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14 juillet: La Cafête Nationale by LE FOODING au bar Le Rouquet @Paris

L’équipe du Fooding n’est décidément jamais là où on l’attend.
Alors que notre valise était prête à s’envoler et qu’on pensait très justement que le prochain rendez-vous concocté par le bureau serait pour la rentrée, annonce de dernière minute.

L’équipe décide de proposer une alternative à la Garden-Party élyséenne – dont on est privé depuis plusieurs années – La Cafête Nationale.
Invasion d’un bistrot de quartier. Prenez Le Rouquet à l’angle de la Rue des Saints-Pères et du Boulevard Saint-Germain, dans le 7e.

Dresser les tables en terrasse pour des duos au coude à coude, laisser les tables intérieures pour les groupes d’amis.

4 services dans la journée rudement menés par une équipe de garçons de café aux petits soins et surtout 4 chefs: Alexandre Gauthier (La Grenouillère, La Madeleine-sous-Montreuil) Mauro Colagreco  (Le Mirazur, Menton), Nicolas Scheidt (La Buvette, Bruxelles) et Christophe Dufau (Les Bacchanales, Vence).

A chaque service un menu et un chef différent. Seules persistances: le Ricard rémoulade concocté par Sven Chartier (Saturne, Paris). Soit un apéro anisé accompagné d’une suspension de légumes.
Amusante interaction avec le plateau présenté de table en table. Les convives sont invités à couper les attaches des légumes pour les couler dans un crème fromagère rehaussée d’une garniture de crumble couleur terre.

A 18h, il faut compter sur la verdure et les légumes de Nicolas Scheidt.


Un pressé de joues de veau pickles en entrée frais et tendre.

Entre deux plats, la joyeuse et espiègle Joséphine Ose nous offre un délicieux happening. Elle campe une jolie princesse esseulée à la recherche de l’homme. “Plus mur porteur que pilier de bar“, la jeune fille garde une répartie à toute épreuve. Rassurez-vous sur son état: “je ne  suis jamais seule en soirée, j’ai mon cul avec moi!”

Sur une bande-son sortie d’un juke-box orchestrée par Patrick Eudeline, une salade niçoise déconcertante fait alors son entrée. Le thon cède la place à l’anchois et aux poulpes. Des tomates pelées goûteuses accompagnent l’ensemble.
Et l’impression est mitigée car le poulpe fait de la résistance en bouche, malgré des coups de dents assurés.

En dessert, assiette de fraises à la chantilly coulante, garni de meringues. Au coeur de l’assiette un pavé de semoule se laisse déguster dans ce mélange crémeux.

Au final, ce rendez-vous gustatif de l’équipe du Fooding est un amuse-gueule pour une longue soirée, à poursuivre entre amis au bal de pompiers ou au Champ de Mars pour le feu d’artifice disco du 14 juillet.

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LABYRINTH OF MEMORY : installation incroyable de Chiharu Shiota à la Sucrière Lyon

 Jusqu’au 31 juillet, les visiteurs de la Sucrière sont invités à une déambulation originale composée de 600 km de fil de laine 100% acrylique. Spectaculaire, l’installation ouvre sur un univers spectral et suspendu.

Certains avaient peut-être déjà croisé les toiles d’araignées noires de Chiharu Shiota déployées à la Maison Rouge à Paris ou dans un écrin réduit à la taille d’une maison de poupée aux Musée des Beaux-Arts de Lyon lors de la présentation de la collection d’Antoine De Galbert, intitulée Ainsi soit-il.

Jamais encore en France, la toile tissée par l’artiste japonaise n’aura trouvé une telle ampleur qu’au 3e étage de la Sucrière. Après une commande de la direction artistique du lieu, il aura fallu 1 mois d’installation dont 2 semaines de tissage pur mené par une équipe de 10 personnes.

Et à l’entrée, l’œuvre radicale portée par la blancheur immaculée de 12 robes du styliste lyonnais Mongi Guibane, suspendues émergeant d’une nuée de fils, envahie le champ visuel du visiteur. Aucune sortie de secours, le rapport à l’œuvre est frontal. Les allées de chaque côté de la scénographie centrale forment des tunnels où pourrait se nicher tout type d’insecte plus ou moins attentionné.

A la manière d’une Yayoi Kusama qui aime envahir des espaces clos de ses pois pour mieux perdre le visiteur dans une dimension inédite, Chiharu Shiota crée une proposition plastique immersive et obsédante. Difficile de prendre la décision de s’extirper de ce cadre de contemplation unique.

