Le Casse du siècle : l’enquête démente de la Lock Academy

Brillant ! Il faut être brillant !” voilà comment Delphine résume la nouvelle aventure signée Lock Academy : Le Casse du Siècle.
La USofParis crew s’est une nouvelle fois frottée à une énigme bien ficelée du Professeur Lock.
Avec tous les avis lus sur cette nouvelle salle depuis son ouverture le 6 août, l’attente était forte.
Résultat : une claque !

Invités à visiter le Musée de l’Académie, c’est la panique à votre arrivée. Sa pièce maîtresse Le guide des détectives vient d’être dérobé. Encyclopédie renfermant tous les secrets des grands enquêteurs, si elle tombait dans de mauvaises mains, le crime parfait pourrait être réalisé. Il faut absolument le retrouver au plus vite !

le casse du siècle Professeur Lock Academy avis critique escape game photo by Blog united states of paris

A peine entrés, pas le temps de s’attarder sur le décor minutieusement construit. L’implacable chrono commence à défiler.

Le Casse du Siècle

Parmi les reliques des grands enquêteurs (le violon de Sherlock Holmes, le manteau de Miss Marple, la pipe de Maigret… et même les sucettes de Kojak, oui oui !) il va falloir trouver les indices permettant de résoudre les énigmes. Tableaux, cartels explicatifs, objets : ici tout est potentiellement utilisable.
Qui n’a jamais rêvé d’être enfermé dans un musée et de pouvoir toucher tout ce qu’il veut ? #Joie

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La volonté de la Lock Academy ? Casser les codes et les réflexes des escape-gamers chevronnés. Il aura fallu 7 mois de conception pour y arriver et mettre nos nerfs à vif.
Même si la fouille n’est pas la partie majeure de cette salle, elle a tout de même son importance. L’observation et la réflexion seront quand même nos véritables alliés pour mettre la main sur le guide.

Dans une salle beaucoup plus vaste que les deux autres énigmes, on retrouve avec plaisir les ressorts qui font la force de la Lock Academy : un scénario très travaillé, un mélange de mécanismes hightech et de pièges traditionnels plus mécaniques et, bien sûr, les vidéos et textos du Professeur Lock qui nous guident durant l’aventure.
De décodages en manipulations (et en rebondissements), nous déroulons le fil de l’histoire : est-ce que nous arriverons à stopper (ou pas) le voleur ? #20%deRéussite

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Notre équipe est passée à 3 minutes de boucler cette enquête.
On sait très bien où le temps nous a échappé. #TimeOut
On pensait que ne pas sortir d’un escape serait frustrant. Surprenant : il n’est est rien !
Cette aventure est brillamment réalisée et, du coup, elle comble toutes les attentes d’un escape-gamer.

L’avis d’USofParis

Entre joueurs novices, initiés et chevronnés : voilà une équipe parfaite pour un avis éclectique.
#Débrief avec Delphine, Christine, Ludovic, et Georgia enceinte de 4 mois et 1/2 qui nous ont accompagnés.

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Les novices :
On n’a pas été tendre avec celles qui découvraient pour la première fois une salle d’escape game. Cette enquête est vraiment complexe.

C’était vraiment difficile. Y’a plein de choses que j’ai pas capté.” Mais pour Delphine cette première lui a “donné un max d’adrénaline. Je n’ai pas vu le temps passé !
Pour Christine (du blog Thêatre côté coeur) “C’est excitant et challenging. Il faut s’écouter, s’organiser pour réussir.”
“La cohésion de groupe est hyper importante
” renchérit Delphine. Et on l’approuve à 100 %. Communiquer et s’écouter est vraiment capital pour avancer dans la room.
“Comme les hôtesses de l’air, il faut toujours passer après l’autre pour vérifier que vos partenaires n’ont pas raté un indice” un très bon conseil signé Alex qui a l’habitude des avions !

Les initiés :
Chacun des deux a eu une expérience différente : l’un, un escape game nomade très classique by Colock, l’autre, la salle Très Cher Lock de nos hôtes du soir.

Ludovic a adoré le “joli scénario, fluide. J’ai bien rigolé“. Et à la différence de sa première aventure, il assure : “Je suis content qu’il n’y ait pas de cadenas“. Georgia est restée “bluffée par la technologie” tout en passant un “super moment entre amis“. Malgré tout elle dit aussi : “il ne faut pas compter sur ses captivités cognitives mais plutôt sur ses intentions. J’étais incapable de réfléchir

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La Lock Academy nous plonge dans un film d’action.

On rejoint totalement Ludovic qui résume parfaitement l’univers du Casse du Siècle : “Il y a un côté James Bond qui est top“. C’est vrai qu’avec les énigmes et les mécanismes mis en place, on pourrait se croire dans un scénario de 007, de Mission Impossible ou de Ocean’s Eleven ! #Kiff
Seul gros regret de Delphine à la fin : “Quand je me suis sentie molle (à cause du jetlag), j’ai commencé à regarder le décor. Ça mériterait de pouvoir y rester à la fin, il y a plein de détails”. Là aussi on est totalement d’accord !

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Salle plus grande, narration encore plus construite, mécanismes plus complexes, univers vraiment immersif, Le Casse du Siècle de la Lock Academy est vraiment un must, en seulement 1 mois d’exploitation.
On ne la conseillera pas vraiment à une équipe composée uniquement de débutants. Ils risqueraient de ne pas aller très loin dans l’histoire (même s’ils prendraient leur pied).
Alors pour prendre une nouvelle dose d’adrénaline et ressortir de la salle tremper de sueurs et rempli d’émotions : faites une pleine confiance (une nouvelle fois) au Professeur Lock !

