix parmi la pléthore d’offres de spectacles à Paris et des sites spécialistes du rabais. Vous n’avez pas non plus de temps à perdre et aimeriez bien avoir un ptit coaching à moindre frais pour vous assurer votre plein de culture pour le mois à venir.

La Box Culturelle est la petite nouvelle qui est faite pour vous et la personne qui vous accompagnera. Elle contentera aussi toutes celles et ceux qui veulent s’offrir un bain de bons plans variés à Paris.La Box culturelle la culture dans ta box le plein de bons plans sorties théâtre expo livre surprises capitale photo by United States of Paris blogImaginez : vous recevez votre box au plus tard en tout début de mois avec un programme alléchant comprenant une pièce de théâtre ou spectacle à choisir entre deux propositions, un billet coupe-file pour une exposition – qui vous redonnera envie de retourner au musée, l’attente en moins – une invitation pour un événement, un livre ou CD ou DVD et une surprise.

Les billets prévus pour deux personnes sont valables pour le mois en cours – vous incitant donc à sortir un peu plus que d’habitude ou à en faire profiter vos amis

Vous ne verrez pas le mois passer
Pour la première box, vous avez pu découvrir Jarry dans son spectacle emballant et détonnant Atypique, au Théâtre Trévise ou la pièce qui a fait sensation au Off d’Avignon 2014, Luchini et moi au Théâtre de l’Archipel.
Une fois abonné à la box, il vous suffira de choisir la pièce et le soir en réservant directement sur le site, dans votre espace personnel.
Des billets pour l’expo très attendue Mayas au Musée du Quai Branly, des invits pour le Salon de la Photo à la Porte de Versailles, un livre de poche (Douglas Kennedy ou Arnaud Dudek) et une ptite surprise pour se détendre.

Alors bien sûr la box ne vous offrira pas de places pour la dernière pièce avec Michel Fau ou Fabrice Lunchini. Pourquoi ? Parce qu’avant de proposer ses offres, l’équipe menée par Hermine voit les pièces et spectacles qu’elle vous conseille et ne cède pas à la facilité.

Elle est plus à la recherche du jeune talent, de la pièce inattendue plutôt que du best-seller qui n’a pas de mal à remplir et au final ne surprendra plus grand monde.
La Box Culturelle est prête à vous surprendre tous les mois avec des choix soignés, décalés et émouvants.

Et son prix à la box ?
49 euro pour 2 ! Sachant que pour deux places de spectacle, il faut compter au minimum 40 euros, tout ce qui se trouve en plus dans la box est pur bonus.
49 euro : c’est une sortie minimum par semaine pour le mois à venir.
A ce prix-là, ce serait dommage de s’en priver, non ?

Et la Province ?
La box est parfaite aussi pour celles et ceux qui veulent se faire un ptit séjour à Paris et voir, en très peu de temps, un maximum de choses à prix malin.

C’est off !
De nouveaux partenaires sollicitent chaque semaine la team de la box qui a ses bureaux dans la pépinière de startsups, la Numa.
Vous ne serez pas au bout de vos surprises.

Toutes les infos essentielles sur le site : laboxculturelle.com

Pour recevoir la prochaine box, vous avez jusqu’au 28 de chaque mois pour souscrire.

Nouveauté ! La Box Culturelle se décline en Box Kids, en collaboration avec Paris Loves Kids. Dédiée aux bambins de 6 à 10 ans, cette box contient 2 places de spectacle, un jouet surprise et une revue jeunesse. Parfait pour initier petits aux joie de la culture parisienne.

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