Sur le livre d’or, l’œuvre ne laisse aucun visiteur indifférent. On peut y lire par exemple: « Introspection, j’ai gagné ma journée. » La contemplation a un pouvoir d’inspiration et de transcendance que l’on est loin d’imaginer.

Et pour celles et ceux qui aimeraient en rapporter un bout. Le 31 juillet, le public est convié à venir armé d’une paire de ciseaux pour emporter quelques fils de laine. Infos et inscriptions à l’accueil de la Sucrière.

Labyrinth of Memory de Chiharu Shiota
Jusqu’au 31 juillet
Du mercredi au dimanche 11h à 18h

La Sucrière
49-50 quai Rambaud
69002 Lyon

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Cirque – LE GRAND C : les incroyables portés acrobatiques de La Compagnie XY à la villette

Le Grand C ou la mécanique de l’équilibre. La Compagnie XY offre une sorte de pièce montée humaine renversante d’un peu plus d’une heure, sous chapiteau, jusqu’au 21 juillet à la Villette.

Autant prévenir, le tour de piste débute par une tonalité abstraite quelque peu déroutante. Un tableau en clair-obscur avec des notes d’accordéon, des portés à deux ou trois hauteurs d’hommes et de femmes. Sous les jupes des filles se trouvent de redoutables athlètes aux lombaires bien accrochées.

Puis grand silence, pas de deux, tapes sur la cuisse, équilibre sur rondin de bois. Les bruits du dehors, du Parc de la Villette, traverse la toile du chapiteau. On perd pied tant la suite du jeu paraît improbable.

Mais le spectateur va vite comprendre que la compagnie aime tromper son public et changer de registre au cours de la soirée. Alors que l’on vient de croiser les sosies de Gérard Darmon et de Corto Maltese parmi les 17 acrobates, un ballet perché, poétique, vient rassurer des multiples ressources de cet art délicat de l’équilibre.

Enlacés, enchevêtrés, propulsés, les corps de chacun sont des alliés silencieux, affrontant les pressions des autres et de l’apesanteur.

« C’est les champions de la pyramide !» lance un jeune spectateur dans le public familial, à la vue d’un numéro impressionnant demandant pleine concentration et maitrise parfaite du sang-froid.

Ici point de filet de sécurité. Ce sont les mains des partenaires de jeu qui assurent les retours de gravité parfois un peu difficiles. Car certains numéros sont d’une précision au millimètre, quand il s’agit, par exemple, de lancer sa partenaire dans les airs et de la récupérer par les pieds à la force des poignets.

Cette chorégraphie des hauteurs laisse aussi place à des numéros de cirque comme une séquence de bascule ou ce sketch du canon humain débordant dans les gradins. Savoureux.

Dernier tour de force. Une chanson reprise en chœur par la troupe alors en plein effort. Une bleuette douce-amère accompagne la dernière prouesse physique au cours de laquelle un groupe d’hommes portent le plus grand nombre de partenaires à la seule force des épaules. La poésie nait d’un coup de la fragilité et de la vision éphémère d’une performance à couper le souffle.

Les regards complices échangés entre les artistes tout au long du spectacle ne laisseront aucun spectateur insensible.

Le Grand C
de la Compagnie XY

Espace Chapiteau de la Villette

Jusqu’au 21 juillet 2012

Du mardi au samedi 20h30
Jeudi à 19h30

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Concert de Björk aux Nuits de Fourvière : après Nîmes, réjouissante étape Lyonnaise du Biophilia Tour 2012

 Björk pose ENFIN ses valises à Paris pour présenter au plus large public son projet Biophilia.
Des concerts exceptionnels donnés à l’Ile Seguin sous le chapiteau du Cirque en Chantier pour les premières dates (les 21, 24, 27 février et 2 mars 2013) et au Zénith de Paris (le 5 et 8 mars 2013)
L’été dernier, la chanteuse islandaise nous avait gratifiés d’une mise en bouche à Lyon.

Retour en images sur l’événement!

Le dernier concert de Björk à Lyon remonte à la sortie de l’album Vespertine. Elle se produisait alors à l’Auditorium avec un orchestre symphonique.
Depuis 11 ans, le public lyonnais se désolait d’attendre son retour.

