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PHOTO DU MOIS #26 : les couleurs de mon drapeau

Chaque mois, les bloggers et bloggeuses qui participent à La Photo du Mois publient une photo en fonction d’un thème. Toutes les photos sont publiées sur les blogs respectifs des participants, le 15 de chaque mois à midi, heure de Paris.

Le sujet du mois proposé par Cekoline est : les couleurs de mon drapeau.
Ou d’un pays que l’on apprécie.
Et nous ne pouvions pas éviter – une nouvelle fois – la référence à ce beau pays d’Islande qui partage les mêmes couleurs que le drapeau français.
Nous vous proposons cette illustration originale du drapeau islandais en mode street-art, tout en relief.
Qui a dit que nos deux pays étaient si éloignés l’un de l’autre ?

Street-art-wall-Reykjavik-city-Iceland-icelandic-flag-Islande-photo-by-United-States-of-Paris-Blog

Et c’est parti pour le tour des autres blogs pour connaître les idées de nos ptits camarades : Josiane, Lucile et Rod, Tataflo, Hypeandcie, Cynthia, Thalie, Ann, La Fille de l’Air, eSlovénie, KK-huète En Bretannie, E, Marie, The Parisienne, Pixeline, Fanfan Raccoon, Guillaume, Angélique, magda627, Dame Skarlette, Tuxana, Maria Graphia, Philae, hibiscus, Elodie, Nie, Claire’s Blog, J’adore j’adhère, Lavandine, Pica Moye, La Berlinoise, La Dum, Stephane08, Chloé, Laulinea, Viviane, Louisianne, Homeos-tasie, Mimireliton, Cricriyom from Paris, Krn, Lavandine83, Arwen, Alice Wonderland, Nicky, Annick, Nana, Eurydice, Mamysoren, Dr. CaSo, Giselle 43, Trousse cadette, Crearine, Alban, Champagne, El Padawan, Pilisi, Lyonelk, Isa de fromSide2Side, MauriceMonAmour, BiGBuGS, The Singapore Miminews, Gizeh, Les bonheurs d’Anne & Alex, CetO, Laurent Nicolas, La Nantaise à Paris, Joane, Kantu, Testinaute, Frédéric, Rythme Indigo, Xoliv’, DelphineF, Anne, Proserpinne, Renepaulhenry, Céline in Paris, Sephiraph, Agnès, François le Niçois, MissCarole, Galinette, Mahlyn, Cécile – Une quadra, Geneviève T., Ava, Isaquarel, Woocares, A chaque jour sa photo, Vanilla, Akaieric, Lau* des montagnes, Cécile Atch’oum, A’icha, Sylvie, Julia, Christophe, princesse Emalia, Bestofava, Memories from anywhere, Cekoline, Morgane Byloos Photography, Chat bleu, Blogoth67, Aude, Gilsoub, Une niçoise, Filamots, Laurie, dreamtravelshoot, Elsa, Marmotte, Un jour, une vie, Les Filles du Web, Calamonique

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MUSIQUE : Interview du duo JO WEDIN & JEAN FELZINE : pop music, Dolly Parton, Brel, Cléa Vincent, concert et Pop In

Entre deux concerts, au festival « Passer le Périph’ » le 4 mai et au Gibus Café le 13 mai, nous avons rendez-vous avec Jo Wedin et Jean Felzine pour discuter de la naissance de leur duo, de leurs influences américaines 50s et 60s, et de leur futur (sortie d’un album ou d’un EP, concerts, …). Une belle rencontre avec des musiciens talentueux et passionnés, qu’il faut vraiment aller découvrir sur scène, et dont le duo n’a pas d’équivalent en France.

photo by Astrid K. 

 

Baptiste & Gérald : Johanna, depuis quand vis-tu en France ?
Johanna Wedin : Ça fait dix ans que je suis en France, je suis venue pour changer de vie en fait. J’ai aussi habité à New York un an. Mais je suis restée en France pour la musique. J’avais un autre projet musical auparavant, qui s’appelait MAI. J’ai sorti un album en 2007, et deux EP. Toute la création musicale s’est faite en France ; mais la musique faisait déjà partie de ma vie en Suède. J’ai appris à jouer de plusieurs instruments : j’ai joué du saxo quand j’étais petite, un peu de piano, donc j’ai toujours fait de la musique, mais je n’ai jamais eu de groupe là-bas.

B&G : Comment vous êtes-vous rencontrées ?
Jean Felzine : Johanna a arrêté son groupe MAI. Elle rêvait de faire des chansons en français.
JW : J’avais fait seulement une reprise en français sur un de mes EP [Si tu dois partir, de l’EP Silent Seduction, 2010]. Je pensais à faire davantage de morceaux en français depuis longtemps, mais comme j’écris en anglais, c’était très dur de se lancer. Et puis j’adorais ce que faisait Jean, je l’ai contacté, et il a écrit une chanson qui correspondait vraiment, exactement, ce que je voulais !
JF : Oui c’était la chanson Mets-moi dans ta valise. Et on s’est rencontrés aussi grâce à la manageuse de Jo, qui est la copine de l’ingé-son des La Femme avec qui on tournait à ce moment-là. Donc nous nous sommes vus, on a parlé de musique pendant toute une soirée. Et deux semaines après j’avais fait Mets-Moi dans ta Valise, et ça collait parfaitement avec ce que Jo avait en tête. Tout cela s’est déroulé pendant l’été 2012.