Lock Academy

25 rue Coquillière
75001 Paris

3 salles :
Le Crime était presque parfait : de 3 à 5 joueurs – Réussite 50% – Cette énigme est accessible aux personnes à mobilité réduite.
Très Cher Lock : de 3 à 5 jours – Réussite 40%
Le Casse du siècle : de 4 à 6 joueurs – Réussite 20%

7 jours sur 7 de 10h à 22h
Pour d’infos, sur le site : Professeur Lock

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Kendra Morris interview très complice pour son EP Babble

Après une longue attente, Kendra Morris est enfin revenue à Paris pour la promo de son EP, Babble, il y a quelques semaines, accompagnée de sa petite famille. Rayonnante, généreuse, elle nous livre sans filtre les secrets de composition de son nouveau disque, tout en se confiant sur sa relation particulière avec notre ville et les Frenchies, plus fidèles que jamais.

INTERVIEW / KENDRA MORRIS

 

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Selfie exclu #UsofParis

UsofParis : Es-tu toujours la même artiste, la même auteure, chanteuse depuis cette belle histoire d’amour et ta fille ?
Kendra Morris : Je pense que je le suis plus encore. J’ai eu tellement d’expériences et je pense aux choses différemment. J’aborde vraiment la vie autrement. Je pense plus à la soudaineté des choses. Je suis définitivement plus responsable, je n’ai pas le choix.

Es-tu toujours optimiste pour autant ?
Je le suis. Il y a de nouveaux challenges mais il y a toujours de nouvelles voies pour aller au bout de ce que vous souhaitez. Je suis encore plus ouverte et prête à tester de nouvelles choses, à travailler avec de nouvelles personnes. A favoriser la chance autrement.

As-tu le temps de penser à ta musique, de faire de nouvelles chansons tout en t’occupant de ton enfant ?
Oui. En fait, j’ai remarqué que même si d’une certaine manière j’avais moins de temps, car je m’occupe d’elle, quand je suis seule je suis vraiment beaucoup plus concentrée qu’avant.

Dans ton travail ?
Depuis sa naissance, j’ai commencé le montage vidéo. J’ai créé la couverture de l’EP et j’ai conçu l’univers visuel des vidéos pour chaque chanson. Parce que ma manière d’écrire est très visuelle. Je vois des couleurs, des ambiances pour chacune d’entre elles. J’ai grandi entourée d’art. Mon père était illustrateur, donc ça a toujours fait partie de ma musique aussi. J’ai ainsi commencé à trouver des vieux films et différents clips et à les monter. Quand on les joue en concert, un projecteur diffuse les films.

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Donc pour le clip de la chanson Avalanche, l’idée était de toi ?
C’était un des visuels que j’avais conçu. J’ai demandé de l’aide à un ami. J’avais un vieil écran de projection chez moi et mon idée était de me filmer devant l’écran, avec cette projection.

Quand as-tu commence à écrire ces nouvelles chansons ?
Il y a un, voire deux ans. Je prends toujours du temps pour être sûr d’aller en studio deux à trois fois par semaine pour écrire. Toujours.
Même à l’arrivée de ma fille, Opal, j’avais besoin d’aller en studio.
Alors qu’elle n’avait que quelques semaines, il fallait que je sois au studio plusieurs heures par jour, simplement pour écrire. J’ai certainement écrit ces chansons lors de la première tournée.
Le Snitch a été influencé par la France.

Vraiment ?
Elle a été conçue, écrite, autour du concert au Café de la Danse à Paris, en novembre. On l’a même peut-être jouée. Le groupe entier a participé à la composition musicale.

Que peux-tu me dire sur le titre Woman ?
Je l’ai écrite par rapport à une émotion forte. Je l’ai écrite en studio – que j’appelle mon “Instagram Lab”. Sur mon téléphone, je regardais le profil d’une fille, elle m’obsédait.
Elle était belle. Elle faisait comme toutes ces filles qui font des selfies, sous tous les angles, elle est cool.
Et à l’époque, j’étais avec mon petit ami qui est devenu mon mari un peu plus tard. Et j’ai pensé à un truc dingue : “Et s’il l’avait rencontrée ? Serait-il tombé amoureux d’elle ?
Je me comparais à elle. Je le fais souvent, avec d’autres profils de filles sur Instagram, qui est finalement un monstre. C’est devenue l’obsédante culture de la vanité et de ces choses superficielles.
Les premières paroles me sont venues en deux secondes. J’étais avec Jérémy, je lui ai proposé de commencer par un accord et ensuite d’essayer de trouver la suite du texte”. Et le chœur était : “y’a toujours une fille qui me fait sentir que je suis une merde”.
Mais je me suis sentie, paradoxalement, tellement bien au studio. Je me disais : “Même si je me compare à elle, j’ai réussi à faire une belle chanson !

Que retiens-tu de ces allers retours en France, la promo, les concerts ?
Chaque fois que je reviens, je me sens de plus en plus à l’aise. J’attrape au passage un peu plus de mots français. Je commence à mieux comprendre la culture aussi. Je me sens un peu plus comme chez moi.

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Quel type de relation as-tu avec tes fans ?
Je les aime et même si nous sommes loin, il y a un lien entre nous. Comme lors des attaques, j’étais en pleurs, parce que je connais beaucoup de personnes ici maintenant.
La musique est vraiment une partie importante de la vie des Parisiens et des Français.
Je suis touchée aussi qu’à chaque fois que je poste un message en ligne, il y a toujours un fan pour m’écrire : “Viens à Paris !

Qu’est-ce que ne sait pas le public français à propos de toi ?
J’aime sentir les choses. J’adore. J’ai un grand sens de l’odorat. Je ne sais pas si ça vient de mon nez.