C’est dire que ce samedi soir au Théâtre Antique, le public est impatient de retrouver l’univers électro-organique de la chanteuse islandaise.
Les annulations de date, les rumeurs d’une faiblesse vocale et les retours du premier concert français à Nîmes critiquant le manque d’échange avec le public, et toujours la crainte de la pluie, étaient de mauvais augure pour cette date au cœur des Nuits de Fourvière.

Les rares fans qui espéraient croiser la star lunaire lors des balances ont du revoir leur attente. La belle a attendu que les visiteurs du site romain sortent pour répéter Heirloom avait ses 2 musiciens et choristes déjà sur scène.

21h piles. Comme à son habitude, Björk fait une entrée spectaculaire non avec force d’effets de lumière ou d’éclats pyrotechniques. Suivant l’arrivée de ses choristes grimées, c’est par le simple choix de sa tenue de cette scène qu’elle ménage à nouveau ses effets.

Apparition surréaliste, en perruque à la Divine, dragqueen préférée du cinéaste John Waters, dans une robe bleu agrémentée de protubérances sur ressort.

Deux premiers titres, et le rang des VIP compte sa première défection en la personne de l’acteur français André Wilms.

Difficile de ne pas remarquer que les titres de l’album Biophilia ne secouent pas les gradins et poussent parfois à de curieuses envies de regarder le ciel s’assombrir au dessus de soi. L’ennui est parfois palpable. Mais le public attentif ne ménage pas son accueil en applaudissements généreux.

Les classiques éprouvés des anciens albums permettent d’exalter l’énergie retenue sur les derniers titres surfant dans une abstraction cosmique difficilement saisissable à la première écoute. Ainsi Hunter, Hidden Place, All is full of love, Heirloom ou Joga trouvent une nouvelle saveur avec le chœur de jeunes filles.

Et puis, un appareil de torture descend sur scène. C’est le Tesla Coil, machine qui envoie une décharge électrique contenue, mais visuelle et sonore et utilisée comme instrument de musique. Spectaculaire.

Phénomène rare, la chanteuse est joueuse. Elle danse, remue volontiers des fesses, dos au public. Pour le coup, les seuls signes apparents de sa fatigue seraient le nombre de tasses de boissons chaudes et les deux sprays nasaux sur scène. Quelques « Merci bien » ponctuent le tour de chant.

Seul regret : que les yeux de la chanteuse soient un peu trop concentrés sur les deux écrans prompteurs, dont leur seul présence permet de calmer une nervosité durable.

Au rappel, la tension des poils sur les avant-bras des fans est palpable. L’elfe venu du froid offre un moment de grâce pure avec une version de One day en acoustique. Accompagnée du percussionniste au mille talents, Manu Delago et de son instrument Hand, elle opère un savoureux ballet vocal aérien. Poussant l’audace en demandant au public de siffler en chœur.

Dernière demande pour le titre Declare Independence: « Last song. I ask you to sing with me.»

Nouvelle pluie de coussins à Fourvière, de couleur verte cette année.
Public sur un nuage à la sortie du concert.

BJORK en concert à PARIS en 2013

Cirque en Chantier les 21, 24, 27 février et 2 mars 2013
Zénith de Paris les 5 et 8 mars 2013

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Concours: 2×2 invitations pour le spectacle SOLO & l’exposition OPTICON de Philippe Decouflé à Villette Paris

Philippe Decouflé se remet en scène dans le spectacle Solo à la Grande Halle de la Villette.

Un vrai moment de grâce chorégraphique.

And guess what!
La fine équipe a une nouvelle fois le plaisir de vous offrir des places pour un évènement, exceptionnel!

Vous êtes libre le 5 Juillet 2012? Et vous adorez l’univers ludique et inspiré du chorégraphe Philippe Decouflé? Ou bien vous voulez tout simplement découvrir le travail du grand
ordonnateur de la cérémonie des J.O. d’Albertville en 1992?


Pour gagner 2×2 places pour la représentation de Solo couplé avec des entrées pour l’exposition Opticon, le jeudi 5 juillet 2012 à 19h30.

Répondre à deux questions:
1°) Citez-nous un spectacle de Philippe Decouflé. Indice
2°) Quelle artiste suédoise est mise en lumière dans le dernier portrait vidéo du blog? Indice

Envoyer un mail avec vos réponses avec vos nom et prénom à usofparis@gmail.com
avant le 03 Juillet 2012 19h.

BRAVO aux gagnantes: Esther et Charline! 

Et pour augmenter vos chances Likez la page Facebook du Blog.
Et vous serez informer en priorité des nouvelles actus et concours de notre blog.