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G : Chanter en français était vraiment un souhait très fort ?
JW : Oui tout à fait. Le français est une langue qui me fait rêver, et puis j’habite en France ! Il y a déjà beaucoup de groupes ici qui chantent en anglais ; de même en Suède, presque tous les groupes font des chansons en anglais. Donc le fait d’avoir le choix de chanter en français était formidable. Je connais aussi beaucoup d’artistes qui chantent en français, comme Françoise Hardy ou Serge Gainsbourg. Ce sont des artistes qui sont connus en Suède, et qui me faisaient rêver.

B : Le retour du français dans la pop, vous en pensez quoi ?
JF : Cela me réjouit. Et en plus c’est revendiqué maintenant : nous sommes fiers de chanter en français, parce que c’est notre langue, parce qu’elle est belle. Dans le cas de notre duo, c’est un peu différent car ce n’est pas la langue natale de Jo, mais on a aussi des morceaux en anglais su scène.
JW : Oui les morceaux sont tout de même plus abordables pour moi sur le plan de l’écriture quand ils sont en anglais. Au tout début, Jean faisait tout, maintenant, on co-écrit. Souvent j’apporte une trame narrative aussi.
JF : C’est le cas par exemple sur Les Hommes ne sont plus des hommes. Je ne me serais pas permis d’écrire un tel titre tout seul ! C’étaient les idées de Johanna, que j’ai mises en forme, parce que je maitrise mieux les rimes, la syntaxe etc.
JW : Souvent j’essaie d’écrire des petites phrases… Mais cela reste encore un peu maladroit !
JF : Oui mais c’est une bonne façon de faire des chansons. Quand j’écris tout seul, je procède de la même manière : j’essaie d’avoir une sorte de scénario, il y a bien sûr quelques phrases toutes prêtes, qui sont déjà en vers, qui viennent facilement, et ensuite j’essaie de donner une forme de chanson.

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B : Restons sur l’écriture, on a trouvé quelques ressemblances avec le style et les thèmes des chansons et des poèmes de Boris Vian, fait-il partie de tes influences ?
JF: Je connais très mal Boris Vian, je pense que Johanna connait mieux que moi.
JW : Oui je connais quelques chansons, mais je n’ai jamais été particulièrement influencée pour autant.
JF : Il y a peut-être une certaine acidité dans ce que j’écris que l’on trouve aussi chez Vian.

G : Et de la même façon, Vian avait des influences très américaines du point de vue de la musique (le jazz en l’occurrence) mais écrivait des textes en français.
JW : Nous sommes très influencés par la musique américaine mais nous posons des mots français dessus. C’est ça l’idée de base. Quand j’ai rencontré Jean, on parlait de Spector. Mais pas beaucoup des groupes français.
JF : On dit souvent que les musiciens anglo-saxons chantent n’importe quoi dans leurs morceaux, mais ce n’est pas vrai ! Dimanche à Villejuif [au festival Passer le Périph] on a fait une reprise de Jolene de Dolly Parton, avant tout parce que les paroles sont magnifiques. Dans la country, les paroles sont plus travaillées que dans la pop. Après, comme chez Spector, ce sont des histoires assez déchirantes. Il y a peu de mots, c’est assez simple, mais ce sont des histoires assez dures. Et quand on s’est rencontrés, c’est vers cela qu’on voulait aller. Aussi parce que MAI était un peu plus sophistiqué, parfois difficile à chanter.
JW : Pas forcément difficile à chanter, mais c’était contenu, avec des morceaux qui modulent tout le temps. Je ne pouvais pas m’exprimer vocalement. Même si c’était aussi très subtil et que j’ai beaucoup aimé faire cela. Je co-composais avec Frédéric Fortuny ; souvent j’avais une compo, et lui l’améliorait. Mais on ne s’écoutait pas assez.
JF : Alors que pour notre duo, et c’est ce que voulait Johanna à l’origine, ce sont des morceaux plus chantés, avec des voix qui montent. Donc cela nécessite des compositions plus simples, et plus puissantes aussi. C’est ce qu’on a essayé de faire.

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G : C’est d’ailleurs ce que les Anglo-saxons arrivent plutôt bien à faire : des morceaux simples mais pas « bébêtes » !
JF : C’est l’esprit de Mets-moi dans ta valise : c’est une fille qui supplie son mec de la garder, même si c’est juste pour être « l’ombre de [son] ombre », comme dans la chanson de Brel. C’était vraiment la chanson point de départ de notre rencontre et de notre travail ensemble.

G : Pourquoi avoir contacté Jean au début ?
JW : Pour le côté musique 50’s et 60’s, et aussi pour son chant ! Il y a peu de gens qui chantent vraiment. Je me suis dit que Jean allait comprendre ce que je voulais faire.
JF : On a beaucoup d’influences en commun : la musique américaine des années 50-60 pour faire court.
JW : Jean m’a aussi fait découvrir la country, et moi je connais peut-être plus le jazz.
JF : Oui je n’y connaissais rien du tout en jazz !