Tu as un très beau nez !
Où que j’aille, il sent les choses. Et je sais que je garde en mémoire ces odeurs, qu’elles sont liées à des souvenirs. Comme l’odeur du parfum. Je pourrais reconnaitre l’eau de Cologne de mon petit-copain de lycée si je la sentais dans la rue. Et ça me projette à cette période. J’ai pourtant oublié son nom, mais pas son odeur.

Interview by Alexandre

Kendra Morris Babble EP cover woman avalanche album Boombow Amerika

Kendra MORRIS
EP Babble

Merci à Aude Saucey pour la traduction

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Lindsey Stirling: selfie-interview & message for her french fans

Lindsey Stirling is a violinist of a new kind. In 2010, she arrived at the final-quarter of the famous show America’s Got Talent ’s, but she lost in front of an uncompromising judge who said : “I don’t think what you’re doing right now is enough to fill a theater in Vegas.
Since then, she has more than 8 million of subscribers on YouTube with a billion views and filled theaters all around the world.
After several sold out dates in Paris, she returns with a new album Brave Enough, a concert for La Fête de l’Huma, the 9th of September and a France tour in 2017.

LINDSEY STIRLING / SELFIE INTERVIEW

Lindsey Stirling selfie original exclusive for usofparis blog Brave enough new album © united states of paris
Exclusive selfie for UsofParis

 

UsofParis: Your new album Brave Enough is an album full of emotions. What was your state of mind a few days before the release?
Lindsley Stirling: All kinds of emotions: Nervous, excited, scared, love the album… then I think the album is no good, then I love it again. I’m so glad it’s finally out.

What is the best memory that you have about America’s Got Talent in 2010?
I made some nice friends with the other contestants.

Did your experience there open some doors for you?
This is how I feel about America’s Got talent. It was Horrible; the single most Humiliating moment of my life. After I got kicked off the show, no doors opened for me, and the world forgot I had existed. My 15 seconds of fame had been just that… 15 seconds and then it was over. However after I got over the shame and fear of getting on a stage again (which was hard to do) I realized I wasn’t ready to give up. I had this inner strength telling me that I could do it and nothing anyone said was going to change my mind. To be honest I dont think to have that same inner strength any more but it was given to me when I needed it. I believe god gives us power when we are standing alone on a journey that we are meant for. My fear and hurt turned into extreme motivation. I wanted to prove America’s Got Talent, and Piers Morgan wrong.
I’ve learned that any time you chase after your dream you are accepting the fact that you will fail at some point. People don’t succeed because they never failed, people succeed because they learn how to rise from their falls. My career started to take off when I discovered Youtube.

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You have millions of views on YouTube! Is it easy to keep in touch with your community with the success and your tours?
I do my best. I think touring helps because I get to meet my fans and see their faces. Also, I do my very best to show my fans the real me through social media. My instagram feed is full of silly pictures and non edited photos of me being me. I do my best to respond to their comments and like their pictures. I have so many amazing supporters that do so much for me that I feel like I could never do enough to thank them all but I do my best.

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Disney chose the song Something Wild to be on the soundtrack of Pete’s Dragon. I imagine that is something huge. How did you learn this good news and how did you feel when you heard about it?
Disney approached me and asked me if I would be interested in seeing an early version of the film and writing a song for it. I have always wanted to work with Disney so this was a dream come true for me. When I found out that they liked it and wanted to use it I was exstatic and I immediately went out and got a chocolate milkshake to celebrate.

Did you say yes without any hesitation? Have you seen the original movie?
Yes, I grew up watching the original.

If you had the opportunity to be writing music for another Disney’s movie, which one would it be?
It would be one of the cartoon remakes like Aladdin.

You’ve done a lot of featurings with a lot of artists. Is there any other artist you would like to collaborate with?
P!nk

You did a lot of shows in Paris. Do you have an anecdote, a funny story to share of something that happened here?
We did a live song on the spot on stage one night. The audience was doing the “Olay, olay olay” chant and my key board player and drummer just started jamming along. I joined in and we had a fun jam session with the audience.

Do you know a secret place (restaurant, street, shop) you love or is there anything unusual that you may like about Paris?
I love l’As du Fallafel!

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Have you ever thought about playing your music in the Parisian subway?
That’s a fun idea. Maybe I’ll do that.

You have a big fan base in France, do you have a message for them?
All the time. My French Facebook fan group is amazing and I love them and hear from them. I have many french fans that I recognize there faces and I look forward to seeing them every time I come to France. They often even dress up in costumes from my music videos when they come to the shows.

Who is your latest musical crush?
I love Classic by The Knocks

Interview by Joan & Alex

Lindsey Stirling Brave Enough new album cover Capitol Music

Lindsey Stirling

new album Brave Enough
(Capitol Music)

France tour
9 sept: Fête de l’Humanité Festival

23 march: Zénith, Lille24 march: Halle Tony Garnier, Lyon
25 march: Zénith, Paris
27 march: Zénith, Nantes
29 march: Zénith, Strasbourg
31 march: Zénith, Toulouse

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Kendra Morris: selfie-interview about Babble, Paris, her fans

Kendra Morris was back in Paris to promote her new EP, Babble. Radiant, generous, she shares with no filter the secrets of the composition, while confident about her special relationship with our city and Frenchies more loyal than ever.

INTERVIEW / KENDRA MORRIS

Kendra-Morris-selfie-interview-Babble-EP-exclu-united-states-of-paris-blog

UsofParis : Are you still the same artist, the same writer, the same singer since your beautiful love story and your baby?
Kendra Morris: I think maybe even more like, you have so many more experiences and I think about things in a different way now. You really start to think about life in other terms. I’m just thinking more about suddenness of things. Definitely more responsible, ’cause I have to be.