SOLO et OPTICON
à la Grande Halle de La Villette
211, avenue Jean Jaurès
75019 Paris
Métro Ligne 5 : Porte de Pantin

Merci au Parc de la Villette
et à
Jeux concours gratuits

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Les street artistes Mr André et Shepard Fairey (aka Obey) s’invitent au Levi’s Store des Champs Elysées @ Paris

Mr André et Shepard Fairey, plus connu sur le pseudo Obey, investissent le Levi’s Store des Champs Elysées.

Levi’s réuni ces deux grands du Street Art international dans une scénographie toute urbaine afin de célébrer la relation artistique entre France et US.
Et ce vendredi  l’équipe du blog a eu droit, avec quelques privilégiés, d’assister à la conférence de presse entre ces deux génies du graff!

Et il est clair que le graff coule toujours dans leurs veines. “J’adore toujours ça“, ” Je me sens libre quand je graff et c’est essentiel pour moi” confie Shepard, en ajoutant “après
20 ans de travail dans l’illégalité [à Los Angeles], c’est vraiment bien de pouvoir le faire légalement“. Pour Mr. André: “c’est réellement un plaisir physique, plein d’adrénaline. Se lever à 5h du mat’,
avoir les mains sales, être arrêté par la police” . “Mais il ne faut pas se méprendre, ajoute Shepard Fairey, à New York  plus vous êtes un graffeur renommé, plus vous êtes un trophée pour la police.”

Cette rencontre exclusive permet aussi aux artistes de parler de la conception des œuvres exposées à l’entrée du magasin.

Comme en réponse au mot d’ordre de la marque, Mr André et Shepard Fairey ont mixé nos deux cultures. L’un s’inspirant des gratte-ciel américains et l’autre de nos traditionnelles colonnes Morris.
Symbole parisien par excellence, c’est surtout, pour Shepard, un monument qui n’existe pas de l’autre côté de l’océan et dont certaines sont encore d’époque. Travaillant à  New York lorsque ce projet a démarré,
Mr André a fait de son installation une ode à Paris, Andy Warhol et bien sûr à La Grosse Pomme.

Bien entendu qui  dit Levi’s dit jean. Les vestes permettent de se plonger dans un partie de l’univers de nos deux protagonistes. Le Français, qui en a customisées certaines directement
sur place, a voulu utiliser la référence des vestes de gang, en y ajoutant un peu de métaphysique. L’ami Américain a tenu à utiliser une phrase en référence aux membres du groupe The Who qui portaient un tee-shirt Vive le Rock (en français dans le texte) au cours de leurs glorieuses années.


Preuve que la marque a atteint son objectif: le nombre de visiteurs venus, ce samedi, créer et customiser gracieusement leurs propres T-shirt, badges et stickers.
La seule chose à fournir: un peu de patience! D’ailleurs même les reporters présents se sont pris au jeu…

 Si vous n’êtes pas passionnés par les Champs et que vous aimez le Street Art, foncez voir l’œuvre monumentale créée au cours de ces deux derniers jours par Shepard.
Pour la trouver, rien de plus simple: prenez la rue Jeanne d’Arc à la sortie de la station Nationale, sur la ligne 6.

En petit bonus, un making of des deux artistes en plein workshop.
Image de prévisualisation YouTube

Mr André et Shepard Fairey in Levi’s Store des Champs Elysées
Du 14 juin au 7 Juillet

76 Avenue des Champs Elysées
Paris 8e

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Photo du mois #4 : Transparence

Chaque mois, les bloggers et bloggeuses qui participent à La Photo du Mois publient une photo en fonction d’un thème.
Toutes les photos sont publiées sur les blogs respectifs des participants, le 15 de chaque mois, à midi, heure de Paris.

C’est le cristal de Baccarat qui s’est imposé pour ce nouveau sujet. Bien que le jeu d’ombres et de lumières du Monumenta de Buren était aussi très tentant.
Lors d’une visite du musée de la maison-mère, place de Etats-Unis, dans le 16e arrondissement, l’intensité de la lumière à travers le verre était trop intense pour résister l’appel de l’objectif.
Le lieu bannissant habituellement toute prise de vue,  s’est laissé apprivoiser au cours de la soirée d’ouverture des Designer’s Days 2012.