B : Sur le chant, c’est vrai que l’on constate que vous vous éclatez vraiment sur scène. Par exemple, en ce qui concerne Jo, sa reprise de Charlie Rich, The Most Beautiful Girl, qu’elle a faite à la soirée de Cléa Vincent aux Trois baudets.
JF : C’est l’exemple typique de grande chanson américaine moitié soul, moitié country, que l’on aime beaucoup.
JW : A propos de soul, on pourrait aussi citer Wendy Rene.

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B : Jean, tu évoques également souvent le Brill Building, et The Shanri-Las.
JF : Le Brill Building était une véritable usine à chansons pop. C’était un âge d’or en fait. Ça a donné Burt Bacharach, avec Hal David, Doc Pomus, Mort Shuman. Ça a donné de très grandes chansons populaires, mais exigeantes aussi. C’était à mi-chemin entre l’artisanat et l’industrie. C’était bien aussi de sortir du mythe de l’auteur compositeur, de l’artiste qui fait tout, et d’aller vers le travail en équipe. Je ne demande pas à une super chanteuse comme Dionne Warwick de faire ses chansons ; si Bacharach lui fait, c’est formidable ! Si tout le monde est au top dans la chaine de production, c’est parfait !
Pour les Shangri-Las, c’est plus le côté mélodramatique qui nous plait, avec carrément les bruits de moto quand le mec a un accident. On a aussi pas mal discuté des Ronettes, les groupes de filles comme ça. Souvent des chansons très déchirantes. Un peu ce qu’on avait en ligne de mire, et il faut dire aussi que ça ne se fait pas beaucoup en France, en tout cas pas ces temps-ci.
JW : Et je pense que ma voix s’adapte naturellement plutôt bien à ce genre…

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B&G : Le chant est une priorité pour vous?
JF : On adore chanter. On chante tout le temps ! On aime beaucoup les Everly Bothers par exemple: ils ont vraiment un art de l’harmonie de voix qui est génial. On retrouve beaucoup cela aussi dans la country. Comme on est tous les deux capables de chanter des mélodies correctement, on travaille pas mal dans ce sens.

B&G : Quels sont les projets en cours ?
JF : On prévoit un album. On va enregistrer avant l’été, ou cet été. On a déjà enregistré des choses, ou mixé. On a beaucoup de chansons. Et on continue à en écrire.
JW : A mon avis, ce sera un EP pour la rentrée. C’est ce dont j’ai envie en tout cas !
JF : Pour les concerts, on sera au Gibus Café le 13 mai. A Londres le 30 mai. Je suis d’ailleurs certain que cela fonctionne mieux de chanter en français à l’étranger, c’est ça qu’il faut faire.
JW : C’est une question d’organisation et de volonté aussi, mais ce n’est pas si difficile de construire une tournée et de monter des concerts. Je l’avais fait à New York : j’avais dix concerts en dix jours !
JF : A Paris, on a plus la culture du cabaret, moins celle du café-concert. Mais cela permettrait aux musiciens qui ne jouent pas dans des salles qui paient au cachet réglementaire de s’améliorer. Les groupes seraient meilleurs. Après, en France l’artiste a un statut particulier, il est souvent mis sur un piédestal. C’est bien, les gens à l’étranger nous envient cela, mais il y a les mauvais côtés : ne pas voir la musique comme un job, simplement, par exemple.

B : Peut-être que le changement de mentalité peut venir d’initiatives comme celle de Marc Desse qui a organisé un festival pop [Passer le Périph’] ?
JW : Oui évidemment, et souvent les gros festivals commencent comme ça !
JF : S’il y avait plus d’événements intermédiaires pour pouvoir jouer, des petits clubs… Mais il y a malgré tout de bons côtés en France, la sécurité de l’intermittence en fait partie.

B : Vous connaissez le Pop In ?
JW : Oui on y a joué, et on va y rejouer !


G : Et des festivals prévus cet été ?
JW : Non. On a fait notre premier concert aux Trois Baudets fin décembre 2013, c’est là que tout s’est mis en place je pense. C’était une soirée consacrée à l’année 1966. Cléa Vincent a écouté nos morceaux, elle a adoré, et elle nous a proposé de faire la première partie. Et ensuite on a fait un ou deux concerts par mois. J’ai contacté des gens, et Jean m’a aidé pour contacter certaines personnes. Nous sommes allés à Bordeaux aussi, je n’avais pas envie de tourner en rond à Paris. Et j’aimerais que l’on s’organise une tournée nous-mêmes, qu’on contacte des petites salles. On n’a pas de prétention là-dessus, nous sommes prêts à jouer partout. C’est une question d’occasion aussi. J’aimerais bien avoir un tourneur qui nous trouverait des dates !