But, are you still optimist?
Definitely an optimist. Yes, there’s new challenges and things are different but there’s always another path, there’s always another way to get to where you want to go. I’m definitely even more so open to try new things, working with other people, like… taking chances.

Do you have time to think about your music, your new songs when you have your child to take care of?
Yeah, actually something I’ve noticed about having a child is that even though in some ways I have less time, all of my free time I am so careful about, I take all of my free time and I really focus. I’m more focused than I’ve ever been and you know…

In your work?
Something that I started doing since having her is, I started editing videos. I’m creating this visual, like visual videos that go with each song. Because the way I write is a very visual thing. I see colors and the moods of the song. I grew up around visual arts, my dad being an illustrator, as well, so that’s always been a huge part in music for me. So I started finding these old videos and different clips and editing them to the songs, and then when we play live we have a projector where we do our projections.

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So, Avalanche, the video clip was your idea?
That was one of the visuals I did and then I had my friend come over and I have an old like, 1950’s projection screen in my apartment and, like I said, my idea was to film myself in front of the projection screen and use that footage that I put together. And so I’ve been putting the Woman visual that’s up. That was one of the videos I did also and I’m going to put all of them up like, Cry Sometimes has a lyric video. That was one that I use old footage of skyline.

When did you write these new songs?
It spanned… It’s weird, I know, like with Banshee I wrote Banshee about a relationship, over the course…
I think I wrote it over a year or two and this was the same. I think I wrote it over two years. I started really writing because something I always take time is make sure to go to the studio two or three times a week to write. Always. Even when I first had Opal, when she was weeks old I would go to the studio. As soon as I was healthy enough, and I was spending two… a few hours a day there, just writing, working on these songs, but I started on these songs probably around the first tour, here. Because Le Snitch was influenced by France.

No? I want to know!
That was written around the time of the tour we did where we played at Café de la Danse. I think we, maybe, might have played it then. We wrote it right between that November show that was played in, ’cause this was a song where the whole band had to do the instrumentation on.
The sound, everything sonic in it, is very much influenced by France and Paris.

What about Woman? I love this track.
I wrote that one so fast ’cause I felt so strong about it. I wrote it in the studio one day. I call it the “Instagram lab” at home. I was on my phone and I had started obsessing about this other woman.
She was a beautiful…You know, girls on Instagram that took all these selfies and look right in every angle and I was just looking at her and I had started being like: “She is so cool…” You know, – he was my boyfriend at the time, now he’s my husband – “If he ever meets her, what if he falls in love with her?” Crazy thoughts.
It was just me comparing me, like finding… comparing myself to her. It’s not just this person. I do this all the time. We’re always feeling inadequate and then I started Instagram is a monster. It’s become this whole cultural obsession with vanity and these things that are all gonna fade.
The chorus came to me, like, in two seconds. Jeremy was fiddling around and I was like: “What about this chords and why don’t we try and find the lyrics?” and the chorus was: “Always gotta be a woman making me feel like shit.”
I actually felt so much better when I left the studio that day. I was like: “Even if I keep comparing myself, I got a really great song out of this.

Did you learn something, or what did you learn by coming to France, for the promotion, for the shows?
Each time I come back here, I feel more and more comfortable, here. I pick up a little more of French, of the language each time. A bit of understanding the culture more. I feel like more at home.

Only for #UsofParis
Only for #UsofParis

What kind of relationship do you have with your French fans, and with the French audience?
I think it’s bittersweet, like, I love them and yet we’re so far away, in some way but, like, after the Paris attacks I remember, I was, like, in tears that day because I know how much you guys… music is such a huge part of Parisians’ life and the French’s life.
Every time I do any sort of post on line, I have my French fans say: “Come to Paris, come here!

What is the best place in Brooklyn, where you live?
I’m in Greenpoint. Sometimes it’s just riding the subway. As weird and bananas… but sometimes it’s nice to get on there, especially in the summer when there’s air conditioning. And you just kind of zone out, people watch and there’s all kinds of everything, everybody you can think of. You just can sit there, and your phone doesn’t work, you’re just underground and whizzing through the city. The New York subway is another, like, you would get off on the platform and someone is playing amazing music, you get off on another platform and someone has crapped their pants…

What the French audience does not know about you?
I love smelling things. I love… I have a great sense of smell, I don’t know if it’s because of my nose…:-)

You have a beautiful nose!
Everywhere I go I smell things, and then I think I store them in my head because that’s where I drop all my experiences. Sometimes, like the smell of perfume. I’ll recognize the cologne from my high-school boyfriend. If I’m walking down the street, and it takes me back to being in the time period. I just forgot his name, but, see, I always remember the smells.

Interview by Alexandre

Kendra Morris Babble EP cover woman avalanche album Boombow Amerika

KENDRA MORRIS
EP Babble

 

Thanks to Aude Saucey for translation

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Paris Design Week 2016 : parcours euphorisant !

8 jours, 200 lieux, vernissages et anniversaires, 7 pays à l’honneur et initiation au slow design. La Paris Design Week 2016 va faire vibrer la ville et prouver que Paris a sa place sur la scène internationale de la création toute l’année.
Du 3 au 10 septembre, il n’y aura qu’un hashtag à suivre : #PDW16 pour découvrir toutes les pépites du parcours.
En tant qu’ambassadeur cette année, voici ma sélection à la subjectivité totalement assumée.

now le Off Paris Design Week 2016 tout l esprit de Maison et Objet Les Docks Cité de la mode et du design

Now! le Off : the place to be

S’il n’y avait qu’un seul lieu à visiter – et ce serait dommage de ne pas profiter des autres – direction les Docks – Cité de la Mode et du Design.
Avec now! le Off, votre bain de design sera total. Plus d’une centaine de créateurs internationaux, un parrain prestigieux Eugéni Quitllet, designer de l’année 2016, le focus sur la lauréate du Rado Star Prize, Élodie Rampazzo et des allées entières d’inspirations tout azimut, d’idées brillantes. Seul risque : la de perte totale de toute notion de temps.