Pour découvrir toutes les autres propositions, surfez sur les blogs:

Pilisi, Les zinzins, Krn, Agrippine, Tambour Major, A&G, Typh’, Manola, Laura, Quelbazar, Dan, Nataru, Gilsoub, Cécile, Anne Laure T, Mistinguett, Caro, Lesegarten, Emma, Lhise, Filamots, Gizeh, Olivier, Lost in London, Leviacarmina, Hélène d’avril, Jean Wilmotte, François le Niçois, David et Mélanie, Frédéric, La Papote, Cessna, oui !, Batilou, Où trouver à Montréal ?, Céliano, Kyoko, Surfanna, Mamysoren, Cricriyom from Paris, Nomade57, Flo, Terhi Schram, Testinaute, Ori, Alice Wonderland, Renepaulhenry, Sinuaisons, Xavier Mohr, Galinette, Isabelle, Louisianne, Louiki, Violette, jen et dam, Bestofava, Emily58, Aparça, Dr CaSo, Cekoline, Carnets d’images, Stéphie&lesCacahuètes, La Parigina, Le Mag à lire, magda627, Elapstic, 100driiine, Marion, Narayan, Lyonelk, La Nantaise, Minicecile, Carole In England, Ludovic_P, Nicky, Mgie les bons tuyaux, Titem, Viviane, Céline in Paris, Babou, Kyn, LaGodiche, Nathalie, Cocosophie, Cathy, Coco, Cynthia, Isabelle et Gilles, Laure, Alban, Les petits supplices !, Stephane08, Petite Marie, Lavandine, Clara, Karrijini, Nora, L’Azimutée, Agnès, Sébastien, Zaromcha, Blogoth67, Les voyages de Seth et Lise, The Parisienne, Anita, Alexinparis, Dreamteam, Maïder, Tam, M.C.O, André(eric)Fernandes, Xoliv’, Le-Chroniqueur, Laurent Nicolas, M’dame Jo, La Fille de l’Air, Skipi, Lucile et Rod, Aude, Les voyages de Lucy, Nikit@, Akaieric, Dorydee, Un jour une rencontre, Melting Pot, Guillaume, Anne-Cécile, E, Arwen, Valoutyne, Véro Beramelo, DNA, The Mouse, Cara, Ovan, Champagne, Ava, Annick, Escapade en Tunisie, Vanilla, Egedan, Lauriane, J’adore j’adhère, La Flaneuse, Anne, Alexanne, Sephiraph, Hibiscus, Chris et Nanou, M

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Une question ? Contactez Olivier

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Jennie Abrahamson – The Sound of your beating heart – Interview à l’Institut Suédois @Paris

La chanteuse Jennie Abrahamson de passage à Paris pour deux concerts dans le cadre du Festival AAO organisé par l’Institut Suédois, nous a accordé quelques minutes avant de monter sur scène.

L’équipe étant tombée sous le charme du titre Hole in you, l’appel des inspirations nordiques était trop forte.
Elle est heureuse de partager sa rencontre avec vous.
Enjoy!

Image de prévisualisation YouTube

Radio Nova ayant diffusé avec passion le titre She don’t lie sur ses ondes lors du séjour parisien de Jennie, cette dernière a mis en free download le titre sur son site.
Vite vite: “limited offer”!

Jennie Abrahamson
Dernier album: The Sound of your beating heart Almost Musique

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Grande Halle de la Villette : The Big Show Decouflé avec PANORAMA, OPTICON et SOLO

Philippe Decouflé à la Villette!

Pour les passionnés de danse contemporaine joyeuse et euphorique, les curieux de tous poils et les amateurs d’installations interactives, le show Decouflé qui vient d’envahir la Grand Halle de la Villette va vous retourner.

Alors qu’Octopus, son dernier spectacle à succès, n’en finit plus de jouer les prolongations et qu’il sera de retour au Théâtre de Chaillot en décembre, le chorégraphe quinqua s’offre un terrain de jeu pendant plus d’un mois.

Pour commencer, OPTICON: une exposition rétrospective et expérimentale.


Une entrée dans les grandes heures de la foisonnante inspiration du chorégraphe.  Dessins de sa main, costumes de scène, photographies (de spectacle, coulisses et tournées), maquettes de décors. Croquis pour un clip du groupe New Order qui continue de le diffuser lors de ses concerts.  Souvenirs d’un événement ayant fait basculer Decouflé dans le gigantisme: les cérémonies des JO d’Albertville.
C’était en 1992 et les enfants et ados de l’époque s’en souviennent encore.