JF : On s’est surtout dit qu’on allait se débrouiller pour faire des concerts dans la mesure où on a des chansons et qu’on sait les chanter. On n’avait pas envie d’attendre d’avoir une direction, et un « projet » comme on dit dans le métier ! A la base on avait le fantasme d’un concert avec plein de musiciens, à la Sonny & Cher, mais vu que ce n’était pas possible, on a décidé de faire des concerts avec des boites à rythmes, une guitare, et les deux voix. Cela a presque tracé une direction pour nous.

by Baptiste et Gérald PETITJEAN
http://ljspoplife.magicrpm.com

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RECITAL EMPHATIQUE de Michel Fau : Carla, Maria, Zaz et les autres – reprise au Théâtre de l’Oeuvre

Céline Dion, Barbara Streisand, Natalie Dessay, Maria Callas, Carla Bruni, Zaz, mais aussi Anthony Hegarty (Anthony and the Johnsons). Toutes les divas sont en Michel Fau. Reprise exceptionnelle du Récital Empathique au Théâtre de l’Oeuvre depuis le 14 mai. 

Après une interprétation remarquée de Quelqu’un m’a dit à la cérémonie des Molières 2011, l’acteur va vous faire passer un printemps parisien raffiné et désopilant.

RECITAL EMPHATIQUE_Michel FAU _Photo (c) Marcel Hartmann Théâtre Maringy
Camille Saint-Saëns, Racine, Jean-Philippe Rameau, Gershwin, Bizet.
Ce que l’on pourrait prendre, à la lecture du programme, pour une farce entre initiés, amateurs d’opéras et fins lettrés abonnés à la Comédie Française, s’avère être un tour de force généreux, intelligent et furieusement jubilatoire.

Le magnétisme de l’interprète du Récital Emphatique qui a connu un succès et des prolongations au Théâtre Marigny en 2012 est sidérant. Le visage de Michel Fau capte, en effet, toute lumière. Face à lui, les spectateurs ne ratent aucune de ses expressions.

Le récital débute par la “Danse des Prêtresse de Dagon” extrait de Samson et Dalida de Camille Saint-Saëns. On se croirait en un autre temps avec ce jeu de voiles au vent. Le pas est maîtrisé, le corps se fait étrangement léger dans ce tour de chauffe.

Le talent de l’acteur, devenu  femme, est de ne pas user d’une garde-robe à la Madonna ou Céline Dion pour donner l’étendue de son répertoire. Deux costumes de scène suffisent pour révéler toutes les facettes des divas convoquées pour ce spectacle chanté, dansé et de haute volée.

Rappelons que lors des premières à Marigny, une grande actrice était dans la salle : Isabelle Adjani. Il était alors très difficile de ne pas remarquer certaines ressemblances entre ce que nous savons de la personnalité et du jeu classique de ce monument du cinéma français et les délicieuses minauderies de l’acteur en scène.
Est-ce que l’actrice avait repéré certains de ses traits en Michel Fau? Le mystère reste entier.

Michel Fau acteur Recital emphatique spectacle salut scene theatre marigny paris

Pour autant, ne nous y trompons pas, ce n’est pas à une parodie mais à un véritable hommage auquel nous assistons. Un hommage à toutes ces femmes qui ont inspiré, séduit et passionné l’acteur. Se dessine le profil d’une Maria Callas implorante, croisée avec une Edwige Feuillère déclamante, avec une pincée de Marlène Dietrich très glam autoritaire, beauté froide.

Notons le savoureux texte de Roland Menou intitulé Méhong B4. Une version pulvérisée, patchwork et internationalisée de L’Amant de Marguerite Duras.

Avant de terminer ce billet, mention spéciale pour la bande-annonce du spectacle qui donne à voir des extraits de la performance mais rien à entendre de la voix de l’acteur. Subtil.

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Récital Emphatique
de et avec Michel Fau

au Théâtre de l’Oeuvre
55, rue de Clichy 75009 PARIS

Du mardi au samedi à 21h30

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Expo MOTION FACTORY : gros plan sur les talents et artisans du cinéma d’animation à La Gaité Lyrique

“Avec des plateformes comme Vimeo, la tendance actuelle est au raccourcissement des contenus. Le summum sera atteint le jour où quelqu’un lancera un GIF capable de nous tirer une larme…” Johnny Kelly

Alors que l’exposition Star Wars n’en finit plus d’attirer les foules pour dévoiler les secrets de tournage de la saga, un autre voyage aussi spectaculaire vient de débuter à la Gaité Lyrique : Motion Factory, les ficelles de monde animé ou les incroyables inventions de réalisateurs de courts et moyens métrages d’animation.

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La palette informatique – qui prévaut pour les effets spéciaux de tous les gros blockbusters américains et pour les dessins animés de made in Disney – n’est ici qu’un outil parmi d’autres pour concevoir des petits bijoux de cinéma. Les techniques varient d’un réalisateur à un autre, d’un projet à l’autre : pâte à modeler, mousse, bois, tissu, papier… D’échelle imposante tel cet adorable monstre aux pattes palmées à taille humaine (créé pour le clip Lilies de Bat for Lashes par Peter Sluszka) ou une série de personnages aussi petits qu’une tête d’épingle (Dot de Sumo Science), sans parler du film conçu en atomes, dans un laboratoire. Bluffant.