Nomade, console/bureau modulable personnalisable par Élodie Rampazzo
Nomade, console/bureau modulable personnalisable par Élodie Rampazzo

La sélection a été concoctée par Chantal Hamaide, rédactrice en chef du mag Intramuros. Autant dire que ce sera aussi pointu, qu’excellent et grand public.
J’en pince déjà pour la table sinueuse Ferrum et pour l’applique lumineuse d’Audrey Lacroix.
Au fait, les visiteurs-ses auront leur mot à dire et pourront voter pour élire l’un des 7 projets qui concourent pour le Rado Prize France 2016 – Prix du Public. Remarquez leur photogénie.

Paris Design Week 2016 now le Off portraits designers concours Rado Star Prize France 2016 Prix du Public Alexandre Dubreuil Claudio Gatto Léa Bart Lison Barbier

Slow-design : valoriser la main

Ce n’est pas la course folle du monde qui ralentit. Non, la Paris Design Week offre un focus sur la main de l’artisan à travers tout le parcours.
Le lin sera à l’honneur. Ambassadrice du développement durable, cette matière est modulable à souhait. Et les innovations n’ont pas fini de nous montrer tout le potentiel que les créateurs peuvent en tirer.
Pour se frotter au lin, rendez-vous au showroom éphémère de la Chambre des métiers et de l’artisanat de Paris (1er).
Autres mains d’artisan à ne surtout pas manquer : celles de Pietro Seminelli, incroyable dieu du pli que les couturiers adorent. Il présentera ses créations à la boutique Y’s (Yohji Yamamoto).

Suspension Ameluna, Artemide et Mercedes-Benz Paris Design Week 2016 parcours les lumières de la ville et de la cité

Lumières sur la Paris Design Week

Cette édition sera lumineuse ! Grâce à une première : les spécialistes es éclairage et luminaires vont cueillir les visiteurs à travers des scénographies, dialogues et innovations captivants. De quoi bluffer vos followers en continu.

Paris Design Week 2016 house of games coworking Kwerk oie lumineuse hôtel Plaza Athénée Madone chaises à bascule planches de skateboard Madone

Have some fun!

Chaises à bascule et délires géométriques chez Colette, skateboards, oie lumineuse, jeux en tout genre, le parcours de la Paris Design Week s’amuse aussi en dégainant la carte du ludique. Les bambins n’auront qu’une envie : vous accompagner !
House of games sera l’occasion de faire enfin votre entrée à l’Hôtel Plaza Athénée – qui participe pour la première fois à l’événement – pour découvrir l’audace de la marque Ibride. Le prétexte est tout trouvé pour fouler le tapis rouge.
Mais aussi de découvrir l’espace de coworking Kwerk. Design, fonctionnelle, inventive et aussi lieu de détente, cette adresse de la rue de la Bienfaisance dans le 8e a des atouts indéniables. Les start-ups, travailleurs indé et autres pros vont avoir du mal à résister.

Chaise Design #1, en matériaux composites à base de fibres de lin, Revology Paris Design Week 2016 now le off docks cité de la mode et du design

7 pays à l’honneur

Je mise sur le Centre Culturel de l’Ukraine dont l’intitulé de l’expo invite à la poésie : Les vols dans les rêves et la réalité. Ce sera l’occasion de présenter le travail de 6 créateurs du pays.
Ne pas manquer pour autant les échanges avec la Chine (première participation du Centre Culturel Chinois), la Finlande, la Flandres, la République Tchèque, la Lituanie et et le Danemark.

Suivez-moi pendant cette semaine de folie sur @Alexandre_sim @UsofParis, Instagram, Snapchap !

Paris Design Week
du 3 au 10 septembre 2016

Programme complet sur le site officiel : www.maison-objet.com/fr/paris-design-week

SAVE THE DATE / Nocturnes du PDW

Vendredi 2 septembre : vernissages à Saint-Germain-des-Prés
Samedi 3 : vernissages Les Halles, Le Marais et Bastille
Lundi 5 : vernissages Opéra, Étoile et Concorde
Mardi 6 : vernissages Barbès et Stalingrad
Jeudi 8 : soirée officielle de clôture dans le cadre de now! le Off aux Docks, Cité de la Mode et du Design

Affiche Paris Design Week 2016 affiche PDW16 Maison et Objet parcours exposition installation now le off

#CONCOURS

Envie de participer à la soirée officielle de clôture de la Paris Design Week 2016 en direct du now! le Off aux Docks le jeudi 8 septembre 2016 ?

Pour tenter votre chance, rien de plus simple, remplissez le bulletin en-dessous.

Les gagnant(e)s seront tiré(e)s au sort parmi les inscrits. Ils recevront un mail leur confirmant leur lot.

ATTENTION !! Avant de participer, vérifiez bien que vous êtes libre à la date proposée afin de laisser sa chance à tous et toutes !

Concours PDW 8 Septembre
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Plus de jeux concours
Concours Gratuits

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Game of Room : escape game lyonnais au top ! #kiff

A l’occasion d’un week-end avec des amis lyonnais, j’ai lancé l’idée : “faisons un escape game !” L’envie ? Un thème historique.
Volontairement, nous nous sommes laissés enfermer dans Le Bunker de l’Officier Von Vokte de Game of Room.