Passé ce premier sas, les plus drolatiques attractions vont vous conduire dans des jeux de perspectives et d’illusions optiques.
Le parcours, dense en expériences en tout genre et pas de danse, force le visiteur à se désinhiber, à jouer de son corps face aux autres.
Vous serez surpris de vous faire prendre au jeu du Plasma japonais, de l’hexaboite noire ou du kaléidoscope gratuit.
Demandez le guide: la comédienne Julie Ferrier parcourrait les allées certains week-ends. Mais chut…

Pour continuer deux spectacles.

PANORAMA : une création à partir d’un patchwork de pièces diverses de la longue carrière du directeur artistique de la Compagnie DCA. Des oeuvres de jeunesse comme Jump et quelques valeurs sures, comme ce duo d’amoureux porté par des élastiques.
Dans un premier temps, déroutant car aucun lien n’unit les extraits d’oeuvres, les uns les autres, le spectacle séduit doucement entre instants de poésie pure, de savoureuses lenteurs et de délicieuses folies surréalistes.
Le décor rappellera à certains le spectacle culte Shazam! avec l’arche métallique et les coulisses apparents. Alors que d’autres, cherchent et décortiquent le spectacle auquel appartient chaque extrait.
Pour les connaisseurs de la Compagnie DCA, ce jeu peut vite décontenancé.

Le second rendez-vous chorégraphié débutera le 4 juillet.
SOLO: une reprise d’un spectacle crée il y a quelques années.
Alors que certains solos sont parfois prodigieusement désastreux comme Le Funambule d’Angelin Preljocaj, celui de Philippe Decouflé est un modèle du genre. Mélangeant projections, jeux de mains et pas de danse, audace et moments d’intenses émotions, le chorégraphe se dépouille de tout artifice et d’exercice de facilité.
Il n’est pas forcément tendre avec ce corps vieillissant et pourtant l’alchimie est intense en émotions.

Compagnie DCA – Philippe Decouflé
Deux spectacles: Panorama et Solo
Une exposition Opticon

Grande Halle de la Villette
Jusqu’au 15 juillet 2012

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Les glaces Magnum à customiser au Café éphémère @ Paris

Amis lecteurs, au fur et à mesure de nos articles, vous avez pu vous rendre compte que l’équipe est une incorrigible gourmande. Et nous pensons que vous l’êtes également.
Alors quand nous avons appris que le glacier Magnum ouvrait un café éphémère à Paris, nous n’avons pas résisté à partager nos premières sensations glacées.

Ce mercredi, FB Fans et blogueurs sont conviés à l’ouverture de cet espace inédit.
Et nos amis gourmands ne se sont pas faits prier pour goûter au plaisir de la douceur extrême des sélections de la marque au cœur.

La grande desserte principale met en avant une quinzaine de toppings (nappages)  parmi lesquels vous devrez faire le difficile choix de trois seulement.
Les esthètes de la glace auront la douloureuse mission de choisir entre corn flakes, pépites de framboises, spéculoos, chocolat pétillant ou encore amandes caramélisées.
Reste deux choix cornéliens: plutôt crème glacée vanille ou chocolat. Et pour l’enrobage? Vous choisissez chocolat noir, au lait ou blanc?

Notre choix s’est arrêté sur un topping : chocolat pétillant, pépites de framboises, et pépites de caramel avec un coeur vanille enrobé de chocolat blanc.
Et il faut bien avouer que si vous  n’êtes pas un addict du sucré, la glace customisée est déconseillée à l’heure de l’apéro.
Préférez-la pour la pause de 16 ou 17h après votre shopping dans le Marais alentour.

De plus, pour apprécier votre création, vous avez le choix entre prendre place dans le salon dégustation ou alors déambuler dans l’espace sensoriel, situé en sous-sol,
et ainsi en profiter pour découvrir une animation vidéo sur bâtonnet géant, impressionnante.

Gourmandes et gourmands, nous sommes sûrs que vous serez conquis par ce nouveau lieu. Cet espace éphémère est voué à répondre à vos plus intenses demandes sucrées.

Vous avez jusqu’au 24 juin pour profiter de la douceur de ces glaces customisées originales !

MAGNUM Café éphémère PARIS
23, Rue du Roi de Sicile
75004 PARIS

Du 30 mai au 24 juin 2012
Mardi, mercredi dimanche de 12h à 20h
Jeudi, vendredi, samedi de 12h à 22h

Programmation sur la page Facebook Magnum

 

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