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Le commissaire de l’exposition également réalisateur, Yves Geleyn – rencontré lors du vernissage – porte en lui ce projet depuis 5 ans. Pour parvenir à son rêve, réunir les plus grands artisans de l’animation actuelle, il a initié une véritable chasse au trésor. A la manière d’un “paléontologue”, il a eu pour dessein de retrouver décors, personnages et autres éléments de création à l’origine d’oeuvres qu’il considère comme des références du genre. Certaines pièces n’étaient pas sortie de leur carton depuis 2 ou 3 ans. Et pour certains projets, nous ne savions pas s’il restait quelque chose.”

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Alors que Michel Gondry – qui a présenté en avant-première son dernier film Conversation animée avec Noam Chomsky, en écho à l’exposition – réalisait des courts métrages et clips d’animation pour accéder au long, cette nouvelle génération de créateurs illuminés et passionnés vit du format court.

Alors que certains, comme Andrew Thomas Huang se servent du visage d’illustres chanteurs, Tom Yorke ou Björk. D’autres se suffisent de petits riens pour créer comme Mikey Please qui articule des morceaux de mousse blanche et concevant ses films non pas en studio mais dans une cave.  Il a d’ailleurs gagné un BAFTA, prix anglais récompensant le cinéma et la télévision. Son dernier film Marilyn Myller est un vrai chef d’oeuvre sur le travail de création.

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Mais il ne faut pas croire que les cinéastes d’animation sont systématiquement enfermés chez eux ou dans un studio. Le duo Sumo Science (Will Studd et Ed Patterson) a réalisé, par exemple Gulp, un film en stop-motion sur une plage avec une grue et équipé d’un téléphone portable. On vous conseille vivement de voir le résultat juste en dessous.

Cette exposition est une vraie plongée dans des univers de créations tous plus différents les uns que les autres et tous passionnants. Vous découvrirez que l’animation est un véritable sacerdoce qui aboutit à des films emprunts de la personnalité de chacun de leur réalisateur, tantôt poétique, tantôt surréaliste et toujours aussi inspirant.

Le plus interactif : l’équipe de la Gaîté a implanté un studio d’animation dans une de ses salles de projection. Vous pourrez participer, si le temps vous le permet, à la création d’un film en stop-motion. Vous maitriserez la patience mais aussi la joie d’un résultat émerveillant petits et grands. L’imaginaire est décidément partout. Il faut juste prêter de l’attention et exercer son cerveau à rêver.
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Attention : la principale difficulté que vous rencontrerez dans ce parcours, c’est bien de pouvoir tout voir, tout apprécier : les projets, les making of, les films bien sûr. Tout s’entrechoque pour le plus grand plaisir de nos mirettes. Il est donc possible aussi bien de picorer, de fonctionner en zappeur fou ou de suivre le rythme de sa ou son partenaire. So romantic !

Exposition MOTION FACTORY, les ficelles du monde animé

jusqu’au 10 août 2014

à la Gaité Lyrique
3 bis rue Papin
75003 Paris

du mardi au samedi de 14h à 20h
et le dimanche de 14h à 18

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Food – A BRUNCH IN A BAG : un concept original pour bruncher malin le dimanche – par Da Carla au restaurant Marilou

Graphic Designer milanaise et passionnée de cuisine, Carla Traini a proposé son concept de restaurant éphémère lors du « Restaurant Day » qui a eu lieu le 17 février dernier.
Elle a associé ses deux passion la cuisine et le graphisme avec son idée futée de brunch à emporter A Brunch in a Bag. Le succès de cet évènement et l’originalité de son concept ont séduit l’équipe du Marilou qui lui a proposé une résidence chaque dimanche jusqu’au 10 août.

A brunch in a bag by Da Carla Traini Marilou resto fooding foodporn cuisine italienne fraiche a emporter menu dimanche Paris home made
A brunch in a bag
, c’est un concept simple : votre brunch à déguster sur place ou à emporter pour un dimanche après-midi dans un parc ou pour un plateau télé en amoureux. Pour le composer, vous avez le choix parmi des produits frais et cuisinés le jour-même. Et Carla a toujours un tour dans sa poche pour mettre en avant les produits de son Italie natale. Avec l’accent chantant en plus, per favore.

A brunch in a bag by Da carla Traini marilou resto fooding foodporn cuisine italienne fraiche a emporter menu bruschetta dimanche Paris

Si nous mettons en avant cette initiative, c’est que nous avons eu l’occasion de goûter cette formule en février. Initiée dans un appartement, la formule du Brunch in a bag nous a séduit par son originalité. Certes, la formule a un peu variée depuis la première dégustation (bruschetta à la place de la pizza d’origine) mais la base de ce qui vous est proposé est bien là : du frais, du bon, du fait maison !

A brunch in a bag by Da carla Traini marilou resto fooding foodporn cuisine italienne fraiche a emporter menu dimanche tiramisu de ma mama Paris

Pour ceux qui cherchent une alternative aux mondanités parisiennes du dimanche midi, précipitez-vous au Marilou. Au prix de 18€ – très abordable en comparaison  les offres de brunchs parisiens – vous pourrez repartir avec un café ou un thé, un jus de fruit frais, une salade, des bruschettas (à choisir parmi les 3 recettes renouvelées chaque semaine) et un dessert (le tiramisu de “ma Maman”, ou la salade de fruits). Et pour vous simplifier le dimanche matin, vous pouvez réserver votre brunch, version della signora Carla, à l’avance sur le site du Marilou ! C’est plutôt malin.