Une équipe de quatre potes, dont trois novices, une salle au taux de réussite de 35 % : un vrai challenge à relever. Surtout que l’équipe précédente, croisée à notre arrivée, nous a souhaité bonne chance…

26 mai 1944, l’officier Von Vokte, commandant d’un bunker allemand convoque un groupe de prisonniers pour un interrogatoire : vous.
Au même moment, Lyon commence à se faire bombarder par les alliés.
Vous avez une heure pour percer les secrets de cet officier et vous évadez.

Game of room lyon escape game avis critique villeurbanne bunker Officier Von Vokte us of paris

Une salle riche en péripéties
Sans spolier l’histoire et les énigmes de cette salle, ça faisait quelque temps que je voulais commencer un escape game en étant entravé. Un côté certainement SM, non assouvi. C’est chose faite avec cette salle de Game of Room.
Nous voici donc, quatre amis, littéralement enchainés les uns aux autres. Et c’est parti pour 1 heure de fouilles, d’énigmes et de doutes.

Premier objectif donc : se libérer

Même si mes codétenus n’ont pas l’habitude de ce sport qu’est l’escape game, on sort de la première salle en 15 min (je ne dévoile rien, la porte de la deuxième est bien visible et donc repérable). Certaines équipes ont passé 30 minutes dans cette première partie du jeu. Autant dire que pour elles, c’était mal parti.

Si la première pièce était assez dépouillée, la deuxième propose d’emblée, visuellement, plus de pièges, de caches et de chausse-trappes.
Même avec l’expérience de 6 salles, on se pose toujours la question de savoir si c’est la bonne action que l’on fait.

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On fouille, on décode, on galère et on doute à quatre.
Amis de très longue date, c’est drôle de voir comme une cohésion et une organisation naturelle se crée. Chacun déploie ses compétences pour venir à bout des énigmes du bunker.
Même si nous avons perdu du temps sur certains défis proposés par Game of Room, nous sortons au bout de 52 min 30.
Une belle performance : le record étant de 45 min.

Au passage, nous offrons à notre maitresse de jeu, qui a intégré l’équipe depuis peu, sa première victoire avec cette aventure. #Proudofus !

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La scénographie travaillée de Game of Room

Globalement, il n’y a rien à redire de ce Bunker de l’Officier Von Vokte.
Le scénario est au top et les énigmes sont une belle prise de tête.
On comprend que certains se soient cassé les dents sur celles-ci.
Rassurez-vous, tout de même, il n’y pas besoin de connaissance en histoire, ni sur la ville de Lyon pour réussir ce scénario. Un poil de culture gé, peut-être.

Mais à force de pratiquer l’escape, on commence à devenir exigeant sur des détails de mise en scène et de décor.
Alors, voici nos plus et nos moins sur cette salle.

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Les plus : 

  • des accessoires d’époques chinés pour avoir une vérité historique et une immersion plus grande
  • des énigmes qui peuvent vite dérouter si l’équipe s’éparpille
  • Le système de communication pour donner les indices à l’équipe (non, on ne dévoile rien !)
  • Un bon mix entre fouille, réflexion et manipulations

Les moins :

  • Le compteur de temps digital qui dénote avec l’époque historique.
    On aimerait quelque chose de plus cohérent avec l’univers de la salle.
  • Un manque d’ambiance sonore – de bombardements, par exemple – qui pourrait accroitre la tension du scénario, mais cela ne nuit pas à l’histoire pour autant.

Alors, il ne reste plus qu’à tenter leur deuxième salle : La malédiction de Thoutmôsis II.
Sans cadenas et sans code !

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Game of Room

19 rue Francis de Pressensé
69100 Villeurbanne

5 aventures :
Le Bunker de l’Officier Von Vokte
La malédiction de Thoutmôsis II
– Demogorgon
– Escape the lost pyramid (VR)
– OL Escape

Du mardi au dimanche : 10h – 23h

Site officiel : gameofroom.fr 

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Virginie Hocq – Sur le fil aux Bouffes Parisiens #reprise #bonheur !

Sur le fil, tout est simple et facile. Sur le fil, on se calme ?” Keren Ann

Virginie Hocq nous revient aux Bouffes Parisiens, avec tout autant de fougue, de générosité et de sensibilité que ce qu’elle avait pu nous offrir lors de ses deux précédents spectacles.

Virginie-Hocq-sur-scène-nouveau-spectacle-Sur-le-fil-Théâtre-de-Paris-humour-humoriste-photo-by-United-States-of-Paris-blogN’ayons pas peur des mots : c’est bien à une toon (personnage de dessin animé à l’hystérie débordante tel Roger Rabbit) que nous avons affaire. Impossible, avec Virginie, de trouver un semblant de calme. Elle danse, chante, hurle, gesticule, déplace des meubles, se fait culbuter dans le noir… Enfin ses personnages… Bref, sa ligne de vie a tendance à se prendre méchamment les pieds dans celle des autres. Ce n’est pas nous qui nous en plaindrons.

photo de Grégory Navarra
photo de Grégory Navarra

Car l’art de Virginie Hocq est d’interpréter avec talent des femmes de fiction ou d’histoire (une première pour elle). Ces femmes sont hôtesse de l’air, au foyer ou au bord de la crise de nerf, mannequin d’un genre spécial (quelle voix !) ou ancienne reine de France.
Chacune fait hurler de rire à cause de son incapacité à être douée de normalité, chacune touche aussi à sa manière et renvoie sans aucun doute à une facette de son auteure-interprète. Reste à savoir laquelle.
Ça déborde de partout – malgré la taille de guêpe de l’interprète –  et la fougue made in Belgique se répand dans la salle avec une aisance non feinte.