A brunch in a bag by Da carla Traini marilou resto fooding foodporn cuisine italienne fraiche a emporter menu 11 mai dimanche Paris

Et si par hasard le brunch, sur place ou à emporter, ne vous rassasiait pas, vous pourrez aussi déguster ses burratas et autres planchas.
La seule chose que vous le pourrez pas mettre dans votre bag, c’est le sourire de Da Carla ! Et ça, c’est bien dommage…

A BRUNCH IN A BAG

by Da Carla

le dimanche du 27 avril au 10 août

au restaurant Marilou
8, rue Marie et Louise 75010 Paris
Métro : Goncourt ou République

 

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Prix des internautes du concours photo PARAPLUIE organisé par Wipplay avec le soutien d’United States of Paris

L’équipe du blog vient tout juste de participer à sa première délibération pour l’un des concours photo organisés par le site Wipplay. Ouvert à tous les photographes, amateurs, semi-pros et pros, le thème Parapluie était… de saison.

Nous sommes heureux de publier les lauréats du concours ayant reçu les suffrages des internautes. Et nous avons eu raison de faire confiance à leur jugement et leur oeil. La sélection est réussie.

1er prix des internautes

Boris Vernis

 

2e prix des internautes

Eric Forey

3e prix des internautes 

La Dame du Lac


La compét’ était soutenue par le créateur de parapluies made in France : Kumo Design.

A votre tour de partager vos photos et répondre aux nombreux challenges de l’équipe Wipplay !

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Festival WE LOVE GREEN 2014 – programmation de haut calibre, good food et cadre bucolique au Parc de Bagatelle avec Lorde, Asgeir & London Grammar

Retour très attendu du festival WE LOVE GREEN, après deux premières éditions remarquées, un prix du meilleur festival écolo et une année de pause pour recharger les batteries.

Les 31 mai et 1er juin 2014, le Parc de Bagatelle va redevenir le terrain de jeu printanier, musical et champêtre avec de belles têtes d’affiche Asgeir, London Grammar, Cat Power, Foals, Lorde, Pedro Winter…

Loin de nous de dire du mal de Rock en Seine, mais faut bien avouer que We Love Green est le festival parisien qui garde visage humain et qui fleure bon le respect du paysage qui nous accueille. Ici pas de longue attente pour entrer, pas de bousculade, de poubelles qui débordent et de paella pour 1000 personnes et de scène à plusieurs kilomètres.

We Love Green c’est un festival de printemps et ça se sent. Pour preuve, il n’est pas rare de croiser un festivalier qui demanderait un jour de plus de musique en plein air.
Cette année de belles têtes d’affiche que les festivals s’arrachent et qui s’offrent une pause bucolique au Parc de Bagatelle.

Le chanteur Islandais, Asgeir, présent à la Garden Party de lancement chez Because, à la voix et au charisme incroyable va continuer d’agrandir son cercle de fans avec ce nouveau concert. Alors que miss Cat Power s’offrira un solo qui ne va pas manquer d’être inoubliable.

Le groupe London Grammar, sold out sur ses dates françaises, reviendra nous envoûter avec Wasting My Young Years dont le clip va bientôt atteindre les 10 millions de vues.

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Les ingénieux membres de Little Dragon nous présenteront leur dernier opus Nabuma Rubberband et leur titre hommage à ParisCertains spectateurs tenteront à coup sûr de percer le secret de l’énigmatique et captivante Lorde.

Mais la petite pépite risque d’être Moodoid, groupe de frenchies barrés et talentueux.

A signaler : nouveauté de l’année est la présence de DJ, belles pointures, pour des sets endiablés. Pedro Winter, DJ Spinn, Lunice, The 2 bears ont tous les atouts pour mettre l’ambiance pour les irréductibles qui ne veulent pas aller se coucher.

Côté food : que du bon et du bio. Un conseil : jeûner la veille du festival pour apprécier toutes les saveurs des tartes salées maison de Kluger, sandwichs herbés et autres risottos de La Guingette d’Angèle et carrot cake bio ou pop corn aux mille saveurs de My Crazy Pop.
Le meilleur des brunchs du week-end sera à trouver au We Love Green, parole d’habitués.

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Pour avoir couvert les trois jours de l’édition 2012, notre équipe a un vrai attachement pour ce festival à l’équipe joyeuse, qui a les pieds sur terre et qui aime tout autant les couronnes de fleurs que l’accueil attentif de ses festivaliers.

Enfin, belle initiative : soutenez les collectifs chargés de la conception de scénographies originales. Vous n’avez plus qu’une poignée de jours pour être un spectateur actif du festival. De belles contreparties sont au programme : Projets We Love Green sur KissKissBankBank

WE LOVE GREEN 2014
31 mai et 1er juin
de 13h à minuit

au Parc de Bagatelle
PARIS

 

billet à la journée ou forfait 2 jours
tarif réduit pour les étudiants sur présentation de leur carte Imagine-R

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Bon plan : BUS, la Biennale Urbaine de Spectacles, foule le bitume à Pantin, Aubervilliers et Romainville du 15 au 18 mai 2014

Les beaux jours arrivants, les artistes de rue sont de sortie. La Ville de Pantin et la coopérative De Rue et De Cirque/2r2c lance la deuxième édition de la BUS, la Biennale Urbaine des Spectacles. Forte d’une première édition galvanisante, l’édition 2014, toujours gratuite dans son intégralité, s’étend cette année jusqu’à Romainville, sans oublier Aubervilliers.

Des installations collectives, des échafaudages artistiques, des constructions éphémères, des spectacles sur les places : les rues, les places et le public sont de nouveau au coeur de la cité et tout cela pour servir le thème : Villes en Chantier.
Ce titre permet d’appréhender les mutations qui secouent la petite couronne parisienne (projets de rénovation urbaine, nouveaux logements sociaux, recréation de centre-ville…).

Il permet aussi d’enchanter  les spectateurs avec des propositions de spectacles qui jouent avec la ville et ses espaces, de proposer des installations participatives au public, de mettre en avant le DIY « Do It Yourself », d’interroger la ville créative.
Car la BUS crée un échange original avec le public en l’incluant aux projets artistiques. En effet, aux spectacles dans la rue sont associées de nombreuses formes participatives (concepts et espaces de convivialité).

La BUS  c’est une vingtaine de spectacles du 15 au 18 mai. Mais c’est aussi de nombreux ateliers autour de l’urbanisme et de l’environnement. Pas besoin d’être comédien ou plasticien pour venir, il suffit d’être motivé(e) !
Pour participer à ces ateliers, inscrivez-vous vite : culture@ville-pantin.fr

Les visites de chantier vous permettront de vous retrouver dans des espaces encore en friche, rarement ouverts au public. Chaque compagnie propose une vision singulière, désopilante, poétique, un peu loufoque et toujours joyeuse dans ces lieux à découvrir tous ensemble.

Le choix est large.

COOPERATZIA, LE VILLAGE mené par le collectif  de 5 danseurs–jongleurs G. Bistaki construit son spectacle «in situ» en fonction des lieux où il est accueilli. La troupe propose à des volontaires de participer. Dès le 11 mai, des ateliers seront mis en place pour constituer un groupe d’amateurs qui viendra jouer avec les membres au cours de deux représentations.

La Fausse compagnie qui aime recycler pour fabriquer des objets sonores, vous proposera une virée musicale aussi imprévisible et cocasse que sensible et lumineuse.

Les Arts Oseurs, avec Magyd cherfi (du groupe Zebda), s’empare d’une poésie du réel.  Ça parle de lui mais surtout de nous, de nos identités de nos France(s), de nos hontes, de nos petites fraternités… Autour d’une comédienne, d’un peintre et d’un musicien, nous sommes invités à vivre, le temps d’une déambulation, la ville d’un autre que soi.

Le Collectif Yes We Camp qui a pris part aux spectacles de Marseille, Capitale européenne de la culture, en 2013, pose ses valises à Aubervilliers et au bord du canal de Pantin. Il propose la construction collective d’une structure à étages, avec buvette, ateliers vélo et fabrication d’objets.

Vous aurez compris BUS, la Biennale Urbaine des Spectacles de Pantin, c’est beaucoup d’autres spectacles et ateliers pour tous et toutes, petits et grades.
Pour découvrir le programme complet, il vous suffit de cliquer ici

Et n’oubliez pas, tous ces spectacles sont gratuits !

Vivre et créer ensemble, c’est tout l’enjeu de la BUS version 2014 !

La BUS # 2

Villes en chantier
Du 15 au 18 mai 2014

Un projet imaginé par la Ville de Pantin et la coopérative De Rue et De Cirque (2R2C).
En partenariat avec les Villes d’Aubervilliers et de Romainville

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100 % PARIS & Situation Rooms : deux propositions théâtrales originales à la Grande Halle de la Villette – concours

Evénement du 16 au 25 mai 2014 avec le collectif berlinois Rimini Protokoll pour deux spectacles originaux et collaboratifs. 100% PARIS et SITUATION ROOMS redistribuent les cartes de la création scénique contemporaine à la Grande Halle de la Villette.

Ne tardez pas trop à prendre vos billets car les expériences que vous allez vivre risquent de vous marquer durablement.

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Tout d’abord, la proposition 100 % PARIS a l’ambition de tirer le portrait du parisien. Au total 100 personnes, 100 parisiens et parisiennes aux profils variés représenteront les plus de 2 millions d’habitants de la capitale. Pari fou ?
Pas si sûr car l’expérience a déjà fait des émules à Berlin, Londres, Melbourne ou encore à Vienne. Et poursuivra sa tournée mondiale après son passage à la Villette.

A partir de statistiques élaborées à l’aide de questionnaires précis sur les habitudes des parisiens, leur mode de vie, de consommation et leur mobilité, le spectacle prend forme, différent d’une ville à une autre.
S’ajoutent les interprètes, tous amateurs, recrutés et dirigés par le collectif.