 Virginie Hocq sur le fil scène nouveau spectacle Théâtre de Paris humour humoriste photo by United States of Paris blog

Autre talent : à la manière d’un mime, la comédienne belge à l’empathie déconcertante, est capable de nous faire croire à des situations insensées, avec un minimum d’accessoires. Si bien que la séquence de secourisme, avec force détails narratifs, nous a fait penser à l’univers frappadingue et écervelé du réalisateur américain Bill Plympton. C’est “cartoonesque” du début à la fin.

Sans oublier l’émotion. Après ces fausses (?) confidences, la comédienne quitte la scène sur la pointe des pieds, tout en douceur, sans surjouer. Un ange passe.

À noter enfin qu’il n’est pas si courant qu’un(e) humoriste fasse appel à un autre artiste pour assurer un tour de chauffe de la salle en première partie de spectacle. Est-ce que Florence Foresti le fait ? Non. Virginie Hocq ose, elle. Grande dame !

Sur le fil Virginie Hocq reprise spectacle Théâtre Bouffes Parisiens paris affiche 10 représentations exceptionnelles

SUR LE FIL
de Virginie Hocq

 

REPRISE du 02 au 18 septembre 2016 !
Relâche Exceptionnelle : le samedi 10 septembre 2016

Du jeudi au samedi à 20h30
Le dimanche à 15h

auteurs : Virginie Hocq & Benjamin Gomez
mise en scène : Isabelle Nanty
assistant mise en scène : Benjamin Gomez

au Théâtre des Bouffes Parisiens
Rue Blanche
75009 PARIS

 

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Vacances – Les Alpes autrichiennes : culture et air pur

Le temps de quelques jours, on s’est mis au vert. Un coup de TGV et nous voilà en Suisse. Mais le trajet n’est pas fini. Notre destination : les Alpes autrichiennes. Et plus particulièrement, le Vorarlberg. Moins haut (et surtout moins connu) que le Tyrol, la région réserve de très belles balades et quelques surprises architecturales. Photos aux allures de cartes postales garanties !

Vue montagne Le Vorarlberg alpes autrichiennes voyage tourisme Autriche photo Joël Clergiot UsofParis travel Blog
N’allez pas croire que le Vorarlberg en Autriche est réservé aux seuls amoureux de la montagne. La région se trouve également sur les bords du lac de Constance. Les rives sont aménagées pour les cyclistes et il fait bon flâner les jours d’été. La culture y est également très présente, notamment à Bregenz, la capitale de région, dont le centre offre une splendide leçon d’histoire de l’architecture locale.
Son festival, créé en 1946, comprend de spectaculaires opéras sur une scène flottante sur le lac, des concerts de l’Orchestre Symphonique de Vienne, des pièces de théâtre et des manifestations autour de l’art contemporain.
Autre curiosité de la ville, le Vorarlberg Museum. Son architecture vaut le détour. Agrandi dans les années 2000, sa nouvelle façade est un mur recouvert de fonds de bouteilles en plastique moulés dans le béton. Disposés en un modèle précis, ils forment ainsi un canevas aussi original qu’esthétique.

Vorarlberg museum fassade facade architecture design Autriche tourisme voyage photo Joël Clergiot UsofParis travel Blog

Musique classique et friandises

En s’éloignant des rives du lac, Feldkirch et Dornbirn sont deux mignonnes cités médiévales. Ne ratez pas non plus les Schubertiades, festival organisé en hommage à Schubert, qui n’a pourtant jamais séjourné dans la région. Les concerts de musique de chambre sont donnés au printemps et en automne, essentiellement dans le village de Schwarzenberg. Quelques-uns ont lieu également dans le joli petit village de Hohenems, où, en attendant le concert du soir, nous avons patienté à la terrasse de la chocolaterie Fenkart qui propose de délicieux chocolats et pâtisseries.

Hohenems Pfarrkirche St. Karl Borromäus Vorarlberg autriche voyage vacances Alpes autrichiennes photo Joël Clergiot UsofParis travel Blog

Repères d’artistes

Le région, d’une superficie de 2 600km2 (c’est à peine plus grand que l’Ile de la Réunion), est également le repère d’artistes ingénieux. En se baladant de vallée en vallée, à travers les villages de Brand, Bludenz ou encore Blons, on ne peut passer à côté des audaces architecturales de chacune de ces petites localités.
Le design n’est pas réservé non plus aux seuls citadins. Dans le village d’Andelsbuch, la Werkraum Haus (Maison de l’Artisanat) est le lieu où dénicher meubles, textiles, objets de décoration et installations pour la maison. Réunis en association, les artisans de la région du Bregenzerwald exposent leurs plus belles créations à tour de rôle, tous les quatre mois. Le voyageur branché pourra rapporter un souvenir de cette grande et étrange boutique. Tous les corps de métiers y sont représentés. Menuisiers, charpentiers, serruriers, mais aussi tailleurs de pierre, plombiers, électriciens ou encore fabricants de luminaires en passant par les peintres et les couturiers. Ne pouvant pas tout rapporter dans le train, on se contentera de rêver d’acheter une maison dans ce coin des Alpes autrichiennes et de la meubler entièrement avec ce que proposent les créateurs locaux.

Lac de Constance bodensee Vorarlberg Autriche vacances voyage alpes autrichiennes photo Joël Clergiot UsofParis travel Blog

Comment y aller ?

Le plus simple est d’aller à Zurich et d’y louer une voiture.

Quand y aller ?

En été : en juin, juillet et septembre
(les bords du lac sont souvent envahis de moustiques en août)
En hiver, peu importe, tant qu’il y a de la neige !

Pour plus d’informations et préparer vos prochaines vacances en Autriche, visitez le site de l’Office national autrichien du tourisme


by Joël Clergiot

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Photo du mois #53 : les touristes

Chaque mois, les blogueurs et blogueuses qui participent à la Photo du Mois publient une photo en fonction d’un thème. Toutes les photos sont publiées sur les blogs respectifs des participants le 15 de chaque mois à midi, heure de Paris.