Un moment d’échange unique en son genre pour les spectateurs qui sont mis à contribution avant et pendant le spectacle et qui auront la chance de faire la rencontre de parfaits inconnus.

“Et toi, es-tu Parisien ?” La réponse à cette question est à trouver sur la page Facebook de la Villette.

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La deuxième proposition se joue en solo. Muni d’un casque et d’une tablette numérique, vous allez devenir à la fois spectateur et interprète de Situation Rooms, aux côtés de 19 autres participants.
Le sujet, plus grave, vise à interpeller le public sur le trafic international d’armes. Ces armes anonymes qui détruisent des vies, tuent et mènent au chaos dans de nombreux pays à travers le globe.

Digne d’un véritable jeu de rôle, le spectateur va être amené à interpréter un journaliste de guerre, un médecin ou un trafiquant… ; le récit étant porté par le témoignage de chaque protagoniste. L’expérience ne laisse pas indifférent et pousse le spectateur à une véritable réflexion sur l’état du monde en temps guerre, à travers des parcours individuels forts.

Certaines séances sont déjà complètes – notamment celles du 16 mai. Réservez vite !

 

CONCOURS !

Nous vous faisons gagner des invitations pour le spectacle 100% PARIS, le vendredi 16 mai à 20h30.

Pour participer, répondez à cette question :
Citez-nous une ville européenne où a été présenté le spectacle 100%. Indice

Envoyez-nous votre réponse par mail accompagnée de vos prénom et nom (avec 100% Paris en objet) à : usofparis@gmail.com

Les gagnant(e)s de 2 places  seront tirés au sort parmi les bonnes réponses et recevront un mail leur confirmant leur lot.

Bonne chance à toutes et à tous !

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Création de concours facebook

 

100 % PARIS
à la Grande Halle de la Villette
du 16 au 25 mai 2014

Vendredi et samedi à 20h30
dimanche à 16h30

SITUATION ROOMS
à la Grande Halle de la Villette
Du 16 au 25 mai 2014

Tous les jours à 13h, 15h, 17h, 19h et 21h
Déconseillé aux moins de 14 ans

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Evènement : L’Ultra Bal le vendredi 30 mai – rendez-vous éclectique, convivial & musical au Pan Piper à Paris

On a tous plus ou moins connu les bals version old fashioned. Qu’ils soient populaires, des pompiers ou musette, ces moments de rencontres restent toujours des moments de convivialité et de fête.
L’Ultra Bal sort l’accordéon de sa naphtaline pour créer un vrai moment festif et un rendez-vous social majeur. Ambiance à la cool, décomplexée de l’instrument, histoire de faire de belles rencontres sur scène et sur la piste, le vendredi 30 mai au Pan Piper dans le 11e.

Quel est le principe de l’Ultra Bal ? Mixer des classiques du bal d’antan et des titres plus actuels. Le tout dans des réorchestrations pointues, mêlant dubstep, valse et reggae ou madison et transe, d’un interprète à la voix grave et suave à cinq chanteuses reprenant chaudement un tube des années 50.
L’aventure a commencé à La Java pour des dimanches anti-grise mine. Fort de ces soirées originales accueillant à chaque fois de nouveaux invités, de passage, la petite troupe s’offre une nouvelle salle.

C’est donc une expérience unique qui vous est proposée, avec pour maître d’œuvres des artistes qui n’ont plus à démontrer leur talents : Fixi du groupe JAVA, Zaza Fournier, Alexis HK, Flavia Coelho, ou encore Karimouche.

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Le spectateur/danseur vit avec l’Ultra Bal une soirée de fête, en s’abandonnant progressivement aux rythmes mouvants, aux pas imprécis et aux bras inconnus…
Le maitre mot de la soirée sera : bonne humeur et chaleur !

Un évènement que nous recommandons particulièrement aux amateurs de découvertes musicales mais aussi aux parisiens d’adoption fraichement débarqués dans notre capitale et aux étrangers qui recherchent des soirées décalées et propices aux nouvelles rencontres amicales. A 15 euros le ticket d’entrée, il serait dommage de s’en priver.

Surtout que les petits plus côté restauration sur place ont fini de nous convaincre. Les assiettes de fromages et vins de producteurs bio à prix doux finiront par vous entrainer dans la danse.


CONCOURS

 

Tu ne rêves pas, nous t’offrons des invitations pour L’Ultra Bal au Pan Piper , à Paris, le 30 mai prochain. Tu n’oublieras jamais cette soirée, tu peux nous croire !

Pour participer, réponds à cette question :
Cite nous un des artistes participant à L’Ultra Bal. Indice

Envoie-nous ta réponse par mail accompagnée de tes prénom et nom (avec Ultra Bal en objet) à : usofparis@gmail.com


LE CONCOURS EST TERMINE. MERCI POUR VOTRE PARTICIPATION !

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L’Utra Bal

Vendredi 30 mai 2014 à partir de 20h30

au Pan Piper
2-4 Impasse Lamier
75011 Paris

 

Page officielle de L’Ultra Bal sur Facebook : www.facebook.com/lultrabal

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