Le thème de ce mois choisi par BiGBuGs est : Les Touristes.

Alors d’accord, il n’y a qu’un touriste sur la photo. Mais c’est parce que le ptit filou en ciré jaune s’est dégagé du groupe composé de ses seuls parents pour aller jeter un œil sur ce qui se tramait du côté de la place Gendarmenmarkt à Berlin.
Les parents hors champ n’ont pas manqué de s’amuser de la curiosité de leur bout de chou. Et moi de sortir au plus vite mon appareil avant qu’il ne se décide que ce spectacle n’est pas si passionnant que ça.
Photo réalisée fin juillet. Au final, je ne sais qui est le plus touriste des deux, lui ou moi.

Jeune-touriste-curieux-en-ciré-jaune-young-tourist-Gendarmenmarkt-Berlin-Allemagne-photo-du-mois-usofparis-travel-blog

Si vous souhaitez rejoindre la communauté de la Photo du mois, rendez-vous sur la page FB du groupe, si ce n’est pas déjà fait.

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La Compagnie Coloniale fête les 80 ans du thé “Chine Extra”

L’histoire de la Compagnie Coloniale c’est l’histoire d’une marque française de thés âgée de près de 170 ans et qui a bien failli disparaître. C’était sans compter la rencontre d’un passionné du thé : Vincent Balaÿ.
Venu d’
un tout autre univers (la cosmétique) l’homme né dans le thé, s’éprend de la marque à la bayadère et à l’ancre marine. Il se donne pour but de lui redonner son lustre passé. Un défi réussi !
En ce mois de septembre 2016, la Compagnie Coloniale fêtera donc les 80 ans de son fleuron : le mythique thé “Chine Extra”.

Compagnie Coloniale Thé avis made in France anniversaire 80 ans Chine Extra Photo by Blog United States of Paris
Compagnie Coloniale : Made in France

Si la marque a depuis longtemps quitté son siège parisien historique du 19 avenue de l’Opéra, elle a toujours ses quartiers en France, à quelques kilomètres du Futuroscope, dans la Vienne.
C’est là que sont jalousement gardées les 180 recettes ancestrales des mélanges de thés.
C’est aussi là que sont toujours créés et fabriqués ces mélanges. Avec un savoir-faire qui leur est propre, les ateliers de la Compagnie Coloniale élaborent les différents arômes selon la méthode dite d’aromatisation à la vapeur.
Les crus de thés, achetés aux quatre coins du monde, passent donc tous par l’Usine de Dissay.

Compagnie Coloniale Thé avis gastronomie made in France anniversaire 80 ans Photo by Blog United States of Paris

Mélangé aux arômes naturels, la préparation est placée dans une sorte de cocote minute géante qui peut recevoir plus de 100 kg de feuilles.
Quelques minutes suffisent pour que les parfums se mélangent grâce à la vapeur.
Suit la phase délicate de séchage. Si celle-ci est ratée, c’est toute la fournée qui est à jeter.
Pour finir, les fleurs décoratives, bleuets et fleurs de tournesol principalement, sont ajoutées afin de rehausser l’aspect esthétique du thé. Elles n’ont d’ailleurs aucune influence sur le goût final du thé.

Compagnie Coloniale Thé made in France Dissay avis Chine Extra anniversaire 80 ans Photo by Blog United States of Paris

En sachet ou en vrac, les thés de la Compagnie Coloniale suivent le même processus pour garantir une qualité irréprochable.

Compagnie Coloniale : méconnue mais illustre

Ne le cachons pas, la marque nous était parfaitement inconnue il y a peu. Peut-être que pour vous aussi, sauf si vous êtes un forcené des voyages en TGV.  En effet, en plus des épiceries fines, les thés sont vendus dans les bars des trains de la SNCF depuis 2014. Un boum pour cette société française avec plus d’un million de sachets vendus depuis le partenariat.

Fort de ce succès et de son renouveau économique, la Compagnie Coloniale a souhaité fêter les 80 ans d’un de ses thés phares : le Chine Extra.

Compagnie Coloniale Thé avis Chine Extra made in France anniversaire 80 ans Photo by Blog United States of Paris
Emballage original datant des années 60

Alliage exclusif de quatre variétés de thés inventé en 1936,  spécialement pour l’Exposition Universelle de Paris, il sera, cette année, mis à l’honneur par la marque.
Cet anniversaire sera donc marqué par le retour d’un emballage au design modernisé portant la célèbre bayadère rouge et or.
Reprenant les codes mis en place dans les années 60 et 70, ce coup de jeune devrait s’étendre par la suite à toute la gamme.

D’ailleurs, la fabrication de cet emballage en aluminium a été relocalisée en France : beaucoup moins cher que de le faire fabriquer à l’étranger !
Tout comme les sachets qui proviennent de la région lyonnaise.
On vous avait dit Made in France !

Évolution du design des boîtes de thés

Mettre en avant un savoir-faire

Ancrée dans la transmission, et sous l’impulsion de Vincent Balaÿ, la Compagnie Coloniale a désormais la volonté de partager son savoir-faire via le tourisme industriel.
Alors si vous passer par la Vienne, n’hésitez pas à prendre rendez-vous pour visiter l’usine de fabrication.
Vous découvrirez plus en profondeur son histoire. Et vous connaîtrez aussi certains secrets de fabrication de cette marque bientôt deux fois centenaire.

Compagnie Coloniale Thé gastronomie avis made in France ceylan Photo by Blog United States of Paris

Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site de la Compagnie Coloniale

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